pop
ORIGINE
Cette année sera donc, en partie, des séances de rattrapage, ce qui est plaisant face à une actualité qui souvent peut nous laisser sans recul (bien que je ne sois pas pollué par le matraquage télévisuel).
Au départ, on pense fortement à l’univers de Myazaki, tant le message écologique est présent par le problème de l’eau. On peut y trouve aussi une jeune héroïne qui heureusement va faire de bons choix. Ensuite, on dévie vers le côté manga et le public des moins de 10 ans, avec une transformation de personnages, des robots qui lorgnent vers STAR WARS et des explosions, beaucoup d’explosions.
Si la première partie du film, découverte de la ville, des personnages (notamment le père d’Agito transformé en presque arbre), des jalousies et du destin télécommandé se regarde, la seconde qui vire à l’aventure est lassante pour l’adulte malgré une animation et des dessins de qualité. Ce qui est confirmé par le parcours du réalisateur et surtout ce qui a servi de base aux scénaristes : l’œuvre de Umanosuke Iida qui a travaillé sur de nombreux projets avec … Myazaki.
demain la critique
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LA CITE INTERDITE : un bel exercice de style
LA CITE INTERDITE
Le cinéma reprend ses droits ou plutôt sa durée longue qui la différence du petit écran. Durée perçue souvent comme languissante mais d’une manière involontaire, ce qui ne sera pas le cas de la nouvelle réalisation de Zang Yimou après LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS (2004) qui m’avait semblé vain et HERO, sorti un an avant, raté. Après la période avec la jeune Zhang Ziyi, retour avec (son ex-femme) Gong Li, avec laquelle il avait tourné la plupart de ses films les plus connus et réussis dans les années 90 (EPOUSES ET CONCUBINES, QUIU JU UNE FEMME CHINOISE, LE SORGHO ROUGE).
Le retour est un film en costumes richement parés, aux décors flamboyants de couleurs et aux scènes de combat stylisées. Les moyens n’ont pas manqué et l’imagination non plus. L’ambiance est issue d’une pièce de Shakespeare transposée dans
Après donc le classique film de sabre, c’est à une histoire familiale dramatique et meurtrière que nous allons assister dans
Plus que tous ces secrets, ces révélations, le film est d’abord un écrin pour Gong Li qui montre son talent dans un rôle dramatique. La caméra jouant avec les rideaux de bambou, les parures de chaque personnage et surtout la couleur. Bien que vives, c’est celle du noir qui reflètera l’issue finale. En amenant mieux les scènes de combat, en donnant une structure intéressante à son scénario, Zhang Ymou contrairement au calamiteux LEGENDE DES CAVALIERS DU VENT de Chen Kaige l’an dernier, arrive à captiver notre attention même si la forme comme l’écriture ne restent qu’un exercice de style.
2740 hier, Geckomat c'est pour Toi ;-) (Appel à pétition voir article hier)
2825 Internautes ont signé l'appel Soutien à Fabrice