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Drôle de découverte dans l'oreille d'un bébé !

3 Décembre 2013 Publié dans #famili

En Chine, une très étrange découverte a été faite dans l'oreille d'une petite fille de 16 mois...

Voilà quatre mois que cette petite fille de 16 mois se plaignait de douleurs à l’oreille, apprend-on dans le Daily Mail. Voulant comprendre ce qu’il se passait, sa maman décide alors de regarder de plus près. Et là, surprise, elle découvre dans l’oreille de son bébé… un pissenlit !

Les parents amènent alors la petite à l’hôpital. Et on peut dire que le pissenlit s’était bien installé car il a fallu une opération chirurgicale pour le retirer. Il avait commencé à fleurir et avait atteint deux centimètres ! Pour le médecin, les conditions chaudes et humides dans le canal de l'oreille sont susceptibles d'avoir encouragé la croissance de cette plante.

Cette histoire pour le moins surprenante n’est pas sans rappeler celle de l’araignée qui avait été découverte dans l’oreille d’une femme, en Chine, ainsi que celle de Turbo, un escargot qui était sorti du genou de Paul, un petit américain de 4 ans.

Enceinte, elle se nourrit presque uniquement de bananes

19 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Enceinte de 26 semaines, une blogueuse australienne a annoncé qu'elle ne mangeait quasiment que des bananes. Un aveu qui lui a attiré de très nombreuses critiques.

Loni Jane Anthony est une célèbre blogueuse australienne de 25 ans. Très suivie sur les réseaux sociaux, ses près de 100,000 fans sur Instagram viennent pourtant de rentrer en guerre contre son mode de vie. En effet, enceinte de six mois, la future maman a reconnu se nourrir quasi exclusivement de bananes. Un comportement jugé "irresponsable"et "narcissique" par les internautes, révèle le Daily Mail.

Végétalienne depuis un bon moment, la jeune femme n'a pas tenu à changer son régime malgré l'arrivée de son bébé. "Je peux manger entre 5 et 20 bananes par jour. Ça dépend de mon humeur mais aussi de ce que je fais de ma journée. Sinon, je bois des smoothies et le soir je mange une salade", explique Loni Jane. Son régime, mis en avant par le docteur Douglas M.Graham s’appelle aussi le "80/10/10". Il consiste à manger 80 % de fruits, 10 % de protéines et 10 % de graisses.

Bien qu'il semble convenir à la blogueuse, la nutritionniste Fiona Hunter est loin de partager le même avis : "Lori se trompe si elle pense que cette alimentation est saine. Cela pourraitnon seulement mettre en péril sa propre santé mais aussi celle de son futur bébé. Ce régime manque cruellement de protéines, de plusieurs vitamines et de minéraux essentiels comme le fer, le zinc ou encore le calcium. Tout cela est pourtant nécessaire à la croissance et à la réparation des tissus".

Malgré les nombreuses réactions et avertissements, la future maman n'a semble t-il pas l'intention de changer. Auparavant adepte des fast-food et des soirées arrosées, elle comptemaintenir son style de vie coûte que coûte. "Ce n'était pas pour perdre du poids, je me tuais intérieurement à petit feu. Si j'avais continué comme ça, j'aurais fini avec un cancer. Abandonner la nourriture a été bien plus facile que ce que je pensais. Avant j'étais renfermée, souvent énervée, aujourd'hui je me sens connectée avec moi-même".

Un mariage le 9/10/11 et un bébé le 11/12/13 !

18 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Un mariage et un bébé. Une suite logique pour ce couple !

L'histoire d’amour de ce couple de Caroline du Sud est une suite logique. Sarah et Chase Oliver se sont dit "oui" le 9/10/11. En Amérique, on met le mois avant le jour, cela correspond donc au 10 septembre 2011. Leur petit bout de chou devait naître le 11/21/13 (le 21 novembre 2013).

Mais, pressé, c’est le 12 novembre que James Douglas décide de pointer le bout de son nez, apprend-on dans foxcarolina.com. Ce qui fait donc, au format américain, le 11/12/13.

Cela rend l’histoire assez exceptionnelle, car les dates séquentielles sont rares. Les dates emblématiques semblent d'ailleurs assez tendances pour les mariages aux Etats-Unis, et de nombreux Américains choisissent ces jours un peu spéciaux pour s'unir. Mais si pour un mariage on choisit la date, ce n'est pas le cas pour la naissance d'un bébé. Et c'est assez insolite que ce bébé, dont les parents se sont mariés à une date séquentielle, ait vu le jour à une date séquentielle également.

Ce qui est sûr, c'est que les dates importantes de la vie de cette famille seront faciles à retenir pour tout le monde. Donc gare à ceux qui oublieront les anniversaires !

Futures mamans, attachez vos ceintures !

13 Novembre 2013 , Rédigé par famili Publié dans #famili

Une nouvelle étude a encore démontré que la ceinture de sécurité, correctement positionnée, reste indispensable pour la sécurité des femmes enceintes et de leur bébé.

Certaines pensent qu’attacher leur ceinture de sécurité en voiture est dangereux pour le fœtus, car celui-ci pourrait être écrasé, ou que cela pourrait provoquer un décollement du placenta. Mais c'est faux ! Une étude américaine publiée le 8 octobre dans The American Journal of Préventive Medecine a encore démontré que la ceinture reste indispensable. Il ressort en effet de cette étude que le non-port de la ceinture triple les risques d’accouchement d’un enfant mort-né. Une étude américaine datant de 2003 avait déjà démontré que la ceinture divisait par deux le risque de saignement maternel et par quasiment 3 le risque de perdre le fœtus.

Pour être vraiment efficace, il est impératif qu’elle soit bien positionnée. Correctement portée, elle réduit les risques que le fœtus soit tué ou gravement traumatisé de 84% lors d'un choc. Alors comment bien porter sa ceinture de sécurité lorsqu’on est enceinte ? Il faut glisser la sangle ventrale sous le ventre, le plus bas possible sur l’os du bassin (afin d’éviter les chocs sur l’abdomen), et l’autre partie, comme habituellement, entre les seins (Plus d'infos sur le site de la prévention routière). L'étude montre également qu’en l’absence d’airbags, le risque de rupture du placenta est doublé. Ne les désactivez donc pas lorsque vous êtes enceinte, car ils vous protègent en cas de choc, vous et votre futur bébé.

En cas d'accident, même minime, même si vous n'êtes pas blessée, il est impératif deconsulter votre médecin.

Le co-dodo, une pratique aux impacts psychologiques

12 Novembre 2013 , Rédigé par famili Publié dans #famili

Outre les problèmes de sécurité physique pour le nourrisson, dormir avec son bébé peut également être le déclencheur de troubles psychiques autant chez la mère que chez l'enfant.

Étouffement, chutes, hypothermie... les risques corporels liés au "co-dodo" ou au "co-sleeping", soit le fait de dormir aux côtés de son bébé, sont nombreux. Le "project SIESTA", une étude américaine basée sur ce moment de partage entre la mère et l'enfant, met également en avant d'autres risques : les séquelles psychologiques, qui peuvent se révéler sur le court terme comme sur le long terme, aussi bien chez la mère que chez l'enfant.

"La naissance est un moment de séparation comparable à un éléctrochoc"

Interrogée par Atlantico, la psychologue Edith Tartar Goddet explique les conséquences de cet acte qui peut pourtant paraitre anodin et même nécessaire pour certaines mamans. L'après-grossesse est toujours un moment difficile pour une nouvelle mère. Le fameux baby-blues est naturel et tout à fait normal, en revanche, elle doit comprendre que la séparation est logique également.

par famili

Musique : bébé se souviendra de ce que vous avez écouté enceinte

11 Novembre 2013 , Rédigé par famili Publié dans #famili

Vous êtes amateur(rice) de musique et écoutez souvent le même morceau ? Une étude révèle qu'il y a fort à parier que bébé en aura des souvenirs à sa naissance !

Une étude menée par des scientifiques de l’Université d’Helsinki a révélé que les nourrissons ont un souvenir de la musique qu’ils ont entendue lorsqu’ils étaient dans l’utérus de leur maman, comme on peut le lire dans le Daily Mail.

Un CD a été donné à 12 femmes enceintes, avec la consigne de l’écouter cinq fois par semaine durant les trois derniers mois de grossesse. Et lorsque l’on compare l’activité cérébrale des nourrissons qui ont entendu cette musique dans le ventre avec celle d’autres nouveaux-nés, on remarque que les premiers reconnaissent les notes familières. Il semblerait que cela reste en mémoire jusqu’au 4 mois de bébé. Il semble également que plus le morceau est écouté, plus le nourrisson le reconnaîtra. Par contre, il ne sert à rien d'augmenter le volume en plaçant le haut-parleur sur le ventre de maman, cela pourrait avoir un impact plus négatif que positif.

Pour les chercheurs « ces résultats montrent que les bébés sont capables d'apprendre à un très jeune âge et que les effets de l'apprentissage restent apparents dans le cerveau pendant une longue période ». Exposer un bébé à une mélodie (ou à une langue) pourrait stimuler ses facultés d'apprentissage.

Le 4 novembre 2013

Ronfler pendant la grossesse serait néfaste pour bébé

10 Novembre 2013 , Rédigé par famili Publié dans #famili

Une étude de santé américaine réalisée sur de nombreuses femmes enceintes révèle que le ronflement pourrait nuire de plusieurs façons au futur bébé.

Une nouvelle étude américaine sur la grossesse, publiée dans le Journal Sleep, révèle les conséquences que le ronflement pourrait avoir sur le fœtus et, plus tard, sur le bébé. Ainsi, les chercheurs ont suivi les grossesses de plus de 1,600 femmes lors de leur dernier trimestre, soit des futures mamans enceintes de 29 semaines et plus.

Résultat, 35% d'entre elles ont déclaré être victimes de ronflements, dont 26 % depuis qu'elles attendent un bébé. Pour elles, ce ronflement chronique serait apparemment associé à un risque de près de 70 % de devoir pratiquer une césarienne en urgence. Pour celles qui ronflaient avant de tomber enceinte, le risque de devoir accoucher par césarienne est également doublé. En prime pour les ronfleuses : le risque, dans 65% des cas, d'avoir un enfant plus petit que la normale pour son âge gestationnel...

Pour les auteurs de l'étude, le ronflement créerait en fait une inflammation qui pourrait affecter le placenta. Cependant, ils tiennent à préciser que cette hypothèse est encore à l'étude et conseillent aux futures mamans de se renseigner auprès de professionnels lors des visites prénatales

Panorama des prénoms les plus insolites

8 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Quand il s'agit de choisir un prénom pour leur bébé, certains parents n'ont peur de rien. En témoignent les prénoms tels que Clitorine, M, ou encore Hashtag...

Certains parents font parfois des choix plutôt insolites lorsqu'il s'agit de donner un prénom à leur bout'chou. Et depuis 1993 la législation s’est assouplie. Néanmoins (et heureusement !) s’il est jugé trop difficile à porter, péjoratif, grossier ou susceptible de porter préjudice à l’enfant, le juge aux affaires familiales peut être saisi en vue d'empêcher les parents de donner un tel prénom. L’année dernière des parents se sont d'ailleurs vus interdire d’appeler leur enfant Titeuf.

Chaque année, Stéphanie Rapoport nous fait part des prénoms les plus donnés et les tendances pour l'année à venir à la sortie de son ouvrage "L'officiel des prénoms", bible des futurs parents. Et certains choix sont plutôt étonnants. En effet, chaque année, 250 bébés portent le prénom M, majoritairement des garçons. Plus mignon, Fauve est porté par 120 Françaises (des parents inspirés par l'émission "Danse avec les stars") et Bulle par 70. Dans le genre "insolite-geek", on trouve Pomme, Alpha, Aéris, mais aussi Hashtag.

Il y a quelques années, ce sont les prénoms Clitorine et Vagina qui ont bien failli être donnés à des jumelles en Belgique. Des choix refusés par l’officier d’état civil (heureusement pour les fillettes !). Néanmoins il paraîtrait que le prénom Clitorine soit porté par quelques filles en France.

Assez difficile à porter également, selon Stéphanie Rapoport, les prénoms américains francisés tels que Dayana, Djason, Tome ou Zoey. Et pour elle, la palme des plus "old school" revient à Prudence et Octave.

Belgique : un bébé oublié dans une crèche

7 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Plus de peur que de mal pour une petite fille oubliée à l'intérieur d'une crèche. Le personnel l'avait enfermée sans s'en apercevoir, avant de quitter les lieux.

Des hurlements, voilà tout ce que la maman de la petite Camille a pu entendre après que le directeur de la crèche où elle amène sa fille chaque matin soit arrivé pour ouvrir les portes. Et pour cause, la petite fille a été oubliée à l'intérieur de l'établissement par le personnel qui a quitté les lieux avant l'heure de la fermeture, rapporte De Morgen.

Tine Hylebos, la maman est pourtant arrivée dix minutes avant l'horaire de fermeture officielle de la crèche Het Appelboompje. "Les lumières étaient déjà éteintes, la porte semblait déjà fermée. J'ai frappé à la porte, mais je n'ai vu aucun mouvement". Paniquée, elle a alors tenté de joindre les membres du personnel qui ont tardé à répondre. Ce n'est qu'au bout d'une demi-heure que le gérant de Partena, l'association qui s'occupe du bon fonctionnement de la crèche, est arrivé. "Quand nous sommes entrés, nous avons entendu Camille hurler de manière hystérique. Elle était totalement perturbée. Le manager s'est excusé, mais cela ne change rien aux faits".

L'incompréhension règne, et une enquête sera ouverte pour comprendre les circonstances exactes liées à cette faute professionnelle. "La crèche devra fournir les garanties que cela ne pourra plus jamais se produire à l'avenir. Il est également possible que le lieu d'accueil soit maintenant soumis à une inspection approfondie", a expliqué Leen Du Bois de Kind & Gezin, l'Office de la Naissance et de l'Enface flamand

Deux bébés échangés pendant 3 semaines

6 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Une erreur malencontreuse s'est produite dans une clinique privée en Argentine. Deux mamans ont vécu pendant 3 semaines avec un bébé qui n'était pas le leur...

Dans une maternité privée Sanatorio Argentino de San Juan en Argentine, deux bébés ont été échangés par mégarde, lit on sur tf1.fr. Les mamans sentaient que quelque chose n’était pas normal, mais le personnel de la maternité n’a pas prêté attention à leurs doutes. Alors que Lorena Gerbeno, l’une de maman, avait accouché d’un bébé de 3,1 kilos par césarienne, lorsqu’on lui remet sa petite, on lui dit que celle-ci pèse désormais 3,8 kilos et qu’elle est née par le siège. Etrange. « Je leur ai dit que ce n'était pas possible et ils m'ont rétorqué que j'avais dû mal comprendre", a-t-elle déclaré dans une interview pour une chaîne de télévision argentine.

Lors d’une consultation de contrôle, les deux mamans se rencontrent et comprennent quechacune vit avec le bébé de l’autre. Elles saisissent la justice afin de récupérer leur enfant respectif. Des test ADN sont alors ordonnés, et confirment ce qu'elles pensaient. Et ce n’est finalement que trois semaines après cet échange que chaque maman a pu retrouver le bébé qu’elle a mis au monde. Lorena, l'un des mères, a confié : « J'ai passé trois semaines avec un bébé qui n'était pas ma fille. Je lui ai donné tout mon amour, sachant que l'autre maman allait faire de même. Je m’y suis beaucoup attachée ».

Une histoire inquiétante, qui se finit plutôt bien mais qui laissera tout de même quelques séquelles.

Bébé : un as en maths dès l'âge de 6 mois

5 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

D'après une récente étude américaine, la prédisposition à la compréhension des mathématiques serait perceptible avant même le premier anniversaire de l'enfant.

Ce sont des neurologues de l'Institut des Sciences du Cerveau de l'Université de Duke qui ont découvert que les aptitudes en mathématiques seraient perceptibles dès le berceau. Ainsi, les bébés qui savent faire la différence entre un groupe d'objets plus important qu'un autre, avant même de savoir compter, auraient tendance à savoir mieux manipuler les chiffres dans le futur.

Comme l'explique le Duke Today, l'apprentissage des chiffres arabes se pratique seulement plus tard. Au départ, aucun nourrisson ne peut mettre de mots sur un chiffre. En revanche, les scientifiques ont émis l'hypothèse que l'intuition, la compréhension innée des chiffres, amenait l'enfant à être bon en mathématiques plus tard.

"Quand les enfants acquièrent le système symbolique pour représenter les nombres etcommencent l'apprentissage des mathématiques à l'école, ils puisent dans cette intuition", explique Elizabeth Brannon, professeur de psychologie et des neurosciences, et directrice de l'étude. Pour prouver ses dires, l'équipe du professeur Brannon a fait passer un test simple à 48 bébés de six mois : sur un écran s'affichait 8 points, sur l'autre deux photos de 8 et 16 points qui changeaient de façon alternative.

Au final, certains enfants ont compris que l'une des images n'étaient pas identiques aux autres et y prêtaient plus d'attention. Trois ans et demi plus tard, ces mêmes 48 enfants ont passé plusieurs tests de mathématiques. Il s'est avéré que ceux qui avaient été plus attentifs aux changements d'images ont obtenu de meilleurs résultats

Mini-miss : élue reine de beauté à 9 semaines

4 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Ella Oliver est âgée d'à peine quelques mois et pourtant, munie d'une robe, d'un bandeau et de petites chaussettes à dentelles, elle a déjà remporté un titre de mini-miss au Royaume-Uni.

Ella est âgée de seulement neuf semaines, et pourtant, elle est déjà une reine de beauté au Royaume-Uni. Sa mère, Jenny Oliver, l'avait même inscrite au concours de "Miss Natural Sparkle UK" avant sa naissance, alors qu'elle était enceinte de 7 mois, rapporte le Daily Mail. C'est donc à peine 68 jours après être née qu'Ella a remporté son premier titre de mini-miss.

"Je n'ai pas maquillé Ella, elle est trop jeune pour ça. Elle portait simplement une très jolie robe rose et un bandeau. Elle a même souri aux juges. Elle n'a pu rien faire d'autre puisqu'elle ne sait pas encore parler ou marcher, je pense qu'elle a simplement été jugée sur sa beauté. Je ne sais pas encore si elle a envie de faire des concours mais je ne pense pas que celui-ci l'affectera. Elle ne sait pas encore ce qu'elle fait, ça ne lui changera pas sa vie à son âge. Si plus tard elle me dit qu'elle veut arrêter, alors soit, ce sera son choix" s'est justifiée la maman.

Une décision que Jess, la grande soeur d'Ella, n'a pas semblé faire. Âgée de sept ans, elle est montée sur scène ce même soir, maquillée, le teint hâlé à l'autobronzant et des faux ongles clipsés aux doigts. "J'espère qu'Ella deviendra aussi confiante que Jess grâce aux concours", a confié la maman. La famille a déjà participé à une dizaine de concours et dépensé plus de 2,000 livres en robes et chaussures pour mettre toutes les chances de son côté, malgré les critiques d'autres parents.

Prestations familiales : ce qui va changer en 2014

1 Novembre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Santé et prestations familiales étaient les deux principaux sujets au centre du vote de l'Assemblée Nationale afin de préparer le prochain budget consacré à la sécurité sociale.

Outre la réforme de la taxation d'épargne (seul point non validé et qui sera revu plus tard), la taxe sur les boissons énergisantes et la hausse des cotisations des indépendants, lebudget 2014 de la Sécurité Sociale laisse entrevoir de nombreux changements pour l'année à venir, notamment en ce qui concerne la médecine et les prestations familiales.

Ainsi, le gouvernement a prévu de renforcer la délivrance des médicaments générique. Il a également programmé une expérience qui aura pour but d'instaurer la vente de médicaments à l'unité -notamment les antibiotiques pour commencer-, dans de nombreuses pharmacies, et ce pour une durée de trois ans. L'optique de cette opération est de limiter le gaspillage. Le prix des produits sera également optimisé et revu à la baisse dans les hôpitaux et dans les villes.

Toujours dans le domaine médical, la prise en charge des dépassements d'honoraires par les mutuelles va désormais être plafonnée. En ce qui concerne les frais d'optique, elles seront tenues d'assurer une prise en charge minimale. Les mutuelles non-responsables seront taxées. Enfin, les séjours à l'hôpital seront également écourtés le plus possible lorsque le cas du patient le permet. Les soins en journée et sans hospitalisation vont être développés afin de réduire les frais hospitaliers.

Deuxième point important de ce budget 2014 : les prestations familiales. En effet, le complément familial pour les familles nombreuses vivant sous le même toit (soit 400,000 ménages) va subir plusieurs majorations. La première aura lieu le 1er avril 2014 et le fera passer de 167 à 184 euros, soit une hausse de 17 euros. A contrario, l'allocation pour l'accueil des jeunes enfants (PAJE) diminuera de moitié pour les ménages ayant un revenu supérieur à 48,000 euros par an. Son montant sera de 93 euros, au lieu de 186.

Echange bébé contre Iphone et produits de luxe

31 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Un couple de chinois a été interpellé à Shanghai pour trafic présumé d'être humain. L'homme et la femme ont vendu leur bébé avant de s'acheter un smartphone et d'autres produits avec l'argent récolté.

C'est la prison que risquent Mr Teng et Mme Zhang, un couple de Shanghai pour "trafic présumé d'être humain" après avoir vendu leur bébé. Déjà maman de deux garçons, la femme aurait vécu comme une surprise cette troisième grossesse. En plus d'être non-désirée, la future petite fille a également du faire face aux lois strictes qui régissent les familles nombreuses et à la préférence assumée pour les enfants de sexe masculin en Chine, rapporte le journal anglais l'Independent.

C'est donc soi-disant pour lui offrir un meilleur avenir que les parents auraient proposé leur bébé à l'adoption contre de l'argent. "Nous ne l'avons pas vendu à quelqu'un dans le but de tirer profit de cette vente, mais pour donner à cet enfant de meilleures garanties pour le futur", a tenté de se défendre le couple. La somme récoltée grâce à cette adoption -entre 30,000 à 50,000 yuan, soit de 3600 à 6000 euros- a pourtant vite été dépensée par les parents qui en ont profité pour s'acheter un iPhone et d'autres produits de luxe.

Une annonce pour l'adoption de la petite fille avait été passée avant même que Mme Zhang n'accouche. Un accouchement qu'elle a pratiqué à domicile après avoir fait passer sa grossesse pour une tumeur à l'estomac auprès de ses proches. Cette course aux dernières technologies aux dépens du respect de l'homme ou de sa propre santé n'est pas un cas isolé en Chine. L'année dernière, un jeune garçon vendait son rein pour s'offrir un smartphone et une tablette numérique. Les autorités chinoises ont par ailleurs arrêté plus de 800 personnes après de nombreuses ventes d'enfants et sauvé plus de 20,000 femmes et bébés enlevés.

40% des moins de 2 ans s'amusent déjà avec des smartphones et des tablettes !

30 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Alors que les nouvelles technologies sont en général réservées aux plus grands, ils semblent que les enfants prennent de plus en plus plaisir à s'approprier les jouets de leurs parents.

D'après une récente étude américaine réalisée par Common Sense Media et reprise parTF1, près de 40% des enfants de moins de deux ans ont déjà utilisé le smartphone ou la tablette numérique de leurs parents. Il y a deux ans, ils étaient seulement 10%. Un chiffre qui va de paire avec le taux en baisse de temps passé devant les écrans fixes.

Pour jouer, dessiner, regarder des dessins animés ou autres, ces supports mobiles représentent un réel avantage pour les plus petits. Cependant, sans surveillance et maitrise de la part des parents, le contrôle peut vite être perdu, comme l'explique James Steyer, fondateur de l'agence qui a réalisé l'étude. "Dans le passé, nous pouvions mesurer et contrôler exactement où, quand et comment ils utilisaient des écrans. Maintenant les appareils mobiles les suivent de pièce en pièce".

"Les médias que les enfants consomment peuvent avoir un effet profond sur leur apprentissage, leur développement social et leur comportement, et le seul moyen de maximiser l'effet positif -et de minimiser le négatif- est d'avoir une compréhension exacte du rôle que cela joue dans leur vie. Ces enfants sont véritablement nés dans le numérique", ajoute le président de Common Sens Media.

Certains tablettes numériques s'adressent par exemple directement aux enfants, en proposant aux parents un contrôle des programmes, une mise en veille selon l'heure ainsi que des activités éducatives.

Meilleurs résultats scolaires pour l'aîné de la famille

29 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Selon une étude américaine, le premier né d'une famille serait souvent le plus intelligent et obtiendrait de biens meilleures notes à l'école que ses frères et soeurs.

Près de 34 % des mères considèrent que leur premier enfant fait partie des meilleurs de sa classe. Un avis qu'elle ne partage cependant pas en ce qui concerne leur deuxième ou leur troisième bambin, révèle une récente étude américaine reprise par le Daily Mail.

L'enquête se base sur la théorie suivante : les résultats scolaires chutent en fonction de l'ordre de naissance des enfants. Pour V. Joseph Hotz et Juan Pantano, les deux auteurs de l'étude, ces résultats s'expliqueraient également par l'éducation. Ainsi, les parents interrogés ont reconnu avoir été bien plus stricts avec leur premier né et l'avoir beaucoup plus puni lorsque celui-ci obtenait de mauvaises notes. Fatigués ou juste un peu moins soucieux, ils ont également avoué être plus laxistes avec leurs autres enfants.

Mais pas de panique pour les cadets, une seconde étude démontre que pratiquer des activités sportives musclerait également le cerveau. Publiée dans le British Journal Of Sports Medicine, cette enquête réalisée sur 5,000 enfants âgés de 11 à 16 ans a fait le rapprochement entre performances scolaires et régularité de l'activité physique. Ainsi quand un enfant pratiquait du sport de façon régulière, il obtenait de meilleures notes dans au moins trois matières différentes.

Les mamans satisfaites du Prado

29 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Cette mesure d'accompagnement du retour à domicile des femmes venant d'accoucher avait été mise en place il y a 3 ans. La caisse d'assurance maladie dresse un premier bilan.

Il y a près de 3 ans, l’assurance maladie lançait le Prado, programme d’accompagnement du retour à domicile, pour les mamans venant d’accoucher. Ce dispositif favorise le retour à domicile après l'accouchement : Il permet aux femmes de séjourner moins longtemps à la maternité mais de bénéficier d'un suivi chez elles par une sage-femme libérale qu'elles choisissent et qui leur rend visite. Depuis sa mise en place, ce ne sont pas moins de 120 000 jeunes mamans qui ont bénéficié de ce service. Ce programme est assez controversé, certains estimant que l’objectif est de faire des économies sur le dos des femmes, en les poussant à quitter le plus rapidement possible la maternité.

Le 22 octobre 2013, la CPAM a publié un « bilan de satisfaction » de ce Prado. Son bilans’avère positif, puisqu’il fait état d’un taux de 91% de femmes se disant "très satisfaites", et9% se disant "plutôt satisfaites" (le bilan est mené 12 jours après l'accouchement). La caisse d'assurance maladie dresse un portrait type de l'adhérente à ce dispositif : il s'agit d'une maman de 30 ans, et pour 60% des cas, de l'accouchement du premier enfant. Par ailleurs, 38% des adhérentes connaissent déjà leur sage-femme.

Le bilan révèle en outre que les femmes qui ont bénéficié du Prado sont plus nombreuses réaliser les séances de rééducation périnéale post-natale que les autres (60% contre 51%). Par contre, le suivi par les autres professionnels de santé que les sages-femmes reste approximativement le même, que la femme ait ou non adhéré à ce programme. Il semble que le Prado réponde aux attentes des jeunes mamans, car cela leur permet de retrouver leur cadre de vie, tout en ayant un accompagnement. Le bilan révèle également que les adhérentes ressentiraient moins de fatigue.

Santé des enfants adoptés : les résultats d'une vaste étude

19 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Une vaste étude a été menée sur les adoptions ayant eu lieu en France en 2005, 2008 et 2010. Celle-ci révèle notamment que la découverte d'un handicap ou d'une maladie invalidante (crainte fréquente des parents voulant adopter) reste relativement rare. Explications.

En 2010, des centaines d’enfants haïtiens avaient été adoptés en urgence après le séisme. Les pouvoirs publics, soucieux de leur devenir, avaient alors lancé une étude sur l’ensemble des adoptions qui ont eu lieu en France en 2005, 2008 et 2010. Le rapport a été remis au ministère des Affaires sociales et de la Santé en septembre. Le Figaro rapporte qu'il ressort de cette étude que la découverte d’un handicap ou d’une maladie invalidante est relativement rare.

27% des parents adoptifs déclarent que leur enfant avait un problème de santé, inconnu dans 2 cas sur 3, lors de son arrivée. Mais ces pathologies cachées étaient pour la plupart bénignes et courantes dans le pays d'origine (ce qui peut expliquer qu'elles ne soient pas mentionnées). Les maladies plus graves telles que l'hépatite A, la syphilis ou le paludisme (qui concernent peu d'enfants) sont quasiment toujours connues des parents avant l'adoption. Il y a parfois des maladies graves que les parents découvrent qui sont généralement des troubles mentaux et du comportements. Cela concerne 4,3% des enfants. Seuls 21% des parents étaient informés.

L’étude révèle par ailleurs que 15% des enfants ont connu des troubles du type trouble du sommeil, angoisses ou difficultés d’attachement, voire agressivité, colère et hyperactivité. Leur apparition est liée à l’âge (les plus petits sont moins concernés), et à la préparation de l’enfant à l’adoption (souvent insuffisante).

Autre point révélé par l’étude : 78% des enfants de 3 ans et plus ont une maîtrise parfaite du français et le retard scolaire, si retard scolaire il y a, est vite rattrapé. La réussite à l’école estliée au temps que la famille adoptive a consacré à l’enfant avant son entrée à l’école (si elle est inférieure à 3 mois, l’enfant aura 3 fois plus de probabilités d’avoir des difficultés). Unallongement des congés parentaux est donc recommandé. Enfin, l'étude précise qu'ils n'y a pas plus de difficultés (sauf juridiques) dans les familles qui ont adopté des enfants après le tremblement de terre en Haïti. Environ 8% des familles doivent faire face à des problèmes relationnels importants avec leur enfant. Pour 3% les problèmes sont bien ancrés, et cela peut se traduire par un éloignement familial.

Comme le rapporte le Nouvel Observateur, pour cette minorité d'enfants adoptés qui ont des problèmes de santé, des structures existent : les consultations d’orientation et de conseil pour l’adoption (COCA). Il s'agit d'un accompagnement, d'un suivi psychologique (lequel ne remplace pas le suivi médical par le pédiatre attitré). En raison de son succès, l'attente pour avoir une consultation est longue.

10% des femmes enceintes alcoolisées lors des premiers mois

17 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

Alors que la consommation d'alcool pendant la grossesse fait débat auprès de nombreux professionnels et futures mamans, une récente étude révèle que certaines ont fait leur choix et l'assument.

Une inquiétante étude réalisée par des chercheurs d'Oslo en Norvège et publiée dans les journaux scientifiques Acta Obstetricia et Gynecologica Scandinavica révèle que de nombreuses femmes enceintes consommeraient -beaucoup- d'alcool durant leur grossesse, rapporte le Daily Mail.

Plus encore, d'après cette enquête, plus d'une femme sur dix aurait déjà été saoûle durant les trois premiers mois de sa grossesse, et 16% d'entre elles reconnaissent consommer des boissons "légèrement" alcoolisées. 10% avouent également continuer de boire jusqu'au sixième mois.

Les risques liés à la consommation d'alcool pendant la grossesse sont pourtant clairs : naissance prématurée, bébé avec un faible poids, syndrome du fœtus alcoolisé et même mort in utero dans le pire des cas. "Les résultats de nos recherches ont montré qu'il existait un lien entre les émotions négatives ressenties par la maman comme l'anxiété et la dépression et la consommation d'alcool durant la grossesse. Cependant, d'autres études sont nécessaires pour comprendre pourquoi les femmes continuent à boire malgré lesavertissements des médecins", explique le Docteur Stene-Larson, principal auteur des recherches.

parfois elles sont même alcoolisées à la CONCEPTION !!!!

commentaire de Teache A !

Maman après 40 ans, de plus en plus nombreuses

17 Octobre 2013 , Rédigé par famili.fr Publié dans #famili

L'INSEE a révélé les statistiques des naissances de l'année 2012 et il semblerait que les femmes de plus de 40 ans aient de plus en plus envie de pouponner.

821,427 c'est le nombre de bébés qui seraient nés au cours de l'année 2012 d'après le rapport de l'INSEE intitulé "Statistiques d'état civil sur les naissances en 2012". Parmi toutes ces naissances, environ 40,000 enfants ont vu le jour alors que leur maman avait plus de 40 ans. Elles sont deux fois plus nombreuses qu'il y a 20 ans à accoucher après la quarantaine. La part de "mères âgées" a donc augmenté de 2,5 à 4,8%.

Dans le même ordre d'idée, l'âge moyen à l'accouchement continue de progresser et atteint la barre symbolique des 30 ans, précédemment atteinte en 2009. À l'inverse, seulement 46% des bébés nés en 2010 ont une mère de moins de 30 ans, alors qu'ils étaient 62 % en 1990.

Espérance de vie allongée, meilleures conditions au quotidien, médecine... La maternitésemble être de mieux en mieux vécue par les femmes, même si leur âge avance