V2
Je n'aurais pas du cliquer sur le passage de mon mode administrateur de la version 1 à la version 2 !
Privilégiant la nouveauté, je me suis empressé de passer à cette nouvelle version.
Premier défaut, la statistique de l'audience hebdomadaire disparaît, le pointage de la souris sur les visites du jour empiète sur le nombre, j'oublie de décliquer sur la case 'envoyer à vos abonnés' (désolé pour ceux qui ont dû recevoir au moins une dizaine d'avertissement d'articles), l'affichage des modules à droite suit un emplacement aléatoire, .....
Mais le plus embêtant, c'est l'insertion de photos. Je ne peux plus en mettre.
Il y a un bug. Consolation qui ne me console pas, je ne suis pas le seul.
J'ai envoyé un email à l'administrateur mais je ne suis pas sûr qui l'ait reçu, !
La version 2 doit être en cours d'amélioration, j'essaye donc les platres, les bugs. Bubblegum m'avait pourtant averti !
Heureusement que je suis le roi de la programmation : des photos ont insérés juste avant le passage et assureront l'été.
Consolation, une icone 'insertion de vidéo' est présente, mais je n'ai pas osé la tester !
Le débat du 2 mai entre nous sur LASTDAYS
Normalement, il devrait aussi être diffusé sur les ondes.
Dans ce cas probable, en direct, venez donnez votre avis sur LASTDAYS :
votre commentaire apparaîtra en article comme pour le premier tour et avant le second !
Les câlins gratuits s'exportent au Japon
Leur campagne s’inspire d’un mouvement lancé à Sydney par un Australien, Juan Mann, à partir d’une idée simple: se planter debout en pleine rue avec une pancarte, où est écrit en anglais «free hugs» («câlins gratuits»), et enlacer ceux qui sont tentés.
Chaque week-end, les étudiants investissent Harajuku, un quartier branché fréquenté par les jeunes Japonais et de nombreux touristes.
Dans un pays où le contact physique est rare tant les Japonais sont réputés timides, l’opération «câline» surprend, voire embarrasse, les Tokyoïtes, mais amuse en revanche les étrangers, bien plus nombreux à se prendre au jeu.
Ce genre d’embrassades ne fait pas, il est vrai, partie des moeurs nippones. Si la poignée de main est répandue, elle y est encore considérée comme une habitude occidentale adoptée surtout par les milieux d’affaires.
Psychologue à Tokyo, Orie Shimizu considère toutefois les marques de tendresse publiques comme un désir naturel et sain, qui ferait du bien aux Japonais, «Les câlins donnent miraculeusement l’impression que la vie est belle», selon elle.
Si Mme Shimizu doute que le mouvement «free hugs» soit la solution à long terme, elle juge que ces contacts physiques pourraient avoir une influence positive sur les phénomènes de violence et le taux de suicide (un des plus élevés au monde) au Japon.
BUG : un mal intérieur (critique demain promis !)
Série : L'Etat veut-il tuer Internet ?
En effet, sous prétexte de surveiller au plus près les internautes, un décret d'application de la loi sur la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004, exige que les éditeurs de sites, les hébergeurs, les opérateurs de téléphonie fixe et mobile et les fournisseurs d'accès à Internet, conservent toutes les traces des internautes et des abonnés au mobile, pour les délivrer à la police judiciaire ou à l'Etat, sur simple demande.
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La suite demain
Le pourcentage : 46%
Le mot du lundi : ATTRITION
I. Usure par frottement.
A. MÉD. Écorchure superficielle résultant d'un frottement :
1. Le crâne, fracassé par un instrument contondant, montrait la cervelle à nu, et la substance cérébrale
avait subi une attrition profonde.
VERNE, Vingt mille lieues sous les mers, 1870, p. 247.
B. PHYS., vx. ,,Usure par frottement de deux corps durs`` (Mots rares 1965). C'est par l'attrition que l'on aiguise, que l'on polit les métaux (Ac. 1835-1932).
II. Au fig.
THÉOL., CATH. Contrition imparfaite fondée sur la seule crainte des châtiments éternels :
20h09, émission littéraire avec un Jean-Louis Ezine en verve (Kitano a assisté à l'enregistrement)
Avec les critiques littéraires (diffusion : 29 avril ) : Olivia de Lamberterie (Elle), Michel Crépu (Revue des Deux Mondes), Arnaud Viviant (France Inter) et Jean-Louis Ezine (Nouvel Observateur).
Les livre:
« Microfictions », Régis Jauffret (Gallimard)
« Le tunnel », William Gass (Cherche Midi)
« Avant, pendant, après », Jean-Marc Parisis (Stock)
« L’explosion de la durite », Jean Rolin (POL)
« La voyageuse de nuit », Françoise Chandernagor (Gallimard)
"Le petit carnet perdu", Catherine Robbe-Grillet (Fayard)
+ 1 livre de poche
Album de catch mis à jour mais de + en + difficile d'utiliser des photos sur le net !
Jerry 'The King' Lawler
Hall of famer 2007
Catcheur et commentateur actuel de RAW
Les jeunes fêtards français à l'assaut des discos belges
Soucieux de s'amuser, mais aussi de boire plus que de raison, beaucoup de ces fêtards développent une nouvelle technique qui inquiète : le stockage d'alcool dans le coffre de leur voiture, dans des flacons détournés de leur vocation première - jus de fruits, tubes de sauce ou concentré de tomate.
Arrivant parfois le vendredi soir pour commencer une fête qu'ils prolongeront jusqu'au dimanche, les jeunes s'approvisionnent massivement dans les nombreux magasins de nuit, à Tournai ou Mouscron, afin de ne pas payer de consommations dans les dancings. Entre deux séances sur la piste, ils s'abreuvent dans les toilettes et les parkings.
La technique inquiète les propriétaires des boîtes de nuit, qui voient leur chiffre d'affaires chuter, et la police, fréquemment confrontée à des noceurs qui frôlent le coma éthylique et sont trop souvent impliqués dans des accidents graves.
Les premiers s'organisent en développant les contrôles et la télésurveillance. La seconde combine prévention et répression. Elle note une amélioration sur les
derniers mois, mais se préoccupe de la présence de nombreux dealers de drogue qui proposent notamment à cette clientèle de l'ecstasy qui, combinée à l'alcool, a des effets
dramatiques.
Il y a quelques semaines, un jeune Français en overdose a été déposé par ses copains devant une clinique de Tournai. Il était mort.
Les maires de la région ont pris une ordonnance obligeant les dancings à fermer leurs portes à 8 heures du matin. Selon Dominique Leroy, ancien responsable de la circulation à la police de Tournai, cela a au moins eu le mérite d'interrompre une fête sans fin qui pouvait plonger des noceurs dans une dangereuse inconscience.