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LASTDAYS

pop

Perdre est une question de méthode : filmer est une question de talent

15 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

© Films sans Frontières

Ajouté le 28
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PERDRE EST UNE QUESTION DE METHODE

15 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Les séances de rattrapage se suivent et se ressemblent. Tout au moins pour la moindre qualité des films. Après une soirée cinéma belge, ce fut un regard sur le cinéma latino-américain dont je ne pus voir qu’un film. Mauvaise pioche.

Un journaliste est lancé, par les tuyaux d’un général, sur un meurtre (une personne empalée) dont il va découvrir un vaste complot de mafieux pour obtenir le fameux certificats de propriété tant convoité.

Les clichés sont au rendez-vous : le journaliste solitaire (forcé car sa femme vient de le quitter) toujours avec une cigarette à la bouche et souvent un verre à la main, le frère du décédé (ou croyant que c’est son frère), une prostituée non pas au grand cœur mais au coeur tendre, une secrétaire amante de son patron, des méchants, un mentor interné, …..

Lors de la présentation, il fut dit que Sergio Cabrera est le réalisateur le plus connu et le plus reconnu de Colombie. Cela donne une idée de la situation de l’état cinématographique dans ce pays. Ce que nous voyons ressemble à un téléfilm à la française, qui a la même durée, c'est-à-dire toujours trop longue. Des caractères de personnages typés, caricaturés, un humour douteux (le journaliste au début souffre d’hémorroïdes), on croise un lépreux, l’action se passe dans un bordel, …. On s’ennuie ferme face à cette image sale, à la mise en scène sans imagination de plans se succédant.

De la Colombie, on n’en apprendra pas beaucoup, si ce n’est une certaine violence, des questions d’ordre politique (le réalisateur est un ancien ‘révolutionnaire’ qui même en Chine n’a pu la réaliser). On pourrait-on résumer le film à sa dernière parole, celle de l’actrice à la tête de poupée brune - dont le réalisateur n’a pas hésité à nous montrer sa nudité – qui en partant dit au journaliste : « t’es vraiment con ».

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L'astrologie tibétaine appliquée aux candidats à laprésidentielle (texte de Patrick)

15 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Monsieur Bayrou : LIÉVRE MÉTALE Ascendant SINGE TERRE.

Monsieur Bayrou ce dirige aussi vers un type de société social, il est aussi a l’écoute des autres, respectant énormément n’importe qu’elle personne. Il est très intelligent, très ingénieux, très calme et très responsable, mais manque un peu de discernement par rapport a Madame Royale, malgré son réalisme, car il n’a pas la capacité de réflexion et d’observation de Madame Royale. Mais, comme c’est un perfectionniste et qu’il possède une certaines éthique altruistes et de l’intuition, sachant s’entourez des meilleurs élément pour réussir. Il peut apporter Beaucoup a la France, par son respect de l’individu, des petits travailleurs, des animaux, de la nature et ces idées brillantes.

J’écarte Mr Sarkozy, beaucoup trop impulsif pour diriger l’entreprise France, malgrés certaine qualité de travailleur.

Et Mr Le Pen, beaucoup trop dualiste, qui n’apportera pas la prospérité, mais plutôt des tensions interne et externe, pour la France.

 

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Dans 4 mois, la Marmotte retrouve les plateaux repas dans un avion

14 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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La critique demain

14 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

© Films sans Frontières

Ajo
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UNE VERITE QUI DERANGE

14 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Sortie en octobre 2005 mais séance de rattrapage grâce à l’Oscar du meilleur documentaire, voici un film classique, trop classique, qui vaut surtout pour son message et l’homme qui le véhicule.

Pour ceux qui s’intéressent à l’écologie, il n’y aura pas de révélations : tout est connu, au mieux, bien présenté par des schémas. C’est aussi le but des conférences d’AL Gore autour de la planète (sauf en France). Le documentaire prend appui sur ces dernières, filmé avec une qualité d’image amateur ce qui n’enlève rien à la prestation du malheureux candidat à la présidence des Etats-Unis.

Car ce qui est intéressant, c’est l’homme Al Gore, d’où il va ressortir une empathie face à ce qu’il a vécu : l’accident de son fils qu’il a failli perdre, les conditions troubles d’une défaite électorale, la mort de sa sœur d’un cancer du poumon et donc sa vision du monde après tout cela. Le film nous pousse à croire à sa sincérité et l’homme ne veut pas se relancer dans une campagne politique. A y réfléchir, le monde aura eu un autre visage avec ce démocrate.

Son but est d’informer, d’alerter ses concitoyens que le pire est à venir, si nous ne changeons pas nos habitudes. Cela va être plus difficile de l’autre côté de l’Atlantique, car la préservation de notre planète doit être individuelle, collective mais aussi politique. Et l’on peut découvrir les manipulations dont nous sommes victimes.

Le film se termine avec de nombreux messages, que j’applique dans ma vie depuis longtemps, sans il est vrai avoir pu, me passer de voiture pour le côté professionnel mais en voici quelques uns : planter des arbres, éviter de prendre la voiture, acheter recyclable, faites le tri des déchets, éteignez vos appareils en veille, utilisez des ampoules basse consommation.

En cette année d’élection présidentielle, il est bienvenu que l’écologie prenne une place importante, même si cela passe par du médiatique. Etre informé, c’est être concerné, UNE VÉRITE QUI DÉRANGE est alors un film utile. Ensuite, cela pourra être l’inverse, en étant concerné, vous pourrez informer. Le combat pour une Terre plus verte, moins pollué sera l’objectif de ce XXIe siècle, et il n’est pas gagné car il commence juste.

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Normalement ce soir ....

13 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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Demain la critique

13 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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UNE NUIT AU MUSEE

13 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

A partir d’une idée simple et d’effets spéciaux, voici un film sans d’autres prétentions que celui de divertir. C’est une qualité mais c’est aussi une limite, typique d’un produit formaté.

Un père se voit contraint d’accepter un poste de veilleur de nuit, s’il veut continuer à voir son fils depuis son divorce, car il va de travail en travail, ainsi que d’appartement en appartement, tandis que son ex-femme vit avec un golden boy. Mais la nuit au musée, les personnages, les maquettes, les animaux empaillés ou pas, prennent vie pour retourner à leur état initial au petit matin.

On ne peut pas dire que le film soit drôle mais il se regarde, d’autant que Ben Stiller joue correctement ce père socialement décalé qui recherche tout de même une normalité pour ne perdre devant son fils son statut. Le côté social est abordé (réduction de personnel), mais le tout baigne dans la comédie.

Une nuit au musée est une soirée au cinéma, vite regardé, vite oublié.

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Sarkozy vu à travers l'astrologie tibétaine (texte de Patrick)

13 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Mr Sarkozy, ne devrait pas suivre une tel logique emporter, a fin de servir les intérêts de son groupe dualiste ou de certain médiats, et soi disant philosophe, qui ce reconnaîtront (apprenti-philosophe au bon style de plume, qui non pas résolue la lui haute questions de philosophie, qui donne droit de dire, que l’on est un sage et un philosophe, la question qui est : d’être un égocentrique dualiste ou de ne pas être dualiste avec des valeurs altruiste, d’être ou ne pas être, la réponse est dans ce texte.).


Mr Sarkozy, s’il avait du respect en vers lui même, il appliquerez le deuxième sens du mots compassion, il ce remettrez en questions, est appliquerez le respect en vers lui même, de ne pas suivre un mode d’émotion impulsif, corrigerez ce trait de caractère, qu’il a souvent exprimez dans le passé et appliquerez l’antidote adéquate, qui est une compassion active, avec en plus sa qualité primordiale de son caractère, sa ténacité et sa force dans le travail, pouvant surmonter des montagnes, force qu’il devrez diriger vers des but altruiste et non dualiste.

Mr Sarkozy, la compassion est une force, un outil politique, que Mr Bayrou et Madame Royale exprime assez bien par leur comportement sociale, idéal altruiste, vers le qu’elle ils tendent tous les deux. 

Passons a un bref portrait Astrologique des principaux candidats, avec une préférence pour Madame Royale 
et Mr Bayrou, qui a mes yeux sont a égalité et peuvent, tous deux apporter beaucoup et le renouveau que
les électeurs attendent par les qualités qui apparaissent dans leurs caractères.

 

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demain la critique

12 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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LETTRES D'IWO JIMA : plus fort que la vie, la mémoire

12 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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LETTRES D'IWO JIMA

12 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

« Dans l’obscurité existe la lumière, ne regardez avec une vision obscure.

Dans la lumière existe l’obscur, ne regardez avec une vision lumineuse.

Lumière et obscurité créent une opposition mais dépendent l’une de l’autre comme le pas de la jambe droite dépend du pas de la jambe gauche ».                  Maître Sekito

Une image fixe d’une plage. Personne. Le temps est passé. Un autre temps mais pas un autre monde. Telle est l’image finale du diptyque voulue par Clint Eaxtwood qui fait immanquablement référence au travelling final de MILLION DOLLAR BABY, mais à cette différence que dans la disparition de l’homme est remplacée par la disparition de la vie.

Tout est dit et tout est perdu d’avance pour ces troupes japonaises basées à Iwo Jima, en 1945, que son armée (air, mer, terre) va abandonner, laisser à son sort, donc à la mort. Bien qu’il s’en défende dans ses interviews, Clint Eastwood nous envoie (malgré lui) un message pacifiste ou de non guerre, faisant écho aux conflits où son pays est impliqué actuellement. Car de guerre et de devoirs il est question mais surtout, surtout d’humanisme. Et l’humanisme ne se marie pas avec la guerre.

Le ton et la mise en scène sont sobres dans une histoire linéaire baignée d’une lumière sombre. Car sur cette île, les soldats japonais avaient construits des tunnels, leur permettant de faire face aux assauts de l’armée américaine.

On va suivre plusieurs personnages mais l’axe sera les pérégrination d’un simple soldat, Saigo, qui tout en voulant sauver sa vie devient soldat, un vrai soldat. S’il veut sauver sa vie, c’est pour revoir son enfant qu’il n’a jamais vu et dont il a fait une promesse à sa femme enceinte. Á ce niveau le scénario de Paul Haggis montre sa structure classique. Et pourtant, dans la réalité, il y eut seulement un millier de survivants sur les 22 000 soldats présents sur l’île.

Derrière l’histoire, les hommes, l’homme. On ne peut être qu’admiratif pour ce général intelligent (donc humaniste ?) qui jusqu’au bout, aura voulu sauver un maximum de ses hommes, dont Saigo, face à un état-major militaire, qui rappelle celui de la France lors de la guerre des tranchées en France. Le général Kuribayashi est un militaire mais c’est aussi un père, et c’est à partir de ses lettres qu’a été reconstitué en partie ses 40 derniers jours.

Les trois premiers flash back sont en référence à son fils, le dernier le verra au volant d’une voiture sur une route (de Madison), car il avait été envoyé aux États-Unis avant la guerre. Si MÉMOIRES DE NOS PÈRES contait la recherche du passé par un fils, c’est l’inverse ici. Que laisser, que faire passer comme message au seuil de la mort, cette question hante visiblement Clint Eastwood, bien plus que la mort elle-même. Le passé, la mort mais avant tout la vie.

Les deux films se font résonance mais pas écho, sauf dans la scène où l’un des soldats américains est retrouvé mutilé (il ne sera pas montré à l’écran), on comprend pourquoi lorsqu’il est tombé aux mains des japonais après avoir utilisé son lance-flammes. Les sentiments sont mêlés, on trouvera autant de japonais appliquant le code du combat que d’américains ne l’appliquant pas.

40 ans après la bataille, les survivants japonais et américains se sont retrouvés sur cette île, l’amitié remplacée la guerre pour ces personnes qui ne se connaissaient pas et dont la scène de la lettre américaine lue montre l’universalité des sentiments. La reconnaissance de l’autre laisse apparaître l’humanité en chacun de nous, premier combat contre la violence et la mort. Et sur la plage, les hommes blessés quel que soit leur camp, reste d’abord des hommes.

Dans ces galeries souterraines la lumière de la vie sortira mais d’une autre façon, dans une des scènes finales, par la mémoire que va laisser le père en héritage. Dans l’obscurité existe la lumière. Cela c’est Maître Eastwood qui nous la livre dans son film testament.

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Demain, promis la critique

11 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

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Rien que pour Teache A ....

11 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

7.
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Jenna Jameson (Teache A, tu préfères laquelle ?)

11 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

jenna jameson
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Captain America est mort (le 7/3/7 âgé de 66 ans, sous les balles d'un snipper)

11 Mars 2007 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Avec l'entrée en guerre officielle des Etats-Unis, le 7 décembre 1941, le Japon devient l'autre ennemi de Captain America. | http://captain-america.us
http://captain-america.us
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