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LASTDAYS

BALI X en photos

31 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)
encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)
encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)

encore et toujours un coucher de soleil à Kuta Beach (en bleu effet tungstène)

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BALI X en photos

30 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Marcello, lifeguard, père, chanteur, ange gardien et esprit positif

Marcello, lifeguard, père, chanteur, ange gardien et esprit positif

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BALI X en photos

29 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)
Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)

Marcello en concert live avec la guitare que l'on venait de lui offrir (son groupe sur facebook THE HYDRANT BALI)

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BALI X en photos

28 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)
Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)

Un coucher du soleil à Kuta Beach, aout 2018, avec des effets (sépia, noir et blanc, tungsten)

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BALI X en photos

27 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Marcello et le coucher du soleil
Marcello et le coucher du soleilMarcello et le coucher du soleilMarcello et le coucher du soleil
Marcello et le coucher du soleilMarcello et le coucher du soleil
Marcello et le coucher du soleilMarcello et le coucher du soleilMarcello et le coucher du soleil

Marcello et le coucher du soleil

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Le cours de l'euro face à la roupie : la barre des 17 000 roupies est dépassée

26 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Le cours de l'euro vient de dépasser la barre symbolique des 17 000 roupies indonésiennes.

Mi-juillet, j'avais fait le change pour 16 850 roupies, cours qui n'avait cessé de baisser pour atteindre 16 550, lors de mon dernier change la deuxième semaine d'août.

Par rapport à août 2017, le cours était de 15 450, cela fait une augmentation de 10%; sachant que le prix n'ont pas augmenté (du moins pour l'hôtellerie) à Kuta, cela donne un pouvoir d’achat en hausse !

Le cours de l'euro face à la roupie : la barre des 17 000 roupies est dépassée
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BALI X : Marcello

25 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous

 

Les derniers arrivent. Il fallait choisir entre la plage et un ultime tour à Ulu Watu. J'ai préféré l'humain à la géographie. On va passer les deux derniers après-midi avec Marcello.

 

J'avais croisé Marcello sur la plage la semaine dernière mais il était en conversation et nous nous étions partagés en deux groupes : un sur la plage et l'autre sur le trottoir de la rue de la Pantai Kuta pour les dernières courses au Mata Hari pour les achats de souvenirs. Il me dira qu'un de ses collègues nous avait vu marcher.

 

Aujourd'hui, la mer est calme et les drapeaux rouges ont enfin disparu. C'est une journée calme pour les Lifeguards. Je vais discuter longuement avec Marcello, sur la vie, en général et sur lui en particulier.

 

Marcello a de nombreux et reçoit souvent des cadeaux. Il m'a dit que sa femme avait été touchée par nos présents, bien que modestes et que sa fille avait aimé les poupées. C'était les seules que nous avions à la maison. Il me dit que chez lui, il n'y a pas de jouets de garçons !

Un cadeau, il en a eu avec une combinaison de plongée et aujourd'hui, cela va être une guitare !

Marcello a un groupe de musique. Il se nomme THE HYDRANT BALI. Il est parti l'an dernier en Croatie et va se produire bientôt  à Jakarta et le 6 septembre à Bali. En 2016, le groupe est allé à Las Vegas lors du plus grand festival de Rockabilly. Le souci des performances vient qu'ils sont 5 plus le manager et qu'il faut financer le voyage.

 

En regardant la plage et en voyant déambuler les jeunes femmes que c'est un métier doublement difficile avec ce spectacle. Marcello me dit qu'il a pour cela les lunettes de soleil. Juste avant de venir nous voir, il était en discussion avec deux jeunes femmes. Il me dit que cela lui arrive de discuter avec la gente féminine jusqu'au moment où il amène sa main gauche  au visage et que les demoiselles aperçoivent l'alliance. Une heure ruinée en une seconde !

 

Marcello est marié à une suédoise, je crois. Elle avait une boutique que gâteaux mais elle a arrêté vu loyer à payer. Elle se consacre à son activité via Facebook. Marcello va me raconter les démarches que connaît si bien Fred.

 

à suivre ...

 

 

 

 

 

 

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BALI X en photos

25 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul
Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul
Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul
Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul
Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul

Vue de la porte 217 à lo'aéroport d'Istanbul

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BALI X en photos

24 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)
un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)
un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)
un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)
un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)

un coucher de soleil au Poste 2, Kuta Beach, aout 2018 ; l'enlevèment des drapeaux (rouges !)

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BALI X : The naughty duck

24 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous !

 

La petite souris est là, on l'entend. Non  pas la petite souris qui prend les dents des enfants mais une vraie petite souris que j'ai déjà vue deux fois dans les allées du Lusa.

Comment savoir qu'il y a une souris sans la voir ... et bien en l'entendant, le soir et dans la nuit.  Ces derniers temps, je ne l'ai plus entendu, signe que les maigres ont eu une discussion avec elle.

Je me souviens avoir vu dans la rue de Mataram et aussi sur la Legian un rat. C'estun peu normal vu les offrandes et le système de ramassage des ordures.

 

Parlons d'ordures depuis au moins trois jours, les ordures ne sont pas ramassés à l'entrée du Poste 4, autrement dit à l'entrée de laplage, celle où nous avons juste une rue à traverser (la Pantai Kuta). Cela sera fait juste avant les festivités pour la commémoration de la fête de l'indépendance le 17 août.

Si j'avais prévu cela ou si vous voyagez, prévoyez quelques jours pour assister à la fête dont les festivités commence le 15 , pendant 5 jours, au moins à Kuta. Pensez aussi à ce que nombre de commerces soient fermés.

 

Une dernière fois, nous sommes allés au restaurant japonais qui est toujours un plaisir et qui est la seule entorse aux menus indonésiens durant ce séjour. On n'a pas pu, pas voulu tester le menu du restaurant américain de restauration rapide, de toutes les manières, je pense que ce qu'apprécient en premier les enfants, c'est le cadeau dans leur menu.

 

Ce qu'auront apprécié mes enfants, c'est la piscine de l'hôtel. Avec drapeaux rouges, cela aura été une aubaine mais pour ma part, je trouve dommage de se baigner dans une piscine à moins de cent mètres de la plage.

Sur le chemin de la plage, jalan Benesari, il y a sur la droite des commerce qui auparavant, il n'y a pas si longtemps,  était de la végétation. Les premiers commerces se sont ouverts et ont fermés. Il y a eu des beignets (pas repris depuis), le salon de tatouage (pas repris) et un autre mais j'ai oublié ce qu'il vendait. En face de ces commerces, c'est-à-dire, à deux mètres, le physionomie de la rue évolue. Il y a eu ces derniers jours 3ouvertures : une petite boutique de vêtements (promis à la fermeture), un petit snack (je ne lui prédis pas un avenir, il a fallu au moins deux jours pour voir la pancarte des prix) et un stand de jus de fruits où l'on ne peut que prendre le verre de jus de fruits ou le café puisqu'il est peu profond  (moins de deux mètres), il est tenu par la famille du Komala et a une fois de plus la particularité de ne pas afficher ses prix.

 

Par contre, il est un endroit où il y a du monde mais toujours du monde, c'est le Naughty Duck.

C'est une clientèle essentiellement masculine avec deux ou trois femmes indonésiennes qui discutent à l'extérieur sur des poufs, sièges, tabourets tout au long de la fin de la journée jusqu'à la fin ou presque de la nuit. Je n'ai jamais compris le succès de cet endroit. J'y ai compté d'une dizaine à une vingtaine de personnes sans discontinuer.

 

Cette clientèle est essentiellement masculine et âgée. L'un de la compagnie est facilement reconnaissable car il a des tatouages. Les tatoués et les tatoueurs sont légions à Kuta mais celui-ci dénote des autres. Il est à la retraite, a de longues moustaches blanches et de nombreux tatouages dont certains sur le visage. L'un d'entre eux représente un revolver. Normalement, cela doit signifier que malgré son petit gabarit,  il ne doit pas être un tendre.

 

Beaucoup plus tendre, note copain qui travaillait au Komala il y a trois ans. Il savait quelques mots de français "comment allez-vous ?", "mon ami". Il a connu mon fils aîné lors du premier voyage. Ensuite, il a quitté le restaurant pour la boutique de beignets et le voici depuis deux ans dans ce restaurant dans la rue menant à la Poppies. A chaque fois, c'est lui qui nous reconnaît (d'habitude, il est à l'intérieur de son établissement). Il me dit que son propriétaire est français. Et oui, il y a des hommes d'affaires à Bali. Je pense à ce français qui, il y a quelques années, avait construit un hôtel sur une des îles Gili (j'ai oublié laquelle). Son activité n'était pas florissante et il savait lorsqu'il laissait les indonésiens s'en occupaient qu'il se faisait escroquer. Les îles Gili étant devenues à la mode, il avait eu le jackpot ... sauf que les tremblements de terre du mois d'août ont anéanti tout cela.

 

Pour finir, on entend beaucoup de français ici. D'ailleurs nous croisons Mysti qui nous parle encore de ces mêmes histoires et du comportement toujours intéressé des indonésiens. Ce n'est pas du tout ma perception, peut-être avons-nous des relations et un comportement différents face aux personnes que nous rencontrons. Je vous en parlerai lors du dernier billet qui s'annonce dans deux jours.

 

 

 

 

Le Naughty Duck

Le Naughty Duck

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BALI X en photos

23 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers
l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers

l'église en construction sur la route de Patimura refaite enfin en fin de voyage. Nos amis les hérissons malheureusement prisonniers

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BALI X : Times change

23 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous !

 

la fin du voyage approche, voici les dernières nouvelles avant de vous parler demain de la rencontre avec Marcello.

 

Ce voyage aura été marqué par la baisse des températures qui ne sont plus aussi élevées qu'auparavant où il fallait mettre le ventilateur sur le chiffre maximum pour ne pas succomber de chaleur et pouvoir dormir malgré le bruit de l'appareil. La climatisation n'est pas requise à Bali, sauf à vouloir un mal de gorge.

 

Avec les bienfaits de la technologie, j'ai pu réserver mes billets de train pour Paris pour les vacances de Toussaint. Pour l'aller pas de souci, pour le retour, cela n'a pas été plus compliqué mais plus cher car au départ de Paris, il y avait beaucoup plus de monde.

 

Deuxième changement dont j'ai parlé hier, le taux de change qui nous est favorable et qui couplait aux prix stables de l’hôtellerie font de Kuta une destination bon marché. Compter environ 4 euros pour une chambre simple pour une personne dans la catégorie petits prix.Les surfeurs et les gens ont déserté Kuta pour Canggu (prononcer chan gou). La stabilité des prix des hôtels est un juste retour après des années de hausse sans discontinuité. J'ai connu le Komala 2 avec des prix cinq fois moins élevés ... mais c'était au siècle dernier !

 

Kuta reste l'endroit où l'on peut croiser de jolies filles et sûrement de beaux surfeurs. Je vais en rester aux filles, c'est toujours la douceur des brunes balinaises aux cheveux longs qui côtoient la blondeur des filles de l'Est.

 

Si les températures ont baissé, le temps a bien changé. Jamais il n'avait plu un matin. C'est arrivé deux fois durant mon séjour, sans compter des pluies le soir et dans la nuit. IL y a du dérèglement climatique dans l’air. Et comme me l'a dit Saïd, en novembre, il a plu pendant 5 jours de suite et cela n'était pas des petites averses. Une île, une plage este encore plus triste avec la pluie.

 

Pour le cinéma, ce n'est pas en Indonésie que l'on va se forger une culture cinéphilique. Le meilleur des 5 films restera Mission Impossible Fall out, c'est peu dire. Vous pourrez éviter Slender Man qui sortira prochainement sur les écrans français. Je me demande encore pourquoi ce film, réalisé par un franco-américain n'est pas sorti directement en dvd. Le 29 août en France, sortira Burning avec en mention sur l'affiche "notre Palme d'or" par Télérama ; son précédent film, POETRY, avait un des films de mon année 2010.

 

Les vagues. On vient à Bali pour les vagues pour faire du surf ou tout simplement pour les affronter et se baigner. Cela ne fut pas le cas cette année avec des drapeaux rouges sur tout le séjour ou presque. Cela a gâché le plaisir. Je me souviens d'un des derniers jours où les vagues n'étaient pas fortes mais en entendant le Lifeguard dire que trois russes s'étaient fait prendre ("skip") par les courants le matin, cela calmait les ardeurs.

Lors de fortes vagues, nous avons pu assister à un rescue. Le gars qui est arrivé avec le scooter des mers était un indonésien avec une petite planche de surf, il ne semblait pas traumatisé ou gêné de s'être fait prendre par les courants. A chaque fois que les Lifeguards prennent le scooter des mers, c'est toujours une cérémonie ou presque pour le mettre à l'eau mais surtout ensuite pour le renter. Il faut le mettre sur son socle et pousser. Ils sont presque une dizaine pour le ranger.

 

En logistique, j'ai dû changer cette année, l'appareil à moustiques qui fonctionnait avec des plaquettes. Celui de l'an dernier donnait des signes de faiblesse par le fait qu'il ne s'allumait plus. avec le mécanisme simple des fils électriques, il m'a paru plus sage de la changer.Le nouveau en forme de souris est plus gros et résistera peut-être plus aux longues cadences journalières. Je n'ai pas testé l'autre méthode de Saïd pour les moustiques qui consiste à laisser la lumière de la salle de bain éclairé et de sulfater lors du retour.

 

Dernier changement, positif cette fois, l'irruption du smartphone connecté à Internet. Je ne suis pas du tout téléphone mais désormais en voyage, j'aurais toujours un téléphone qui même si je ne m'en sers pas beaucoup est d'une utilité dont on ne peut se passer. L'application du traducteur aide à se faire comprendre et à traduire les étiquettes. L'application que j'avais, pouvait scanner des étiquettes, pouvait être appliquée lors d'une conversation autant pour traduire l'indonésien que le français.

Le Google Maps peut s'avérer indispensable (comme en France) mais surtout l'application Grab (et Ojek pour ceux qui sont seuls et qui peuvent être conduits e moto) casse les prix exorbitants des taxis (autre que Blue Bird) et donne un sentiment de facilité de déplacement qui existait beaucoup moins avant.

Pour une fois, c'était moins bien avant !

 

 

 

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BALI X : The band

22 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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BALI X en photos

22 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

la vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksa
la vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksa
la vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksa
la vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksala vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksa

la vue en étant au Totemo (restaurant), le fameux plat de poisson (ikan pepes) dans une feuille de banane et un chicken laksa

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BALI X : Zatoichi

21 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous !
Dernière ligne droite des articles pour vous qui avez sûrement repris le chemin du travail et de l'oubli des vacances.
Ce billet, je devais l'écrire en fait l'an dernier mais la hernie discale et la douleur liée à celle-ci ne m'ont pas permis de le faire.
Zatoichi, c'est d'abord une vingtaine de films, au Japon, dans les années 60. Elle met en scène un masseur aveugle (cela sera toujours le même acteur) qui va se trouver à régler des différents et à protéger les faibles.
En France, ce personnage va trouver un écho cinématographique en 2003 avec Takeshi Kitano qui va réalisé et joué le film, à la demande d'une amie de l'acteur des années 60 et 70 (plus un film en 1989). Ce film restera le plus gros succès public mondial de Takeshi Kitano, qui pour ce film s'était teint les cheveux en blond platine.
L'an dernier et cette année, nous avons vu le monsieur que je nomme Zatoichi et que les enfants appellent "le monsieur aveugle".
Il a un bâton pour se repérer dans les allées de l'hôtel. Depuis le temps qu'il marche et qu'il connaît, il ne se repère pas si facilement que cela.
Son activité consiste avec le bâton, à savoir si l'une des trois poubelles à côté de la réception est remplie. Si c'est oui, il la prend, sort de l'hôtel et va la vider ... je ne sais où. Un jour, je l'ai vu se faire aider par un touriste qui le guider. Il faut mentionner que lorsque l'on sort de l'hôtel, il y a 5 mètres avant la petite rue où circulent des voitures ; il ne faut pas dans ce cas trop s'éloigner du bord car de trottoir, il n'y en a pas.
Zatoichi est presque toujours vêtu d'un tshirt, d'un bermuda avec des cheveux blancs qui tiennent avec un élastique. Il a un bungalow presque en face du nôtre. En inspectant mieux, je me suis aperçu que c'était un grand bungalow. Je ne pense pas qu'il y ait des lumièreres.
Il ne porte pas de lunettes, ses yeux sont fermés. Deux ou trois fois, je l'ai vu en costume traditionnel se faire emmener en moto.
Je me suis souvent demandé quelle était sa fonction. Pourquoi l'hôtel gardait une tele personne. Comment pouvez être sa vie.
En réglant notre séjour, j'en ai profité pour poser la question : "qui est cet homme aveugle ?".
La réponse de l'employé à voix basse fut la suivante : "c'est le boss".
Je tombais tellement des nues que je n'ai pas posé d'autres questions. Ma question suivante aurait été : "quel est son nom ?", puis "quelle est son histoire?".
Il restera pour moi Zatoichi et pour mes enfants "le monsieur aveugle" qui leur disait hello lorsqu'il passait et que mes enfants lui disaient bonjour.
Pour en terminer avec les gens de l'hôtel, voici les personnes que nous avons croisé.
Tout d'abord, ce duo (je ne pense pas que cela soit un couple) coréen de filles. J'écris coréen mais je ne suis pas sûr, en tous cas, elles n'étaient pas japonaises au son de leur conversation. la première devait mesurer au moins 1,75 m, athlétique, sportive, avec une tête qui ne souriait jamais. Sauf une fois, elle regardait un portable et cela lui conférait une allure plus humaine.
Une fois, je l'ai vu à la plage en train de courir avec son portable autour du bras, je l'ai recroisé ensuite en train de faire des étirements. Elle aimait le matin, êter devant la piscine. Autant, elle était sportive, autant sa copine était plus classique, plus petite, plus enrobée (lorsqu'elle se baissait, il n'y avait qu'une "ligne" visible sur son ventre).
J'ai croisé aussi, celui que je nommais le "journaliste". Il avait un look de journaliste années 1970 avec ses lunettes carrées, spécialisée dans l'international. Il avait un air gentil, il était seul.

 

Passons sur la mode des débardeurs sans soutien gorge. Deux femmes l'ont porté lorsque nous déjeunions. La première parlait espagnole, elle avait des lunettes, un mari, des enfants et des amis. Elle avait un débardeur  échancré. Elle en l'a mis qu'une fois. Son amie, l'après-midi faisait des mouvements d'art martial.
La seconde femme, d'une trentaine d'années à peine, était grande, plus grande avec un dos que j'ai trouvé rectangulaire et une visage en croissant de lune, c'est-à-dire que le menton était bien plus avancé que le front. On pouvait se douter qu'elle savait qu'elle avait une belle poitrine bien faite car elle était soit avec le débardeur, soit en haut de maillot de bain même pour quitter l'hôtel. Elle était seule.
Pour finir et avant de vous parler d'une sacré bande dans l'hôtel qui mérite un article spécial, il y avait un groupe de 4 personnes, un homme et trois femmes. Vu leur âge et leur profil, je pense qu'ils étaient à la retraite et que l'homme voyageait avec sa mère et sa copine et que la troisième femme était son épouse mais je n'en suis pas totalement sûr !
En tous cas, ils avaient le sourire et cela est bien le plus important. Sourire qui m'a manqué pour ce voyage.

 

 

 

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La bande annonce de Zatoichi (en Vo)

21 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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BALI X en photos

21 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche
sur le chemin retour de notre longue marche

sur le chemin retour de notre longue marche

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BALI X : Phillipe

20 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous !
Avec notre migration à l'hôtel Lusa, nous avons perdu l'opportunité de faire des rencontres avec un des personnes françaises et deux des personnes plus jeunes, plus ouvertes à la communication.
Pour autant, j'ai pu discuter avec ce français qui était avec son fils à côté de notre bungalow, le second bungalow sans eau chaude. De tout notre séjour, le bungalow n'aura été loué que 5 jours par 3 personnes. La deuxième personne, une dame, nous a appelé un soir pour nous montrer dans sa chambre une centaine de fourmis volantes. Elle demandera à changer de chambre.
Le premier locataire, j'en ai déjà parlé car en passant devant le bungalow, le soir (soit vers 1 heures pour nous), on pouvait entendre clairement le film français qu'ils regardaient grâce au volume du son. En nous entendant parler, ils avaient tout de même baissé le son. Par chance, le fils qui partageait la chambre, le lit avec son père devait avoir des apnées du sommeil, il bougeait dans le lit et le père en a eu assez et a changé de chambre.
Le soir, le dernier soir du père français sur le sol indonésien, nous avons discuté avec lui, nous avons discuté avec Philippe. Philippe  doit avoir la cinquantaine, ses cheveux gris l'attestent.
Il a eu une vie mouvementée. Il s'est fait interdire de fac dans les années 90 (je crois me souvenir) car il avait piraté un site ... celui de la NASA. Il a ensuite été directeur en Guadeloupe (je crois) d'un centre de sismologie pour finir par créer sa startup sur l'intelligence artificielle.
Cotê vie privée, il a été marié deux fois. Une de ses femmes était bipolaire. Il a trois enfants, deux filles et un garçon de deux unions. Il nous a dit qu'une de ses filles a eu des problèmes de santé ... en fait, elle s'est faite internée dans un centre choisi par son eau-père médecin. Un jour, il a voulu la faire sortir pour un voyage à New York ... mais cela a été difficile. Je pense que rentrer dans un asile est plus facile que d'en ressortir ! Maintenant elle va mieux.
Il aime la Corse mais ne veut y revenir sur à une altercation l'an dernier avec des gens du terroir. Un jour, il était en Corse avec sa fille et au moment de régler, la propriétaire lui dit : "non, vous ne me devez rien ". Il demande pourquoi et elle lui répond : "vous me rappelez trop mon père qui m'emmenait en voyage avec lui et qui s'occupait de moi".
Par contre, aspect relation amoureuse, je le trouve bien naïf. Il me raconte l'histoire d'une de ses connaissances : lui 58 ans, très bonne place dans une entreprise ; elle, 24 ans, russe et très bonne ... calculatrice. Ils se sont mariés, ont eu un enfant et il a perdu sa place et sûrement sa jeune épouse !
Il est étonné de la rapidité des rencontres que font les jeunes, surpris de voir des couples mixtes avec une différence d'âge et de morphologie. Cela doit être son côté fleur bleue, il me raconte l'histoire de ce photographe parti en Thaïlande pour un reportage sur le monde de la nuit qui est tombé amoureux d'une prostituée qui pleurait à chaudes larmes la veille de son départ. Mysti, viens lui expliquer !
Pour finir, il aime faire des faux, d'ailleurs le permis de conduire international de son fils en est un. Il est tard, très tard pour nous, une heure du matin, nous nous séparons. On se croisera le lendemain.
Pour en venir à notre journée, nous avons mangé au Totemo, un restaurant cher pour nous mais de qualité avec les fameux pepes ikan (du poisson avec des légumes présentés dans une feuille de bananier). Les enfants vont choisir pour l'un, une pizza Margherita et pour l'autre un hamburger (il ne mangera même pas la viande de bœuf). C'est bien la peine de partir si loin pour entendre vouloir ce genre de menu !
Pour couronner le tout, ce matin, il a plu ... mais vraiment. En quelques instants la première marche de notre bungalow était recouverte d'eau. Je n'ai jamais vu cela en 10 voyages ! La planète est vraiment déréglée. Entre la pluie balinaise et la canicule française, je ne sais que choisir ... ni l'un, ni l'autre.

 

 

 

 

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BALI X en photos

20 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

vers Semyniak en passant le long de la plage (avant il n'y avait pas de palissade ... cela va éviter le dépôt d'ordures)
vers Semyniak en passant le long de la plage (avant il n'y avait pas de palissade ... cela va éviter le dépôt d'ordures)
vers Semyniak en passant le long de la plage (avant il n'y avait pas de palissade ... cela va éviter le dépôt d'ordures)
vers Semyniak en passant le long de la plage (avant il n'y avait pas de palissade ... cela va éviter le dépôt d'ordures)
vers Semyniak en passant le long de la plage (avant il n'y avait pas de palissade ... cela va éviter le dépôt d'ordures)
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BALI X : new look

19 Août 2018 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous !
C'est le jour J pour aller chez le coiffeur. Habituellement j'attendais les derniers jours mais Fred m'avait conseillé de précéder la date pour ne pas avoir quelques traces de blancheur sur mon visage avec une coupe courte.
D'année en année, je réduis les coûts du coiffeur. D'ailleurs, le salon de coiffure d'il y a deux a fermé ses portes. Étrange, il y avait toujours du monde. Lorsque j'écris salon, il faut plutôt voir, une grande pièce avec un grand poster avec différentes coupes qu'un salon que l'on peut trouver chez nous. D'ailleurs des salons comme à Bali, on ne peut en trouver en France, enfin je ne crois pas.
L'an dernier, dans la rue de Mataram, la rue où nous prenons le Temulawak, j'avais en regardant trouvé un salon, avec une clim, une télé cablée allumée et j'avais vite négocié le prix pour trois personnes (environ 6 euros). La dame ne parlait pas beaucoup anglais et comme je ne parlais pas beaucoup indonésien, cela la conversation fut succincte.
Cette année, en allant boire un jus de fruit au petit centre de Patimura, j'ai vu une affiche dans un salon qui affichait une coupe pour 20 000 roupies ! Vu que je voulais une coupe avec une tondeuse, j'y suis allé emmenant aussi mes enfants. La dame fort gentille leur offrit des gâteaux et un verre d'eau. Elle me raconta qu'elle avait deux petits-fils et que son mari était sur une île. La coupe fut rapide. La dame me demanda si je voulais être dégagé autour des oreilles, je répondis par l'affirmatif sans me douter que cela serait dégagé bien autour des oreilles : genre de coupe au mieux de militaire au pire de banlieue.
Pour les enfants, j'ai demandé le ciseaux. Elle s'exécuta mais lorsque nous sommes rentrés à la maison, c'est moi qui me suis fait exécuter ! La coupe de mon aîné ressemblait à celle ratée en France, type Jeanne d'Arc, pour le cadet c'était moins poire !
Retour chez notre coiffeuse de l'an dernier, sauf que le tout petit refusa de se faire encore couper les cheveux ! Cela fit sourire la gentille coiffeuse qui arriva à reprendre et à donner une vraie coupe à l'aîné.
 Pour le plus petit, il fallut attendre deux jours pour qu'il accepte sans souci une coupe de rattrapage. C'est drôle car lorsque nous sommes rentrés, la coiffeuse était en train de manger. Je lui ai dit de prendre son temps. Cette année le changement, ce fut qu'avec le smartphone, je pouvais lui montrer "dégradé", voire même une photo pour suivre le modèle.

 

Pour finir sur les coiffeurs, il y a dans la rue qui mène à la Poppies, au croisement du Frog, un salon de coiffure. Mais comme me l'a dit mon fils "Papa, c'est étrange, ce sont des filles avec des voix d'hommes !". Peu nombreuses le matin mais encore plus accrocheuses en fin d'après-midi, ces personnes déclenchent à votre passage "massage". Je pense que cela est plus que des massages relaxants. Ce sont les seules qui touchent les hommes. Une fois, on a vu un touriste à moto, la cinquantaine passée, discuter avec elles après que l'une d'elles l'ait alpagué. Même lorsque je passe avec mon fils, j'ai droit à une demande de massage !
Moins drôle, au jour où j'écrivais ces mots, il y avait "seulement" 140 morts à Lombok, 1 400 blessés et 4 200 touristes évacués.
Après ces péripéties capillaires, nous sommes allés au Poste 2 pour vori Marcello mais il n'était pas là. J'apprendrai plus tard qu'il avait pris un jour de repos car c'était le premier anniversaire de sa deuxième fille Hazel. J'apprendrai aussi que trois baigneurs se sont fait attraper ("skip") par les courants dans la matinée.
Je croise sur la plage Saïd avec sa copine, comme l'an dernier. Je lui dis que j'applique sa technique pour les moustiques, à savoir sulfater en quittant la chambre pour arriver le soir dans une chambre où l'on ne craint pas d'être piqué. Il me donne une autre technique : laisser la lumière de la salle de bain allumée pour au retour sulfater la pièce avec les moustiques qui se seront réfugiés dans cet endroit humide et avec de la lumière. Je n'ai pas encore testé cette méthode.

 

Le crépuscule arrive vite, en une vingtaine de minutes. Après la douche, nous décidons de retourner au bakso malgré le prix touristique que l'on nous applique Dans cet endroit, on trouve du Temulawak et on peut guetter le pouet pouet du bakpao. Comme d'habitude, nous sommes immergés dans la culture indonésienne même si j'entends mes enfants me demandaient des frites ou d'aller au Burger King ! Ils me demandent même dans combien de jours on rentre. N'ayez crainte, on rentre bientôt en France ; par contre, je ne suis pas sûr que l'on revienne à Bali !

 

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