/image%2F0535632%2F20161008%2Fob_c972e2_65-devant-tigre.JPG)
Belle et athlète
TATOUFAUX.COM
Le contenu de cet article est PROUVÉ
Il y a matière à dire avec le pipi des oiseaux Une idée reçue que l’on peut recevoir
Une goutte d’eau qui nous tombe dessus d’on ne sait où. « Tiens, c’est un oiseau qui t’a pissé dessus ! ». Simplement les oiseaux ne font pas pipi comme nous. Avez-vous déjà vu un oiseau uriner sur un réverbère ? Un oiseau faire la queue devant une pissotière ? Non ! Jamais !
La raison en est simple, les oiseaux n’ont pas de vessie, mais un cloaque qui recueille, entre autres, les selles et les urines pour composer la fiente. Cette fiente est composée de trois parties : l’urine liquide, l’acide urique blanc, et les selles (plutôt vertes). Quand l’oiseau "fait", il lâche tout d’un seul coup et ce n’est pas une goutte d’eau que vous recevez sur le crâne.
Miss France 2009
Chloé Mortaud, Miss Albigeois-Midi-Pyrénées
Alain Jocard AFP ¦ Miss Albigeois-Midi-Pyrénées Chloé Mortaud sacrée Miss France le 6 décembre 2008 au Puy-du -Fou
Belle et athlète
Le Pinku est fan du PROJECT ZERO
La grosse firme de RPG Square-Enix leur avait donc proposé une offre de rachat, rejeté catégoriquement par Tecmo. Une opération de fusion était à l'étude avec la compagnie Koei (Koei France a fermé ses portes le 26 septembre 2008 après 3 ans d'activité), connue notamment pour Disgaea et Persona 3. Aujourd'hui, après 3 mois de pour-parler, la fusion est officielle !
A partir du 1er avril 2009, Koei et Tecmo fusionneront pour donner naissance à Koei Tecmo Holdings.
Pour nous, joueurs, cette fusion ne devrait pas nous toucher, à part peut-être dans le fait que la sélection des jeux nippons pouvant sortir du pays sera sûrement plus rude, et que les prochains Project ZERO n’arriveront jamais chez nous comme ça a été le cas pour de nombreux jeux produits par Tecmo et Koei.
Anton Corbijn , G-Star du rock
La marque de jeans a fait appel au réalisateur de "Control" pour signer les images de la campagne Printemps-Eté 2009.
La mode aime s'encanailler avec l'art et le rock. La marque G-Star a fait appel au photographe et réalisateur Anton Corbijn pour signer les images de la campagne de la collection Printemps-Eté 2009. Il s'agit d'une première pour la griffe néerlandaise, connue pour ses jeans délavés et usés, qui, jusqu'à maintenant, n'avait que très rarement fait appel à des collaborations avec des artistes, à l'exception notable du designer anglais Marc Newson qui a signé des collections pour la marque.
Anton Corbijn s'est rendu célèbre en collaborant avec l'univers du rock, en signant des clips pour Depeche Mode ou Nirvana et en réalisant le biopic de Ian Curtis, Control. Son travail avec G-Star sera l'une de ses premières incursions dans le monde de la mode et de la publicité. La campagne, visible dès février 2009, mettra en scène les jeunes acteurs Toby Kebbell et Alexandra Maria Lara qui ont joué sous la direction d'Anton Corbijn dans Control.
TATOUFAUX.COM
Le contenu de cet article est PROUVÉ
La bébète qui monte n’est pas un insecte
Même si elle a la couleur de l’insecte et un peu le style, l’araignée n’en n’est pas un, bien qu’ils appartiennent tous les deux à la famille des arthropodes, elle entre dans la catégorie des Arachnides à côté des scorpions et autres acariens. Les Arachnides ont huit pattes et leur corps est composé de deux parties que sont l’abdomen et le céphalothorax mais elles se passent d’antennes et d’ailes. Les insectes, quant à eux, sont pourvus de six pattes et de trois parties que sont la tête, le thorax et l’abdomen formé en général de six à onze segments.
L’utilisation qui est faite dans le langage courant du terme "insectes", en regroupant à l’intérieur toutes sortes de petits animaux : arachnides, myriapodes (qui, contrairement à l’étymologie du mot, n’ont pas tant de pattes que ça) ou autre, est abusive vis-à-vis de la zoologie qui fait bien la différence entre ces catégories de bestioles
MESRINE L'INSTINCT DE MORT
Rarement film français n’aura montré un tel dynamisme, une telle envergure dans son sujet, ne se cantonnant pas à une simple présentation dans une mise en scène classique.
Jean Claude RICHET en réalisant MESRINE a changé les codes : deux longues parties qui pour la première nous présente la vie de ce délinquant devenant l’ennemi public numéro au Québec (1969) avant de retourner en France, mais cela sera pour le prochain épisode. L’affiche est révélatrice, autant la seconde est d’inspiration christique, autant la première fait ressortir l’agressivité avec au premier plan ce pistolet tendu dont on voit nettement le canon et avec comme mention ‘PART 1’.
L’ordre chronologique est gardé, faisant débuter cet instinct de mort lors de la guerre d’Algérie, pendant une séance de torture. Sauf qu’en prologue, en split screen (écran partagé), on nous présente la fin, la journée du 2 novembre 1979, dont les tirs et l’issue fatale seront sûrement montrés dans l’épisode 2.
Comment une personne qui aurait pu être un employé sinon modèle du moins ordinaire va-t-il tomber, sombrer dans le banditisme ? Argent facile, certes. L’attrait est de deux ordres : le premier vient d’abord du personnage complexe. Car même s’il est violent, cet individu a une morale. Il a été marié, a eu trois enfants et a défendu sinon la veuve du moins la prostituée. On se souviendra aussi de cette phrase à son père lorsqu’il quitte le foyer parental : « on dirait que les couilles ont sauté une génération dans cette famille », lorsque ce dernier lui dit « Ta mère et moi …. ».
Ensuite, il y a la mise en scène alternant plusieurs styles. Le début poussif avec une reconstitution cinéma à l’ancienne ne semble exister que pour mieux être dynamité dans l’action comme l’attaque de la prison, digne de films américains. On se demande même si cela est vrai tellement cela paraît improbable. Par contre, même si l’on ne peut que condamner les méthodes inhumaines de la prison québecquoise, force est de constater qu’ils arrivaient à « calmer » les prisonniers les plus durs. Il est vrai, en les rendant fous ou presque en les mettant nus, leur faisant subir coups, tortures psychologiques avec une nourriture réduite.
De cette première partie, il ressort surtout la violence, l’instinct rebelle mais sans glamour dans ce/le milieu. Des indices laissent penser que l’attrait pour les médias s’amplifiera.
L’INSTINCT DE MORT est l’une des surprises françaises de cette année, emmenée par l’interprétation d’un Vincent Cassel sur lequel repose en grande partie cette réussite.
