Climat en septembre à Bali
En ce mois de septembre, la température moyenne à Denpasar est de 28° (la température maximale étant de 29° et la température minimale de 26°).
Le climat est donc tout à fait agréable dans cette localité en septembre. Avec 92mm sur 9 jours, vous subirez quelques averses pendant votre séjour. Mais cela reste plutôt modéré et vous ne serez pas trop gêné par cela.
Avec une météo favorable, le mois de septembre est un bon mois pour se rendre dans cette localité à Bali.
Où et quand partir à Bali
Tout au long de l'année, vous pouvez vous attendre à des températures agréables à Bali. Elles sont généralement comprises entre 24 et 34°C en journée. Cependant, la saison idéale pour visiter cette île indonésienne se situe entre les mois de mai à octobre, durant la saison sèche. C'est la meilleure période pour partir à Bali afin de profiter des plages, de la plongée ou encore du surf. Le soleil sera au rendez-vous.
Cependant, c'est plus précisément de juin à septembre qu'il est conseillé de voyager à Bali. En effet, le climat durant cette période est idéal. Les précipitations sont rares, les températures clémentes et les voyageurs apprécieront les soirées plus fraîches.
Par contre, si possible, il faudra éviter les mois de juillet-août où la fréquentation touristique est importante et les prix en hausse.
De décembre à avril, c'est la saison des pluies. On y retrouve de fortes averses et une humidité élevée. Cette période coïncide également avec la saison chaude. Ainsi, l'atmosphère peut être difficile à supporter. On retrouve cependant quelques belles journées ensoleillées.
De plus, s'il n'est pas rare d'avoir des pluies continues entre décembre et février, la plupart des averses ont lieu en fin de journée. Ainsi, si vous vous demandez quand partir à Bali, sachez qu'il est tout de même possible d'organiser son séjour durant cette période, notamment en novembre, mars ou avril.
Enfin, comme l'année dure 210 jours selon le calendrier Pawukon, la date des fêtes traditionnelles balinaises (Odalan, Galungan…) change régulièrement. Cependant, les célébrations religieuses étant très nombreuses au quotidien sur l'île, vous pourrez certainement y assister durant votre séjour à Bali. Ceci, peu importe la date de votre voyage.
https://www.ou-et-quand.net/partir/quand/asie-sud-est/bali/
Le surf au mois d'août à Bali (12 minutes)
Bali Surf Journal - August 2020
We didn't get any really big swells in August and it was uncharacteristically small for a few days towards the end of the month. Despite this, it was still a...
12 minutes avec les surfeurs de Canggu à Uluwatu en passant par Bingin ou Impossibles
Notule : SPLIT
Shyamalan revisite le film d’horreur version psychotique avec des traumas d’enfants bien plus perturbants que le personnage aux 23 personnalités bien joué par James Mc Avoy.
Trilogie qui suivait le film trop mésestimé INCASSABLE, il nous donnera une fin stupéfiante en renouant avec un twist en 2019 (GLASS).
MADRE
Lors de son film précédent, EL REINO, je reprochais un scénario qui ne devenait pas crédible avec une durée trop longue et un côté maladroit pour le personnage principal. Deux ans après, je peux appliquer les mêmes critiques en accentuées pour le nouveau film de Rodrigo Sorogoyen.
Soit une espagnole qui entend une dernière fois de France, son fils de 6 ans sur une plage, au téléphone car son père l’a laissé seul. On la retrouve 10 après, sur la plage, elle est responsable d’un bar. Elle croise un adolescent vers qui elle va se rapprocher.
Rien ne sera énoncé (mort de l’enfant, reconnaissance de celui-ci adolescent) car rien n’est vraiment écrit et crédible, la disparition de l’enfant, cette relation qui oscille entre relation incestueuse ou manque psychologique, le retour du père. Les personnages sont tous typées : la mère avec une aridité des sentiments, l’adolescent jouant au psychologues, le copain compatissant et aimant, la famille dépassée et butée, la petite copine dédaigneuse mais jalouse. On ne peut sauver que l'interprétation de l'actrice principale Marta Nieto.
Rien ne cadre dans ce chapitrage avec la vue de la mer et encore moins l’épilogue. Une nouvelle fois, cette histoire écrite à quatre mains (Isabel Peña) n’en finit pas de finir, c’est deux minutes de moins que le film précédent mais cela en paraît vraiment plus !
LIGHT OF MY LIFE
Casey Affleck acteur, devient acteur-réalisateur dans ce croisement entre La route et Leave no trace. Un portrait d’un père parfait qui veut protéger sa fille pas encore adolescente, en période post apocalyptique où les femmes ont disparu suite à une peste.
Le père veut préserver sa fille d’une horde d’hommes (on en aura un écho plus tard dans le film) si elle était démasquée (elle est coiffée et habillée en garçon).
Errance dans les bois, sur la route, équipement de survie. On pense forcément au roman de Cormac MacCarthy. Le film débute avec une longue histoire racontée par le père, son cheminement est lent avant une flambée de violence à la fin. C’est tout de même une belle relation père/fille, protection/fusion, mémoire et présent.
Comme dans Leave no trace, la fille de neuf ans a un aplomb et une capacité de penser (différence entre étique et morale) avec du courage comme cette scène qui fait écho avec celle de sa mère (que l’enfant n’a pas presque pas connu).
Le film dresse donc le portrait de ce père aimant, toujours présent qui va même pleurer à la fin. Cette image est à rapprocher de la vie privée de Casey Affleck accusée au début des années 2010, lors de son film I’m still there, d’avoir harcelé une directrice de la photographie. C’est donc, comme s’il achetait une bonne réputation. A noter qu’il n’y eut pas de procès mais un arrangement et que l’acteur avançait une erreur de jeunesse. Cela explique peut-être aussi l’absence d’arme (contrairement au roman), et se demander pourquoi, il n’en garde pas une à la fin.
En cet été où il y a si peu de films intéressants pour l’instant, LIGHT OF MY LIFE – indépendamment du contexte du réalisateur – est un film touchant dans cette relation fusionnelle père-fille.
LA FEMME DES STEPPES, LE FLIC ET L'OEUF
Après Le mariage de Tuya, Quanan Wang revient en Mongolie pour une histoire entre un cadavre,, un jeune policier et surtout une bergère.
Les paysages, les couleurs, le cadre de ces espaces nous donnent à voir des tableaux, avec peu de dialogues dans ces courtes histoires qui s’enchaînent sans avoir un scénario chargé.
C’est ce que je pouvais reprocher à son film de 2007 (depuis il a tourné deux films). Pour celui-ci, même si l’on y parle passé et futur, cycle de la vie, le côté naturaliste et documentaire reste présent, trop même : naissance d’un veau, abattage d’un mouton et même utilisation d’un test de grossesse. Seule, l’autopsie nous est épargné par un fou et un fondu.
Il y a encore un joli portrait de femme – celle des steppes – qui veut un enfant, qui a failli en avoir deux, de son copain dont elle ne veut pas vivre avec, d’une louve qui rôde, d’un jeune policier, d’une stagiaire qui va partir loin du village dans la capitale d’Oulan-Bator.
Pour un film court (1h40), les scènes s’enchaînent mais on perd les personnages (le jeune policier, le futur retraité, la stagiaire, le coupable, le cadavre). Le style du réalisateur serait alors de nous présenter plus un cadre qu’un scénario, plus des images que des paroles, plus du naturalisme que des personnes.
Le titre original Öndög signifie « l'œuf du dinosaure fossilisé » et sera l’objet d’une discussion sur la vie passée, présente et future. Mais quoi que disent les personnages, nous ne descendons pas des dinosaures. Dans la bande originale, il y aura Love me tender d’Elvis Presley et le réalisateur, sûrement en fin connaisseur, mentionne dans le générique final que les paroles sont attribuées au chanteur bien que le parolier ne fût pas crédité (pur des raisons contractuelles) sur la pochette.
Les films en provenance de Mongolie sont si rares qu’il ne faut pas bouder un plaisir avec un réalisateur chinois au style particulier.