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Les jeux sur écrans tactiles néfastes pour l'acquisition du langage des petits

30 Mai 2022 Publié dans #famili

Méfiez-vous des smartphones et tablettes !

C'est, du moins, la conclusion d'une récente étude selon laquelle l'utilisation d'écrans tactiles chez les plus jeunes enfants pour des jeux non-éducatifs ralentirait l’acquisition du langage.

A votre avis quel est le jeu préféré d'un bébé de 11 mois aujourd'hui ?

Exit peluches, poupées, voitures et autres jouets traditionnels, c'est le smartphone qui remporte la palme ! D'après une étude rapportée par le Daily Mail, les enfants en bas âge utiliseraient les dispositifs tactiles environ 36 minutes par jour, dont 9 minutes à toucher les boutons au hasard, sans véritablement jouer.

De nos jours, nombreux sont les parents à céder à l'option de facilité en laissant son enfant jouer sur leur smartphone pour avoir la paix pendant quelques minutes. Eh bien méfiez-vous car les écrans tactiles nuiraient au développement du langage chez l'enfant.

C'est ce que démontre cette étude réalisée au centre médical pour enfants Cohen à New-York. Elle a en effet révélé que les enfants âgés de 0 à 3 ans jouant à des jeux non-éducatifs sur écrans tactiles auraient un développement verbal plus lent. L'étude attribue un zéro pointé aux applications telles que Angry Birds ou Fruit Ninja qui n'auraient absolument aucune valeur éducative !

Le groupe de chercheurs a également constaté que 60% des parents interrogés avaient tendance à utiliser les smartphones pour remplacer les livres et les jouets, pensant que les jeux éducatifs de leurs dispositifs tactiles pourraient aider au développement de leur enfant.

"Nous avons observé dans notre clinique néonatale que le "jouet" numéro un que les parents donnent à leurs enfants en bas âge est le smartphone", a déclaré le Dr Ruth Milanaikau quotidien. Or, les chercheurs ont constaté que les enfants ayant fréquemment été en contact avec des applications a priori éducatives n'avaient pas un meilleur éveil que ceux qui ne l'avaient pas été.

Attention à ne pas confondre technologie et éducation !

Les jeux sur écrans tactiles néfastes pour l'acquisition du langage des petits

Première publication le 8 mai 2014

Un petit garçon de deux ans est le plus jeune alcoolique du monde !

29 Juin 2014 Publié dans #famili

Deux ans et déjà alcoolique. Ce petit garçon chinois ne peut s'empêcher de consommer de l'alcool depuis l'âge de 10 mois... et ses parents s'en amusent !

Alors qu'en France l'âge moyen de la première consommation d'alcool pour un garçon est d'environ 13 ans, ce petit chinois de seulement 2 ans et déjà alcoolique consomment des bouteilles de vin à une vitesse hallucinante, rapporte le DailyMail. Surnommé "Little Winebibber" (Le petit buveur), Cheng a goûté au vin à l'âge de dix mois et bu sa première bouteille de bière avant d'atteindre ses 1 an. Une situation qui amuse beaucoup sa famille...

C'est son papa, ne sachant que faire pour que le bébé arrête de pleurer, qui lui a donné du vin pour la première fois. Le petit garçon a depuis développé une tolérance à l'alcool, ne ressentant plus aucun effet après avoir consommé une bouteille de bière. Une situation dramatique pour l'enfant qui risque des conséquences irréversibles sur ses organes ou pire, de mourir !

La mère de l'enfant affirme avoir tenté de lui donner du lait, de crainte d'être arrêtée et jugée par la police, mais en vain. Même les boissons gazeuses ne l'intéressent pas. "Ses yeux fixent constamment les bouteilles d’alcool. Nous ne pouvons que les cacher afin qu’il ne les voit pas". Face à l'indignation générale suite à la révélation de l'alcoolisme de son fils, la mère a expliqué qu'elle empêchera désormais l'enfant de consommer de l'alcool...

Une "prise de conscience" qui arrive malheureusement trop tard ! Les services sociaux chinois tentent actuellement de placer le petit garçon dans une autre famille.

Une maman, séparée de sa femme, obtient le statut de "parent psychologique"

10 Mai 2014 Publié dans #famili

Depuis leur rupture, la mère biologique de l'enfant tenait à distance son ex-compagne pourtant très investie lors de la grossesse. La justice britannique en a décidé autrement...

Une lesbienne britannique de 40 ans vient d'être reconnue "parent psychologique" du bébé qu'elle a eu avec son ex-compagne, gagnant ainsi un droit de visite et le droit de prendre soin de l'enfant et de l'allaiter apprend-on dans leSunday World.

En effet, le tribunal a estimé que la jeune femme joue un rôle clé dans le développement de l'enfant depuis sa naissance et qu'elle doit donc être reconnue comme un parent à part entière.

Ce couple de lesbiennes avait fait appel à un donneur de sperme rencontré sur internet et s'était finalement séparé 2 mois après la naissance de leur petite fille. Si la jeune femme, désignée par l'initiale de son prénom L. n'est pas la mère biologique de l'enfant, elle a pourtant pris soin du bébé comme n'importe quelle autre maman. Son implication et son fort désir d'enfant lui auraient même permis d'allaiter pendant une dizaine de jours alors que sa compagne était tombée malade. Elle aurait en effet eu des montées de lait tant ce désir était fort...

Mais lorsque le couple s'est séparé, la mère naturelle du bébé a déménagé dans son pays natal en Irlande et coupé tout contact avec L. se retrouvant sans aucun droit parental. En effet, au Royaume-Uni, les couples de même sexe qui décident de concevoir un bébé via un traitement en clinique signent tous deux les documents légaux et sont donc parents à part égale. Dans le cas de ce couple, pour une procédure d'insémination à la maison par seringue, c'est la mère qui porte l'enfant qui est le seul parentaux yeux de la loi, l'autre devant déposer une demande d'adoption pour le bébé.

Une décision inacceptable pour cette maman qui a décidé de se battre ! Après trois mois de bataille judiciaire, la décision est tombée en faveur de L. considérée comme le "parent psychologique" du bébé. Une décision lui permettant de continuer à prendre soin de son enfant au même titre que la mère naturelle du bébé.

Réforme des rythmes scolaires : du nouveau pour les maternelles

8 Mai 2014 Publié dans #famili

Il semblerait que le ministre de l’Éducation porte spécialement son attention sur le rythme scolaire des écoles maternelles…

Il y a quelques jours, des assouplissements dans la réforme des rythmes scolaires ont été annoncés. Lundi 5 Mai, Benoît Hamon, désormais ministre de l’Éducation nationale a donc présenté un nouveau décret au Conseil supérieur de l’Éducation. Et bien que ce dernier l'ai rejeté, le ministre devrait passer outre puisque son avis est consultatif.

Dans cette circulaire, Benoît Hamon met l’accent sur le rythme scolaire des plus petits : les maternelles, selon Europe 1. Pour lui, l’important est de différencier le temps scolaire du temps périscolaire. En effet, les enfants ont besoin de repères. Et pour cela, il est essentiel qu’ils puissent faire la distinction entre les différents lieux que sont la classe, le coin activités ou encore le dortoir. Eh oui, le dortoir ! Car nos petits bout de chou entre 3 et 6 ans ont encore besoin de se reposer, cela est même indispensable à leur bien-être.

D’autre part, l’allégement du temps hebdomadaire des maternelles en classe est attesté. Les communes pourront, si elles le souhaitent, amputer un peu les vacances scolaires afin de réduire de 24 à 23 heures par semaine le temps de travail des élèves.

Ensuite, vient la question de la semaine de 4 jours. Celle-ci ne se poserait définitivement plus ! En effet, les cinq matinées de travail seront conservées. Cependant, les communes pourraient réunir les 3 heures d’activités périscolaires en une seule après-midi. Ceci est valable aussi pour les élèves de primaires.

Cette circulaire transforme beaucoup la réforme des rythmes scolaires introduite par l’ex-ministre de l’Éducation nationale Vincent Peillon. Conscient que ce nouveau décret peut créer « un peu de confusion », Benoît Hamon a annoncé qu'il allait lancer une campagne d’information. Les maires auront alors jusqu’au 6 Juin 2014 pour annoncer quel régime ils choisissent.

Une fillette renvoyée de son école à cause de son look trop masculin !

28 Mars 2014 Publié dans #famili

La fillette ne répondait pas à l'idéologie du genre féminin pour son école. Ils ont décidé de l'exclure de l'établissement.

Sunnie Kahle est une petite fille de 8 ans. Elle a les cheveux courts, aime le base-ball, et adopte un look plutôt garçon manqué. Un style qui n'est pas du goût de son école primaire catholique, à Timberlake en Virginie, aux Etats-Unis. Les dirigeants de l'école ont décidé d'exclure la petite fille qui "inquiète l'équipe pédagogique", nous apprend le Huffington Post.

Une lettre a été adressée aux grand-parents de la petite Sunnie leur expliquant qu'ils "doivent comprendre que Dieu l'a faite en tant que femme et que ses vêtements et son comportement doivent correspondre à l’identité que Dieu lui a donné". Dans le cas contraire, "Sunny ne se trouve pas au bon endroit pour sa future éducation". Des idées pour le moins arrêtées qui résonnent en France, à l'heure où la question du genre divise.

La direction de l’école a expliqué a la chaîne locale WSET-TV que le problème allait "au-delà de la longueur de ses cheveux" et que son comportement "perturbait l’ambiance de la classe". Elle a également précisé que les camarades de classe de Sunnie ne savaient pas si elle était un garçon ou une fille, et que "tout refus de conformité serait attribué à des pratiques sexuelles immorales, un mode de vie homosexuel ou une identité sexuelle confuse". En refusant de rentrer dans le moule et d'adopter un comportement de petite fille, Sunnie s'est donc faite renvoyer. Un geste discriminatoire choquant !

Une décision qui a scandalisé les grands-parents de Sunnie décidant d'inscrire leur petite-fille dans une école publique : "Comment dire à une enfant qui veut porter des pantalons et des T-shirts, aller dehors et jouer dans la boue : non, tu ne peux pas, tu dois porter un nœud rose dans tes cheveux, et tu dois les laisser pousser pour qu’ils soient longs", s’est indignée sa grand-mère sur WSET.com. Si Sunnie a expliqué que parfois ses camarades lui demandent si elle est une fille ou un garçon, cela ne la dérange absolument pas. "Si mon enfant devient homosexuelle ou transgenre en grandissant, je l’aimerais tout autant", a conclut sa grand-mère.

Sunnie

Abandonnée au Burger King quand elle était bébé, elle retrouve sa maman

27 Mars 2014 Publié dans #famili

Quelques semaines après avoir médiatisé la recherche de sa mère, Katheryn Deprill, le Baby Burger King, a retrouvé sa mère biologique.

On vous parlait il y a quelques semaines de Katheryn Deprill, une jeune femme abandonnée à la naissance dans les toilettes d'un Burger King à Allentown, en Pennsylvanie. Elle recherchait celle qui l'avait déposée dans ce fast-food 27 ans plus tôt, dans un sweat-shirt marron sur un sac poubelle avec le cordon ombilical toujours en place, sans jamais plus lui donner de nouvelles.

Et bien Katheryn Deprill a enfin retrouvé sa maman, après toutes ces années de questions restées sans réponse. Devenue mère de 3 enfants, la jeune femme a enfin pu échanger avec sa mère biologique au cours d'une rencontre organisée par un cabinet d'avocats. Une rencontre placée sous le signe de l'émotion. "J'ai ressenti l'étreinte que j'attendais depuis 27 ans, et cela a brisé la glace". Je lui ai demandé si elle pouvait me prendre dans ses bras, elle a répondu que cela serait avec plaisir", explique Katheryn Deprill dans le New York Daily News.

La mère de la jeune femme a vu le message de Katheryn sur les réseaux sociaux et a reconnu sa propre histoire. Par peur des médias et d'être jugée par la population, elle n'avait pas répondu tout de suite à l'appel à témoin. Aujourd'hui, Katheryn en sait plus sur son histoire : sa mère, alors âgée de 17 ans, avait été contrainte d'abandonner son bébé qui était le fruit d'un viol lors d'un voyage à l'étranger. Elle se sentait incapable d'avorter et d'en parler à ses parents. Elle avait donc accouché seule dans sa chambre avant de laisser l'enfant dans le fast-food, un lieu fréquenté dans lequel elle était sûre que quelqu'un la trouve. Katheryn se montre compréhensive. "Ma mère était terriblement bouleversée de me laisser seule et ce n'était pas ce qu'elle voulait, mais elle ne voyait pas d'autre solution. Elle n'avait que 17 ans..." déclare la jeune femme, toujours dans le New York Daily News.

Très émues, la mère et la fille se sont promis de se revoir bientôt. Pour le futur, la mère biologique de Katheryn espère jouer un rôle dans la vie de sa fille retrouvée.

Emirats arabes unis : les femmes obligées d'allaiter jusqu'aux 2 ans du bébé

8 Mars 2014 Publié dans #famili

Aux Emirats arabes unis, une nouvelle loi vient d'être adoptée. Elle instaure une obligation pour les jeunes mamans d'allaiter leur bébé jusqu'à leurs 2 ans.

Une obligation d’allaiter son bébé jusqu’à 2 ans. Voilà une clause adoptée dans la nouvelle loi sur les droits de l’enfant, aux Emirats arabes unis, apprend-on dans le Huffington Post. Désormais, les hommes pourront poursuivre leurs épouses si celles-ci n’allaitent pas. Mais toutes les mères ne pouvant pas allaiter, si pour des raisons de santé l’allaitement est interdit, une nourrice leur sera fournie. Néanmoins, les cas dans lesquels une femme est déclarée comme en incapacité d’allaiter ne sont pas clairement déterminés.

Si la pratique de l'allaitement, au vu de ses avantages médicaux prouvés, doit être encouragée, la question de la répréhension du non-allaitement pose problème...

Un groupe d'aide aux femmes souffrant de maladies post-natales, "Out of the Blues", basé à Dubai, estime que punir les femmes qui n’allaitent pas n’est pas une solution. Le groupe s’est exprimé dans une tribune publiée dans The National. «Nous pensons que si encourager les femmes à allaiter est un but louable en soi, c'est en aidant celles qui le peuvent et qui le veulent, et non en punissant celles qui n'en sont pas capables, que nous tirerons tous des bénéfices pour l’amélioration de la société ». Une opinion par partagée Marie-Claire Bakker, membre de La Leche League, une association internationale de promotion de l'allaitement maternel. Celle-ci a déclaré, également dans une tribune publiée dans The National : « A ce moment où elle sont vulnérables, penser à criminaliser une jeune maman qui, pour une raison quelconque, a beaucoup de mal avec l'allaitement, n'est pas utile... Elle a besoin d'un appui éclairé, pas de menaces ». Une loi qui divise les opinions...

Les ABCD de l’égalité : vers la fin des stéréotypes de genre ?

30 Janvier 2014 Publié dans #famili

« Vous savez comment on appelle un homme "sage femme" ? Est-ce que c'est bizarre d'être une femme maçon ? », voilà les questions qui ont été posées à des élèves de CM1. La ministre du droit des femmes Najat Vallaud Belkacem et le ministre de l’Education nationale Vincent Peillon se sont rendus dans une des écoles volontaires testant les ABCD de l’égalité, à Villeurbanne, dans le 69.

Les ABCD de l’égalité, c’est quoi ? Il s’agit d’un dispositif qui a pour but d’identifier comment les stéréotypes se construisent et d’y mettre fin, comme cela est expliqué sur le sitegouvernement.fr. Il est testé dans 600 écoles de 10 académies.

« Nous avons des jeunes filles qui réussissent bien à l'école et après, s'interdisent un certain nombre de métiers », a déclaré Vincent Peillon. Cela à cause des stéréotypes qui s’installent dès le plus jeune âge. L’idée est donc d’intervenir le plus tôt possible, dès la maternelle, pour éviter ces « auto-censures ». « Même des garçons peuvent souffrir de ne pas accéder à certains métiers, comme ceux de la petite enfance », a déclaré Najat Vallaud Belkacem.

Ce lundi, les petits élèves semblaient avoir en partie retenu la leçon puisque quand leur maîtresse leur demande : « Une dinette, c’est pour les filles ou les garçons ? », la classe répond en chœur « C’est aussi pour les garçons ! », lit-on dans lyon-info.fr.

Pour aiguiller les enseignants, mais également les parents, un site internet(www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite) proposant des outils pour la formation et des ressources pédagogiques est mis à disposition. Si le dispositif présente des résultats positifs, il seragénéralisé à la rentrée 2014.

Qu'ils demandent comment on dit un chômeur
serait plus pertinent et d'actualité , non ?
Sinon vous pouvez féminiser car je l'ai lu de source autorisée "
des cheffes d'entreprises ...."
Moi mon féminin preferé c'est celui d'entraîneur, alors comment doit on dire ?

Teache A

Scandale : une poupée accusée de prôner l'anorexie

28 Janvier 2014 Publié dans #famili

Prénommée « Nenuco won’t eat », cette jolie poupée qui a première vue semble inoffensive, fait pourtant scandale et provoque la colère des parents... Le concept de ce poupon ? Il tourne la tête dès qu’on lui tend à manger, il refuse de s’alimenter. Un jouet pour enfant qui déclenche le débat et divise les opinions, apprend-t-on sur ABCnews.

Pour les associations et professionnels de la santé, la poupée de la société-mère Famosaprônerait ainsi l'anorexie et de ce fait, devrait être retirée du marché pour ne pas donner un mauvais exemple aux enfants. Mais la société se défend et dément les accusations ! Pour elle, la poupée « représente un moment de la vie réelle » et est « conçue pour reconstituer un jeu entre le parent et l'enfant ». Nikki Jeffery, directeur marketing de Famosa, ajoute que "l'enfant comprend que la poupée est espiègle et l'aide à manger, comme le parent le fait avec son enfant!". En effet, quel parent n’a jamais essayé la technique de l’avion pour faire manger son enfant qui refuse de s’alimenter ?

Cependant pour les parents et associations, ce n’est pas un jeu sain, les enfants sont trop jeunes pour comprendre la différence et s’inspirent seulement de leurs jouets. Anita Worcester de l’association des troubles alimentaires de Somerset et Wessew, déclare : "Il ne me parait pas opportun qu'une poupée anorexique s'exhibe dans les rayons d'un magasin de jouets". Jugée négative pour les enfants, les associations réclament le retrait de la poupée du marché . "Nous demandons aux fabricants de penser de façon plus responsable et d'être conscients du fait que les enfants sont incroyablement réceptifs à certaines choses".
Pour conclure Chris Learman, policy manager de Youngminds ajoute "Les attitudes négatives vis-à-vis de l'alimentation peuvent facilement naître mais il faut des années pour y mettre fin."
Débat très actuel, dans une société où la maigreur est à la mode et touche de plus en plus de jeunes.

Un restaurant discrimine une fillette à cause de ses chaussures !

27 Janvier 2014 Publié dans #famili

Les cas de discrimination sont nombreux. Cette fois, c’est un cas un peu spécial car c’est à cause de ses chaussures qu’une fillette s’est vue discriminée. Alors qu’elle se rendait dans un restaurant Panera Bread de la ville de Savannah, aux Etats-Unis, la petite Emma Duke et sa famille se sont trouvés contraints de quitter les lieux, apprend-on dans le Huffington Post.

Emma a 2 ans et souffre de problèmes de développement, entrainant des difficultés à marcher. « Elle a juste commencé à essayer de marcher à 23 mois, ce qui est très tard », confie son papa. Pour l’aider, elle doit porter des chaussures orthopédiques, recommandées par un spécialiste et qui font du bruit quand la position de ses pieds est mauvaise, afin de la guider pour marcher correctement.

Mais voilà, ce bruit n’a pas du tout plu à un client peu tolérant qui s’en est plaint à la direction. Un serveur a alors demandé à la fillette d’ôter ses chaussures ou de sortir du restaurant. Se sentant humiliée, la petite famille a préféré partir. « C’était très douloureux et je suis sortie en pleurant, a confié la maman, c’est difficile pour une mère de sentir que son enfant est victime de discrimination ». Pour tenter de se rattraper, le Panera Bread a présenté ses excuses à la famille. Il semblerait que la chaîne de restaurants souhaite également organiser une collecte pour aider à payer les factures médicales de la petite.

La prochaine fois, un peu plus de tolérance ne ferait pas de mal !

Angleterre : des distributeurs de tests de grossesse bientôt dans les pubs ?

24 Janvier 2014 Publié dans #famili

Des distributeurs de tests de grossesse pourraient très prochainement voir le jour de l’autre côté de la manche (où les tests sont en vente libre), notamment dans les toilettes des pubs, apprend-on dans Le Quotidien du médecin.

C’est en tout cas le projet du réseau britannique de lutte contre les TCAF (troubles causés par l'alcoolisation fœtale), FASD Network. Le but ? Lutter contre les troubles causés par l’alcoolisation fœtale. Pour Maria Catterick, la fondatrice du réseau, beaucoup de femmes ignorent qu’elles sont enceintes et boivent de l’alcool quand elles font la fête, mettant leur futur bébé en danger.

Un problème qui pourrait être évité avec un test de grossesse avant une soirée. « Il faut faire le test avant de faire la fête » déclare-t-elle. Il est vrai que la consommation d'alcool pendant la grossesse est un véritable problème puisqu’il est la première cause de handicap mental non-génétique dans les pays occidentaux, selon l’INPES, et le syndrome d’alcoolisation fœtale concerne presque 1% des naissances.

Les bars ne sont pas les seuls endroits où l’association souhaite voir ces tests implantés. Les centres commerciaux, les stations-service, les lycées, les facs, et« partout où une femme peut discrètement acheter un test de grossesse en évitant un contact direct avec un autre adulte » sont visés

La notion de "détresse" supprimée de la loi IVG

23 Janvier 2014 Publié dans #famili

Le mardi 21 janvier 2014 marquera une étape de plus dans le droit des femmes, avec l’adoption de l’article 5 "5 quinquies C" concernant l’IVG. La notion de "détresse" est supprimée pour une femme demandant une interruption volontaire de grossesse, la ministre des droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem ajoute à ce sujet "l'IVG est un droit à part entière et pas une simple tolérance assortie de conditions". Pour le gouvernement socialiste, cette formulation de la loi Veil de 1975 était devenue obsolète. De nombreux élus de gauche soutiennent ce changement et soulignent qu’un avortement n'est "jamais un acte banal" mais une "décision douloureuse" et qu'une femme n'y recoure pas "pour le plaisir" ou comme "moyen de contraception".

La majorité des élus UMP, quant à eux estiment que cette modification, remet en cause la loi si sacrée de Simone Veil. Pour sa part Jean-Louis Borloo soutient ce projet, mais se désole de la "fracture inutile" qu’il a créée au sein de la société. En effet ce changement a provoqué une manifestation anti-IVG dimanche dernier à Paris. La rédaction du magazine ELLE France, y a réagit en Twittant le hashtag #IVGmoncorpsmondroit. Des milliers de twittos hommes et femmes confondus ont immédiatement suivi la tendance en postant des photos accompagnées d'un slogan défendant leur droit à l'avortement.

Un bébé sauvé par un pompiste

21 Janvier 2014 Publié dans #famili

"Mon bébé ne respire plus !". C'est avec ces quelques mots que Laurence Martinez et son mari Pascal, gérants d'une station service dans les Midi-Pyrénées, ont compris qu'il y avait un problème. Jeune maman d'un bébé âgé d'un mois, la jeune femme faisait le plein de son véhicule avec sa mère et son bébé lorsqu'elle s'est rendue compte que son tout-petit était devenu tout bleu et n'arrivait plus à respirer.

Ni une, ni deux, Pascal Martinez, légionnaire à la retraite, s'est précipité et a exécuté unbouche-à-bouche afin d'appliquer les soins d'urgence au nourrisson pendant que sa femme prévenait le Samu. Un geste rapide et efficace qui a permis de sauver la vie de la petite Cassandra.

"Le bébé ne respirait plus du tout. Alors, on a pris une veste, je l’ai allongé dessus et j’ai commencé à lui faire le bouche-à-bouche. Je connais la technique car je suis un ancien légionnaire en retraite mais c’est si fragile à cet âge. Enfin, elle s’est mise à respirer difficilement. Puis le docteur Clavier est arrivé. J’étais soulagé", a confié le pompiste au journal La Dépêche du Midi.

D'après les médecins, la petite fille aurait été victime d'une "mauvaise route", après une tétée où le lait serait passé par la trachée au lieu de passer par l’œsophage. Une histoire qui se termine bien heureusement, et un cadeau de Noël incroyable pour la petite famille et les gérants de la station service, émus qui espèrent revoir la petite fille bientôt.

La fin de l'anonymat définitif pour l'accouchement sous X ?

20 Janvier 2014 Publié dans #famili

Dominique Bertinotti, ministre de la famille, envisage la fin de l'anonymat des naissances sous X aux 18 ans de l'enfant. C'est lors d'un déplacement à Nantes dans l'unité de gynécologie-obstétrique du CHU en charge des accouchements sous le secret, que la ministre s'est exprimée sur la future loi famille, et a évoqué la possible fin del'accouchement sous X, apprend-t-on dans plusieurs médias.

Le conseil des ministres devrait avoir connaissance du projet de loi famille fin mars ou début avril pour un vote prévu au second semestre 2014. Pour le moment, rien n'est sûr ou programmé, les groupes de travail sollicités par Dominique Bertinotti doivent finaliser leurs travaux la semaine prochaine. Mais la ministre a profité de son séjour à Nantes pour donner des pistes concernant ses intentions.

Concernant le volet "accès aux origines" une éventuelle levée de l'anonymat des donneurs de gamètes est envisagée. Mais le point phare du projet de loi serait le changement de l'accouchement sous X, pour mettre fin à l'anonymat définitif. D'après Dominique Bertinotti, l'identité de la mère pourrait être systématiquement transmise à l'enfant dès sa majorité à partir du moment où il en fait la demande. Pour appuyer son idée, la ministre s'exprime : « Dans ces deux souffrances qui se font face, celle de la femme et celle de l’enfant, on a toujours privilégié l’une plus que l’autre, pose la ministre. Comment rétablir l’équilibre ? ».

Elle a aussi abordé les sujets de laprotection de l'enfance, le délaissement parental et l'adoption, car la ministre considère que le placement d'enfants sans lien avec leurs parents n'est pas assez efficace. Plusieurspropositions sont donc mises en avant : une accélération des procédures constatant le délaissement parental et permettant la déclaration d’abandon, un recours plus prononcé à l’adoption simple et enfin une obligation de justifier le placement de l’enfant. De sacrés changements en perspective.

Les prénoms les plus fous de l’année 2013

16 Décembre 2013 Publié dans #famili

Les parents ont parfois de drôles d’idées lorsqu’il s’agit de donner un prénom à leur bout de chou. Et c'est peu de le dire !

Alors qu’on connaissait déjà bon nombre de prénoms insolites, tels que Bulle, Alpha, Clitorine, ou encore Hashtag, le site Babycenter nous apporte de quoi nous étonner encore plus.

C’est à l’aide des données partagées par les membres du site qu’ont été relevés les prénoms les plus surprenants donnés à des bébés nés en 2013. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que certains ne seront pas évidents à porter.

Pour ces demoiselles, certains, bien que peu évidents à porter, restent néanmoins assez mignons. C’est le cas de Kiwi ou Feline. Plus étranges, Green, Zabrina, Eternity ou encore Pippin. Et la palme d’or du prénom le plus "importable" revient à Blip, qui en fera sûrement jaser plus d’un !

Mais ce n’est pas tout, même si ces mots n’existent pas dans certaines langues, on remarque une tendance à donner les prénoms Sida ou Zona à des petites filles… Ces messieurs ne sont pas en reste puisque ont été relevés les prénoms Legend, Anibal, Panda, Rocket, Baobao, Hurricane, Ajax, ou encore Cheese.

Reste à voir si en 2014, les jeunes parents auront toujours des idées aussi farfelues !

IKEA rappelle un de ses produits pour bébé

16 Décembre 2013 Publié dans #famili

C'est dans un communiqué très officiel que l'enseigne IKEA a annoncé qu'elle rappelait ses lampes murales SMILA, après qu'un bébé de 16 mois soit décédé en s'étranglant avec le câble électrique du luminaire et qu'un autre de 15 mois se soit blessé.

Une nouvelle tragique qui force également le géant de la distribution à avertir tous les usagers en possession de l'objet. "IKEA demande à tous ses clients ayant acheté une lampe murale SMILA de vérifier immédiatement si cette lampe et son câble sont bien fixés au mur. Les lampes et leurs fils doivent être installés hors de portée des enfants.

Tout câble non fixé présente un risque de strangulation pour les nourrissons et les enfants en bas âge". Pour effectuer cette vérification et déterminer si votre lampe fait partie du lot rappelé, vous trouverez le nom de votre modèle sur l'étiquette à l'intérieur du luminaire, près de l'ampoule.

Le service client est joignable au 0800.000.007 pour toutes questions. lampe smila ikea L'enseigne propose également aux consommateurs un kit de réparation gratuit afin de pouvoir fixer correctement le câble électrique au mur. En vente depuis 1999 dans les magasins de l'enseigne, cette lampe a été vendue auprès de 23 millions de consommateurs dans le monde entier.

30 ans, l'âge limite pour une grossesse sans risque ?

14 Décembre 2013 Publié dans #famili

Alors que l'âge idéal pour tomber enceinte se situerait entre 25 et 30 ans et que nombreux étaient ceux qui considéraient que 35 ans était l'âge limite pour une grossesse sans risque, une récente étude Norvégienne vient bouleverser cette hypothèse, comme le rapporte le Daily Mail.

Ainsi, d'après cette enquête, les risques pendant la grossesse débuteraient dès l'âge de 30 ans. D'après l'étude menée sur un million de futures mamans âgées de 25 à 29 ans et de 30 à 34 ans, et réalisée par le professeur Ulla Waldenström, le Karolinska Institute de Stockholm et l'université de Bergen, une femme accouchant à la trentaine passée aurait plus de risque de donner naissance à un prématuré ou à un bébé mort-né.

"À notre grande surprise, nous avons trouvé une augmentation absolue du risque d'effets négatifs sur les grossesses qui surviennent dans le groupe de femmes âgées de 30 à 34 ans. Ces résultats sont indépendants des effets de la cigarette et du surpoids.

Biologiquement, le meilleur moment est probablement entre 20 et 30 ans. Pour les femmes individuellement, le risque est petit, mais pour la société ce sera un nombre significatif de complications non-nécessaires pour celles ayant des enfants juste après 30 ans", explique l'auteur de l'étude. Si beaucoup de personnes attendaient la trentaine pour être bien installées avant de se lancer dans une grossesse, le professeur Ulla Waldenström conseille de bien s'informer sur les dangers probables et même d'en informer les plus jeunes le plus tôt possible

Budget : les parents se sacrifient pour leurs enfants

13 Décembre 2013 Publié dans #famili

Même s'il est parfois dur de joindre les deux bouts en ces temps de crise, pour beaucoup de parents, il n'est pas question que leurs enfants en pâtissent.

Tout n’est pas toujours rose et beaucoup de parents ont du mal à joindre les deux bouts. Qui dit "budget serré" dit "restrictions" et qui dit "restrictions" dit "arbitrage".

Il ressort d’une étude menée par l’Observatoire Cetelem de la consommation que l’arbitrageva porter sur « qui », plutôt que sur « quoi ». Le plus important, c’est les enfants.

En effet, les parents vont veiller à ce que leurs bambins ne soient pas impactés par les difficultés financières et vont donc préférer se sacrifier, afin que que ceux-ci ne manquent de rien. L'avenir des enfants apparait comme une priorité et il leur paraît important que leurs minots soient « à la page », ne soient en retard par rapport à leurs camarades.

Question sacrifices, 70% des européens en ont déjà fait pour ne pas réduire les dépenses consacrées à leurs bouts de chou. 30% des parents déclarent en avoir fait pour leurs études, 29 % pour ce qui est soins de confort (type orthodontie) et 25% pour acheter desvêtements de marque. Parmi ceux qui n'en n'ont pas déjà fait, beaucoup déclarent toutefoisêtre prêts à en faire.

Pour Isabelle Mazarguil,dirigeante de l’agence de conseil en marketing Junior&Co, l’enfant est perçu à l’heure actuelle comme le plus bel investissement et le budget qui leur est consacré est le dernier sur lequel les parents vont rogner.

Une lettre au Père Noël version 2.0

5 Décembre 2013 , Rédigé par Kitano Publié dans #famili

"Cher Père Noël, j'espère que tu vas bien. Moi, ça va", jusqu'ici, cette lettre de Noël est tout ce qu'il y a de plus normal.

En revanche, c'est la suite qui est quelque peu surprenante : "Voici ce que je veux pour Noël : http://www.amazon.com/gp", s'en suit une suite de lettres et de numéros indéchiffrables. lettre au père noel

C'est en effet une "url", soit une chaîne de caractères qui constituent à eux tous un lien Internet que le petit garçon a inclus à sa lettre.

Le Père Noël a ainsi juste besoin de cliquer pour atterrir sur l'adresse web du cadeau en question. Le problème, c'est qu'il s'agit d'une lettre papier et non d'un e-mail.

Impossible donc de cliquer. Pour autant, de nombreux internautes ont tenté de relever le défi, et il s'agit bel et bien d'un vrai lien.

L'adresse web mène en effet à une petit voiture télécommandée, vendue pour la somme de 20 dollars par le géant Amazon.

Réel intérêt des plus petits pour Internet ou bien blague de plus grands pour faire le buzz, certains doutent encore comme l'explique le Huffington Post.

Devant le tribunal pour avoir bu en allaitant

4 Décembre 2013 Publié dans #famili

Jackie Conners est serveuse dans une pizzeria de Conway, aux Etats-Unis.

Lorsqu’elle voit Tasha Nicole Adams, une cliente, en train de boire de l'alcool tout en allaitant son bébé, la serveuse décide de la dénoncer à la police, apprend-on dans le Daily Mail. Selon elle, la maman buvait verre sur verre et cela est totalement inacceptable.

La jeune maman est alors inculpée pour atteinte au bien-être d’un mineur et devra répondre de ses actes devant un tribunal en janvier prochain.

Pour elle, cet incident est « hors de proportion » et les gens ne connaissent pas la vérité. Jackie Connor, quant à elle, a par la suite été renvoyée de la pizzeria.

Elle estime qu'on lui reproche d’avoir pris les choses en main. Le manager nie, déclarant que le licenciement n’a rien à voir avec cette histoire, mais ne donne pas d’autre motif.

Cette histoire est l’occasion de rappeler que l’alcool durant la grossesse et l’allaitement est très dangereux pour le bébé. Les parents boivent, les enfants trinquent...