Gort le robot en armature 'mousse' métal
Ce soir à 20h, enregistrement du MASQUE ET LA PLUME
Studio Charles Trénet, de 20h à 22h. Pour deux émissions, l'une consacrée aux livres, l'autre au cinéma.
Avec les critiques littéraires (diffusion le 21 décembre) : Arnaud Viviant (Regards), Patricia Martin (France Inter), Jean-Louis Ezine (Nouvel Observateur) et Michel Crépu (Revue des Deux mondes).
Les livres:
« Le temps de Franco », Michel del Castillo (Fayard)
« L’avenir de l’eau », Erik Orsenna (Fayard)
« Histoire du snobisme », Frédéric Rouvillois (Flammarion)
« Où on va, papa ? », Jean-Louis Fournier (Stock)
« Un homme très recherché », John Le Carré (Le Seuil)
« Melnitz », Charles Lewinsky (Grasset)
+ 1 poche
Avec les critiques de cinéma (diffusion le 14 décembre) : Pierre Murat (Télérama), Eric Neuhoff (Figaro), Jean-Marc Lalanne (Inrockuptibles) et Sophie Avon (Sud-Ouest).
Les films:
« Burn After Reading », Joel Coen
« Caos calmo », Antonello Grimaldi
« Les inséparables », Christine Dory
« Comme une étoile dans la nuit », René Féret
« Je veux voir », Joana Hadjithomas
« L’emmerdeur », Francis Veber.
Le générique du Masque : "La Fileuse" (Romance
n°4, opus 67) extrait des "Romances sans paroles"
de Mendelssohn, par Daniel Barenboïm (DG).
pour garder la trace d'une année de bonheur...
Le chiffre : 12
TATOUFAUX.COM
Le contenu de cet article est PROUVÉ
Les Wallons du plat pays survolés par les Flamands de Bruxelles
Cela arrangerait bien les adeptes de la pensée binaire, mais les choses ne sont pas aussi simples ! Tout d’abord, la Belgique, État fédéral, comprend non pas deux, mais trois régions autonomes (Wallonie, Flandre et
Bruxelles), sur lesquelles se superposent non pas deux, mais trois communautés linguistiques (française, flamande et germanophone) — voir cartes).
À cela s’ajoute, bien entendu, un gouvernement fédéral.
Si les régions correspondent à des territoires bien délimités, il n’en est pas forcément de même des communautés, qui regroupent des populations de même langue, indépendamment du territoire sur lequel elles se trouvent. Ainsi, la communauté germanophone, qui habite les cantons de l’Est attribués à la Belgique par le traité de Versailles, dépend territorialement de la Région wallonne. Et Bruxelles, région indépendante majoritairement francophone mais officiellement bilingue, abrite — entre autres — des habitants des communautés française et flamande. Il faut toutefois garder à l’esprit que l’enclavement de Bruxelles en Région Flamande ne signifie pas que ses habitants soient nécessairement flamands ou que Bruxelles soit en Flandre, car Bruxelles est avant tout une région distincte, dont la particularité est d’être gérée de façon paritaire par les francophones et les néerlandophones. Enfin, pour brouiller encore un peu les cartes, les Flamands ont décidé de fusionner les instances de la Communauté et de la Région flamande. Ce qui permet de dire d’un Bruxellois néerlandophone qu’il est flamand, alors qu’il serait mal venu de traiter a priori un Bruxellois francophone de Wallon. Vous suivez toujours ? Parce que c’est là qu’entre en scène le concept de "compétence" en vertu duquel chaque entité se voit attribuer toute autorité sur des matières bien définies. Système unique au monde, il est assez complexe et source d’incompréhensions et de problèmes.
Au-delà de la classique fracture entre francophones et néerlandophones, et sans entrer dans les arcanes des clivages de second niveau qui opposent au sein de chaque entité, les différents partis politiques entre eux, les régionalistes aux communautaristes (au sens belge du terme) ou encore les extrémistes aux modérés, on voit donc bien que, sans être faux, le discours qui réduit la problématique à un simple conflit entre Flamands et Wallons, est un peu sommaire. En outre, il occulte le cas du petit million de Bruxellois, ni wallons ni flamands pour la plupart, qui ne s’y retrouvent pas, tout comme les 300 000 francophones qui vivent en Flandre et le million de Flamands en Wallonie. Soit au total près du quart de la population belge.
Quant au mythe du "plat pays", ce sera pour une autre fois.
Avis aux vendeurs de logement
Selon le Gresel (Groupe de Réflexion sur la Sécurité Electrique dans le logement), le diagnostic électricité cible régulièrement:
• "La présence d’un appareil général de commande et de protection de l’installation (disjoncteur)".
• "La présence d’une prise de terre et de son circuit, associés à une protection par dispositif différentiel".
• "La présence d’une liaison équipotentielle raccordée au circuit de terre ainsi que le respect des règles liées aux volumes de sécurité dans chaque pièce contenant une baignoire ou une douche (salles d’eau)".
• "La présence d’au moins un tableau de répartition comportant des dispositifs de protection des circuits contre les surintensités (fusibles disjoncteurs). Le calibre de ces dispositifs de protection doit être adapté à la section des fils électriques".
• "L’absence de tout risque de contact direct avec des éléments sous tension (prises cassées, fils dénudés…) et de tout matériel proscrit ou devenu dangereux".
Une disposition additionnelle recommandée par le GRESEL : un nombre suffisant de prises électriques dans chaque pièce
Le débat
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Le nourrisson a été retrouvé
Mercredi matin, le père de l'enfant avait lancé un appel à la ravisseuse, lui promettant qu'elle serait «accueillie et non jugée».
La mère du petit garçon, originaire de Biarritz, avait constaté vers 16h30 sa disparition en sortant de la salle de bain de sa chambre. La gendarmerie d'Orthez avait été saisie de l'affaire. Des témoins avaient vu une femme «de type européen âgée de quarante à cinquante ans», vêtue d'un manteau noir, emmener le bébé.
MD avec agence
20Minutes.fr, éditions du 10/12/2008 - 11h45
Répétitions, échos et longueur
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Vincent Cassel
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MESRINE L'ENNEMI PUBLIC NUMERO UN
On prend le même, on le poursuit et on finit le 2 novembre 1979. « Arrêté, jugé, exécuté en moins de 20 secondes », voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal satirique à l’époque. Le film va s’appesantir sur ce dernier fait. Il faut dire que Mesrine l’avait bien cherché, prévoyant même sa fin tragique dans une cassette laissée à sa compagne.
Si le premier épisode avait réussi à bluffer dans sa mise en scène des aventures du personnage principal, la suite n’y arrivera pas : on assiste à une répétition de scènes, d’échos et de longueur (2h10 au lieu de 1h50 précédemment). Etrangement le ‘Part 1’ devient ‘2eme partie’ sur une affiche christique.
Principal défaut du film, il ressemble cette fois à un biopic à l’américaine ne gardant que les faits saillants. Les deux scènes qui auraient pu être touchantes (le père sur le lit d’hôpital, la fille dans le parloir) tombent dans le mélo mais pas celui d’un Clint Eastwood. Ensuite, la spirale dans laquelle va se lancer le gangster en braquant des banques, en réussissant à s’évader encore et encore prend le pas sur la psychologie. On perçoit la fascination du réalisateur lorsque le personnage est emprisonné et que les gardiens l’appellent ‘Monsieur Mé-rine’. De quartier QHS on n’entendra pas parler, pas plus que d’autres faits à peine cités.
Á chaque scène du précédent opus va correspondre un écho dont voici une liste non exhaustive : la maîtresse, le père, le lieutenant (François Besse), les journalistes (dont l’épisode MINUTE) ; la fuite (la première est proche de la série ‘Les brigades du Tigre’), l’engagement (montrant plus celui d’un gangster que d’une conscience de classe).
Moins intense, plus long et lorgnant vers une production banale, cette deuxième partie clôt la vie de celui devenu l’ennemi public numéro un, qui s’était embarqué dans un voyage vers la violence et la facilité dont on ne revient pas.
La vie rêvée de Princesse Ann
Bon quand je dis que je perd la mémoire.Figurez vous que quelqu'un;mais je ne sais plus qui;m'a parlé d'un livre;mais j'ai oublié le titre ainsi que le nom de l'auteur;qui m'avait l'air passionnant.Du coup j'ai très envie de lire ce livre et la seule chose dont je me souviens c'est qu'il s'agit d'un roman contemporain;qui a pour sujet le cerveau et dont l'auteur est très connu.Je fais donc appel à vous tous afin que je puisse trouver ce livre;car j'avais très envie de le lire.Je viens de passer un certain temps sur internet en espérant trouver quelques renseignements supplémentaires mais c'est tellement vaste la littérature!!!
Cet oubli me fait d'ailleurs pensé à une anecdote qui m'est arrivée il y a quelques années.Je venais de lire un livre que je n'avais pas du tout aimé et je vais pour le ranger dans ma bibliothèque(celle ou je range les livres lus) et là surprise je m'aperçois que j'avais déjà lu ce livre et d'ailleurs très peu de temps avant puisque c'était un livre récent.
J'avais acheté 2 fois le même livre;que j'avais lu 2 fois à très peu de temps d'interval;je l'ai revendu 2 fois chez Joseph Gibert et je n'en avais aucun souvenir.Mais le pire;c'est qu'aujourd'hui je suis totalement incapable de dire de quel livre il s'agissait mais ce que je peux en dire c'est qu'il ne valait pas la peine d'être lu.