20 minutes
Fin de la vignette verte de l'assurance automobilie le 1er avril !
- A partir du 1er avril, la vignette verte de l’assurance automobile va disparaître.
- La preuve de l’assurance sera désormais dématérialisée avec une inscription au fichier des véhicules assurés.
- Ce nouveau dispositif vise notamment à lutter contre la fraude et à traquer les vignettes falsifiées.
A partir du 1er avril, il ne sera plus nécessaire d'apposer la vignette verte d'assurance sur son pare-brise
A partir du 1er avril, il ne sera plus nécessaire d'apposer la vignette verte d'assurance sur son pare-brise
Le décret relatif à la suppression de la « carte verte » automobile a été publié au Journal officiel le 9 décembre 2023. Ce décret représente une avancée importante dans la simplification de la vie administrative des Français en supprimant l’exigence de possession de la « carte verte » automobile pour circuler.
https://www.economie.gouv.fr/actualites/assurance-automobile-suppression-carte-verte-avril-2024
« Stranger Things »/ Jamie Campbell Bower donne quelques indices sur la saison 5
Si Jamie Campbell Bower (alias Henry, 001 et Vecna) sera encore de la partie, c’est bien que le grand vilain reviendra hanter la bourgade de Hawkins. Et à entendre l’acteur, la trame pourrait bien remettre le personnage de Will (Noah Schnapp) au centre de l’attention, lui qui avait été possédé par Vecna dans la seconde saison et qui, depuis, est en mesure de sentir sa présence.
« Nous savons tous désormais que Vecna et Will ont une histoire. Alors ce serait une joie de revenir là-dessus », a déclaré Jamie Campbell Bower lors d’un entretien accordé à E! News.
En outre, le comédien aimerait beaucoup que Vecna interagisse avec un autre personnage, à savoir Jonathan, le frère de Will, qui est campé par Charlie Heaton. « J’aimerais travailler avec ce personnage. J’aimerais être en mesure de rentrer dans le cerveau de tout le monde », a-t-il conclu.
Et si vous aussi vous ne pouvez plus vous empêcher de penser à la cinquième et dernière saison de Stranger Things, c’est bien que Jamie Campbell Bower est parvenu à entrer dans votre esprit !
Hauts-de-France : Un festival de ciné qui vous emmène mater des films la nuit en forêt
Promenons-nous dans les bois. La plupart des personnes qui n’ont pas de cadavres à faire disparaître ne traînent pas dans la forêt en pleine nuit. Lieux de balade bucoliques prisés par les familles le dimanche après-midi, les sous-bois ont vite fait de devenir flippants une fois le soleil couché. C’est pourtant aux confins des forêts domaniales de Raismes et de Saint-Amand, par une nuit sans lune, que 20 Minutes et 200 autres âmes perdues se sont jetés dans les griffes de l’effrayante et insaisissable sorcière de Blair.
Rendez-vous était donné, à des coordonnées GPS matérialisant un point au milieu de la forêt de Raismes, dans le Nord. Alors que nous arrivons à la croisée de chemins à peine carrossables que seules les personnes égarées empruntent, un homme en vert surgit de nulle part et nous accueille fort courtoisement. C’est un fonctionnaire de l’Office national des forêts (ONF). Il nous indique de suivre une autre route cabossée au bout de laquelle il nous faudra abandonner notre véhicule et poursuivre à pied. Les indications d’un autre salarié de l’ONF nous orientent vers un chemin boueux qu’il nous faudra dévaler pour, enfin, débouler dans vaste une clairière. Au fond, trône un gigantesque écran devant lequel sont disposées des rangées de transats.
« Ce sera notre premier film d’horreur »
« Nous sommes sur le site d’une ancienne cabane de chasse qui a brûlé dans des conditions suspectes. L’endroit idéal pour le film que nous allons projeter ce soir », nous lance Elise Michaud de l’ONF. Le film en question, c’est le « Projet Blair witch », un long métrage d’horreur américain de Daniel Myrick et Eduardo Sanchez, sorti en 1999, qui a deux particularités : il se déroule presque essentiellement dans une forêt et a été entièrement tourné en caméra subjective. « J’ai insisté pour qu’il soit à l’affiche du festival Branche et ciné, ce sera notre premier film d’horreur », poursuit la fonctionnaire. Pari gagnant, les 200 places ayant été réservées en trois jours seulement.
Ce festival est tout jeune puisqu’il n’en est qu’à sa 4e édition. « C’est le seul et unique en France organisé par un établissement public et mis en œuvre par des fonctionnaires de l’ONF dont ce n’est absolument pas le métier », explique Guillaume Bénaily, archéologue à l’ONF et directeur du festival. Cette année, ce sont 22 films qui seront projetés « en condition cinéma » sur de grands écrans dans une quinzaine de sites des forêts domaniales des Hauts-de-France, d’Île-de-France et de Normandie. Pour la programmation, il y en a pour tous les goûts, le seul impératif étant le « rapport à la forêt ». Et pour le coup, « The Blair witch project » tombe pile dedans.
Outre la volonté de divertir gratuitement les spectateurs, l’ONF place aussi ses billes. « L’idée derrière ce festival est de sensibiliser les gens à nos missions, de leur offrir une expérience en découvrant la forêt autrement. La nuit, c’est un autre visage qu’elle montre », insiste Guillaume Bénaily. Les cris de bêtes, la brume qui s’évapore du sol trempé de pluie, le bruissement des feuilles… Jeudi, nous avons vécu de manière un peu trop immersive les mésaventures des trois étudiants pourchassés par la sorcière de Blair même si, a priori, aucun spectateur n’a disparu ce soir-là. Alors, si vous ne craignez pas de vous balader dans les bois la nuit, le festival se poursuit jusqu’au 9 juillet. Réservez vos places sur le site de l'ONF.
Etats-Unis : Plus de 50.000 peluches jetées sur la glace lors d’un match de hockey, nouveau record
1'30 - Les peluches sont ensuite distribuées dans des associations caritatives ou des hôpitaux
Mort de Jean-Jacques Beneix
Jean-Jacques Beineix est mort jeudi, à l’âge de 75 ans, a annoncé ce vendredi son frère Jean-Claude. Il est décédé chez lui, à Paris, « des suites d’une longue maladie ».
Le réalisateur était l’un des grands noms du « cinéma du look », ce mouvement du Septième art français des années 1980 où l’esthétisme l’emportait sur le naturalisme. Révélé par le film Diva en 1981, il a atteint une plus large notoriété en 1986 avec 37°2 le matin, un long-métrage culte adapté du roman de Philippe Djian.
Né en octobre 1946 dans la capitale, Jean-Jacques Beineix a commencé sa carrière comme assistant réalisateur de Jean Becker sur la série Les Saintes Chéries en 1970. Diva, son premier long métrage en tant que réalisateur est un thriller musical mettant en scène la relation entre un postier et une soprano. Couleurs vives, inspirations pop art, image léchée… L’œuvre fait déjà montre de choix esthétiques qui feront la patte du cinéaste – certains critiques parlaient alors, péjorativement, d’esthétique « publicitaire ».
Le carton « 37°2 »
Son deuxième film, La Lune dans le caniveau, tourné à Cinecittà, les célèbres studios de cinéma romains, était en compétition pour la Palme d’or 1983, mais, éreinté sur la Croisette, il se soldera par un échec public.
C’est avec 37°2 le matin en 1986, qu’il a connu son plus grand succès. Cette année-là, plus de 3.6 millions de personnes sont allées voir en salle l’ardente et tragique histoire d’amour entre Jean-Hugues Anglade et Béatrice Dalle, véritable révélation.
Le public n’a cependant pas été au rendez-vous de ses trois films suivants – les derniers de sa filmographie – Roselyne et les lions, IP5 : L’île aux pachydermes et Mortel transfert, sortis respectivement en 1989, 1992 et 2001.
« Une grande baffe dans la gueule »
Jean-Jacques Beineix avait arrêté le cinéma au début des années 2000. « A la fois, je réussis un exploit et en même temps je me prends une grande baffe dans la gueule. Bah voilà, ça a été ça tout le temps, ma vie au cinéma », résumera-t-il à Franceinfo en 2020, expliquant que la très mauvaise réception cannoise de La Lune dans le caniveau a été une « blessure » : « Ce qui fait que j’ai arrêté aujourd’hui, ça a commencé là. »
S’il a fait quelques incursions dans le documentaire («Les enfants de Roumanie », « Place Clichy sans complexes »…) sous la bannière de sa société de production, Cargos Films, il a aussi mis en scène, en 2014, la pièce Kiki de Montparnasse.
Ces vingt dernières années, il s’était essentiellement tourné vers l’écriture. En 2006, il a livré son autobiographie, Les Chantiers de la gloire : mémoires, après avoir écrit les deux volumes de la bande dessinée L’Affaire du siècle. Il y a deux ans, est paru chez Michel Lafon son premier (et seul) roman, Toboggan. L’histoire de « la chute d’un personnage qui a perdu la foi en l’humanité ».
Le manuscrit du « Petit Prince » sera exposé en France pour la première fois l'an prochain
https://img.20mn.fr/56n-56UeR9CQpMt9uuDs5A/830x532_illustration-petit-prince-presentee-cadre-exposition-paris-11-avril-2013-celebrer-70-ans-livre.jpg
C’est un rendez-vous à ne pas rater pour tous les amoureux du Petit Prince. Le manuscrit rédigé par Antoine de Saint-Exupéry, jamais montré en France, sera exposé à Paris de février à juin 2022, a annoncé ce mercredi le Musée des arts décoratifs (MAD). L’aviateur et écrivain avait écrit ce conte à New York et Long Island, où il était en exil, entre juin et novembre 1942.
Plus de 600 pièces exposées
Le manuscrit n’a pas quitté les Etats-Unis depuis. L’auteur l’avait confié à une amie, Silvia Hamilton, avant de partir combattre depuis l’Afrique du Nord au printemps 1943. Cette amie le vendit ensuite à la Morgan Library & Museum en 1968. Cette institution privée va prêter le manuscrit au MAD, qui accueille l’exposition « A la rencontre du Petit Prince » du 17 février au 26 juin dans son aile du palais du Louvre.
L’exposition comportera « plus de 600 pièces », dont des « aquarelles, esquisses et dessins – pour la plupart inédits – mais également des photographies, poèmes, coupures de journaux et extraits de correspondances », a précisé le Musée dans un communiqué.