Londres-Athènes avec de l’huile de friture recyclée
Thailande 2oo8 : Hard bargain
D'habitude je ne le fais jamais, mais jamais.
Pour une fois, pour quelques dizaines de minutes, apres une pluie battante, je laisse mon passeport et mon argent dans ma chambre. Pas de souci pour les voisins, je suis le seul a l'etage et il y
a toujours une personne a l'accueil. Je rentre, ouvre la porte ou plutot essaye d'ouvrir la porte ..... qui ne s'ouvre plus !
J'en informe l'accueil qui me dit qu'il n'existe qu'une cle et une femme vient avec moi. Bien sur, pas plus que moi, elle ne pourra ouvrir la porte. Elle redescend, une autre remonte avec un
trousseau. Meme cause, meme effet. Je sais bien que ce n'est pas la cle mais le mecanisme de la porte qui est cause de mes soucis. Apres 20 minutes, appel a un serrurier.
Enfin, ce qui doit etre un serrurier car sa trousse est bien petite. Il essaye mais n'ouvre pas la porte. Il commence a vouloir demonter la serrure, ce qui est impossible car il n'y a pas de vis,
alors au lieu de defoncer la porte ou de faire eclater la serrure, il va demonter la grille en fer qui protege les fenetres (des lattes de verre de 40 cm sur 10 de large) pour les enlever et
penetrer.
Je recupere tout de suite mes documents mais pas possible de garder la chambre car je ne peux fermer a cle. Et c'est la que l'on ne va pas se comprendre avec la femme de l'accueil. Elle me
demande si je ne sors plus (pour rester bien entendu dans la chambre), je reponds par la negative en lui demandant une autre chambre. Le probleme, c'est qu'il n'y a plus de fan (ventilateur) mais
que de l'air con. Je lui demande une chambre avec air con. Elle me dit mais de quoi je me plains. Je lui dis que je suis en dehors de ma chambre sans pouvoir y entrer. En fait, ce qu'elle voit
c'est qu'elle a du payer une intervention mais pas la dimension client. Je lui rappelle que je suis un ancien client. Elle consent a me donner la chambre avec air con mais sans que j'ai a
utiliser l'air con. La qualite et la fidelite du client, elle connait pas. Je quitte l'hotel le lendemain, plus jamais je n'y retournerai. Mentalite revelatrice des thais, mais que l'on peut
trouver aussi dans le sud de la France me direz-vous.
Dans un autre hotel, le moins cher de Kao San ou je suis connu aussi, je laisse un sac en 'storage'. La derniere fois, c'etait gratuit, ce qui est rare dans les hotels ou ghest house. Mais plus
cette fois. Je demande a la femme pourquoi et elle me dit que c'est la 'mama san' qui decide. Je dois negocier le prix qui est plus eleve que l'ordinaire. Je reste encore une nuit car la chambre
est grande (15 m2) et le prix le prix le moins cher de bangkok mais pour la fin de mon voyage, je change d'hotel, choisissant la clim dans cet environnement
aux temperatures elevees (31 degres) mais surtout humide.
J'allais presque ecrire que j'offrais un repas au restaurant (en Thailande ou a Bali) a celui ou celle qui me trouverait une noix de coco moins cher que celle que je paye soit 12 baths. C'est moi
qui vais m'inviter !
Mon marchand habituel etant en rupture de stock je trouve en remontant la rue , une etale ou il y a des noix de coco a ... 10 baths (1 euro = 50 baths).
Le lendemain retour chez le vieux marchand qui n'est plus la. Je vais donc en face ou il y a des noix de coco. Lorsque j'entends le prix, je n'y crois presque pas : 5 baths. Pres des temples
(Palais royal, Wat Po), vous pouvez des noix de coco a 15, a Kao San, c'est 20. Prix touristique mais aussi pour les thais. J'ai pu remarquer que les prix avaient aussi augmente pour eux. La
moyenne des revenus ne veut rien dire car 81% des thais gagnent approximativement 350$ par mois.
Pour terminer sur le marchandage, deux exemples.
J'ai decide depuis quelques annees de ne plus rien acheter a Kao San sauf ce que je n'arrive pas a trouver. C'est le cas d'une sous-banane, celle que je glisse sous le pantalon, elle ne se voit
pas car elle est fine et ne contient que les billets en euros et mon passeport qui contient ma carte bleue. Je vais a l'endroit que je connais tenu par une vieille thaie. A l'epoque
de mon premier voyage, c'est la que j'avais acheter (je partais avec rien en soute et revenait avec 20 kg d'achats !). Elle m'annonce ce qui est ecrit sur l'etiquette (mais cela ne veut rien
dire) : 120. Vite, j'arrive a 110. Avant d'acheter, je vais faire une autre course et au retour, je me trompe de boutique et me voit proposer le presque meme produit pour 100. Je prends sans
discuter. Les loyers doivent etre eleves, de plus en plus eleves. la tendance 2008 de Kao San, ce sont les banques qui prennent de l'importance en meme temps qu'un immeuble est en construction.
Sur une petite rue ou chaque metre est compte, c'est un changement de taille, les petites boutiques laissent doucement mais surement la place aux chaines, de quel type que ce soit.
Je retourne voir la vieille femme et essaye de negocier pour 100. Impossible. Je lui sors alors le produit achete et elle se met a rire en me disant que ce n'est pas de la bonne qualite.
Voici donc un argument de vente des plus employes par les commercants. Bien sur que c'est faux. Je l'ai entendu a Patronam : le gars me montrait mon tshirt, certes qui montrait des signes de
fatigue. Mais ce qu'ilne savait pas, c'est que vu le nombre de lavages et l'etat ou il se trouvait, c'etait de la qualite. En allant dans le stand d'a cote, je trouverai la meme qualite de tshirt
au meme prix mais sans avoir a negocier.
En quittant le magasin, j'entends une voix qui me dit "d'accord pour 100".
Classique aussi le fait de vouloir vous vendre un tshirt Medium ou XL lorsque vous faites du Large.
Dans le meme registre, en achetant un produit generique, je dis a la vendeuse que c'est un produit indien. Elle me dit que non. Je lui montre alors sur la boite la ville d'origine
(Bangalore). A chaque fois que e demandais un 'discount', elle me disait "il faut que je consulte mon ordinateur". Son ordinateur, c'etait sa patronne. D'un prix de 7500, je
suis arrive a 6500 soit 150 euros pour un cout en France de 400 euros (mais prix en forte baisse). C'est ce medicament qui en Inde coute seulement 6 euros par mois au lieu de 40 en France. Bien
que la pharmacie thaie se fasse un fort benefice, cela reste encore interessant d'acheter. En fait. c'est grace a cette pharmacie que j'ai connu l'existence de ce medicament generique que j'ai
achete, amortissant mon voyage indien de l'epoque.
Voila une des raisons qui freine mon envie d'aller au Vietnam. Si vous acceptez ou ne vous doutez pas de payer le prix fort, pas de souci. Pour le cas inverse, pour les voyageurs petit budget, il
y a de quoi s'enerver, j'ai eu plusieurs echos et de personnes plus calmes que moi ! L'Inde aussi vaut son pesant de chapatis !
Je ne suis pas pour le 'Hard bargain', simplement payer le prix juste, celui des locaux. Vu aux endroits ou je mange dans les pays, ils ne sont pas nombreux a voir des 'blancs'
venir les voir. Enfin, a force de s'habituer a arnaquer ou a prendre une certaine marge, certains commercants refusent de vendre si le prix ne leur convient pas meme s'ils font deja du benefice.
Dans ce cas, leur phrase c'est "va l'acheter la ou tu l'as vu !".
Resultat de cela, dans les iles, alors qu'il y a des cocotiers, les locaux ne savent plus monter pour aller les faire
tomber. Les noix de cocos coutent plus chers sur les iles qu'a Bangkok, meme au prix fort !
un jeu video sans interet
DEATH RACE
Le plus intéressant est l’introduction par les premiers mots (prophétiques !) du contexte du film : « dans une Amérique en
déconfiture économique, avec un fort taux de chômage, les gens veulent des émotions fortes en la compétition d'une course mortelle (Death Race) entre prisonniers, dont le gagnant obtient la
liberté, après un certain nombre de victoires ».
Fallait-il un remake de ce film de 1975 (avec David Carradine et Sylverster Stallone), qui tient en quelques lignes et qui aujourd'hui est prétexte a des effets
spéciaux, il est vrai saisissants pour ceux qui aiment les courses de voitures avec tamponnages et tirs de mitraillettes ?
Le réalisateur Paul Anderson - à ne pas confondre avec Paul Thomas Anderson (There will be blood) ou Wes Anderson (The Darjeeling limited) - avait déjà commis MORTAL KOMBAT et RESIDENT EVIL sortis tout droit de jeux vidéo ; c'est encore le cas. Comme il est aussi producteur et scénariste, la trame existante a été reprise et remise au gout du jour : Jason Statham, acteur bien musclé (vu dans THE BANK JOB) rappelle Vin Diesel et Bruce Willis, on a droit à la présence de filles sorties de clips vidéos de rappeurs américains avec le traitement adéquat, le tout dans une histoire où il y a un innocent et la liberté en fin de course (comme dans LE PRIX DU DANGER qui eut d'ailleurs un remake avec Scharzenneger en 1988). Les personnages typés sont présents à savoir la blonde sans scrupule organisatrice de la course, le maton vicieux, les copains, les différentes bandes.
Enfin, il fut amusant de voir le clin d’œil dans le traitement du lancement promotionnel de la course à la télévision : payante (99$ pour une course, 250 pour les 3), cette émission est interdite aux moins de 18 ans, alors que le film lui ne l'est pas ! Détail scénariste mais révélateur, sa femme ayant été tuée (on se demande pourquoi), le personnage principal va en prison et retrouve le meurtrier mais au lieu de le faire avouer, il le tue. D'une certaine manière, cela arrange pour la poursuite des courses.
Les amateurs de voitures avec explosions baignées dans un son de musique métal pourront apprécier, les autres continueront leur chemin tranquillement.
Des abeilles se déchaînent contre une apicultrice
Trouvée inconsciente à côté de ruches dont elle s’apprêtait à récolter le miel, elle a été plongée dans un coma artificiel à l’hôpital de Quimper.
Mais pourquoi un tel déchaînement ?
On le sait peu, mais le mauvais temps ne tape pas uniquement sur les nerfs des vacanciers.
Les abeilles aussi sont stressées. La pluie réduit le nombre de fleurs à butiner, du coup ces insectes puisent dans leurs réserves et sont de mauvais poil, a doctement expliqué hier Denis Jaffré, président du Syndicat des apiculteurs du Finistère.
De plus «la période de récolte du miel reste une période critique, où l’on dérange les abeilles», a complété une apicultrice de la région. A noter que la présence du chien de la victime sur les lieux n’a rien arrangé. «Le moindre mouvement peut agacer les abeilles», a ajouté Denis Jaffré qui conseille de tenir éloignés des ruches «les animaux domestiques qui peuvent avoir des réactions imprévisibles».
Mounir SOUSSI
http://www.liberennes.fr/libe/2008/08/des-abeilles-se.html
Model : Maria Carla Boscono
Elle a conscience de sa chance et tente de communiquer cette sorte de reconnaissance qu'elle éprouve envers sa bonne étoile, en diffusant bonne humeur et gentillesse autour d'elle. Elle ne sort ainsi jamais d'un shooting sans avoir salué les techniciens et ceux qui oeuvrent dans l'ombre. C'est sa personnalité hors du commun - faite d'humanisme et de mystère - qui ont fait d'elle un mannequin à part, plébiscitée et aimée du milieu.
De plus, sa capacité à incarner de multiples émotions, à paraître différente selon les envies des créateurs, à dégager tel ou tel sentiments, lui fait décrocher en 2001 quatre campagnes de publicités et pas des moindres : Chanel, Armani, Calvin Klein et Roberto Cavalli. En 2002, elle défile de plus en plus et pose également pour Dior, DKNY, Jean Paul Gaultier, Lagerfeld, Marc by Marc Jacobs, Michael Kors, Moschino et Versace.
Depuis 1997, elle est la muse et amie du créateur Riccardo Tisci, styliste de Givenchy, qui est rapidement tombé sous son charme. Depuis plus de dix ans, leur alchimie n'a jamais cessé de fonctionner… Elle sera d'ailleurs en 2005 le visage de la campagne de Givenchy. La même année, elle remplace au pied levé Kate Moss, pour la campagne H&M.
Bangkok 2oo8 : Patronam
Voila, c'est fini ou presque.
Le syndrome de Koh Phi Phi a donc eu lieu cette annee pour la Thailande.
Koh Phi Phi est une ile au Sud de la Thailande. Lorsque j'y suis alle la premiere fois - c'etait encore au XXe siecle - j'y ai decouvert ce que je cherchais : une mer bleue, du sable blanc, un
bungalow a dix pas de la mer, un village de muslim avec un cantine a prix vraiment doux. L'electricite ne fonctionnait qu'a partir de 18 heures, l'accueil etait tenu par deux travestis, il
arrivait qu'il pleuve en fin de journee mais j'etais bien. Je pouvais meme regarder du catch dans une agence qui organisait des sorties pour faire du snorkling et dans laquelle j'avais sympathise
avec le patron, j'avais meme droit au ventilateur car il y avait quelques moustiques qui trainaient autour de moi.
Lorsque j'y suis retourne, c'etait apres la sortie de film THE BEACH ou l'acteur Di Caprio cherchait une plage de
reve. Le tournage a eu lieu en partie sur l'ile. Son reve est devenu un cauchemar ou presque pour moi. L'accueil avait change, les prix aussi. Kho Phi Phi etait devenu plus une destination pour
couples desireux de repos, restaurants et chambres avec clim que de voyageurs voulant etre seul au monde. Meme ma plongee avec mon agence ne fut pas aussi belle que la premiere fois, je me
souviens encore du ciel ombrage. Je m'etais dit que je ne reviendrai pas. Je devais etre le seul a me balader pieds et torse nus muni de mon seul sarong.
Et puis, j'y suis retourne apres le tsunami. L'ile, petite en largeur, a deux cotes : le premier - celui de laplage transformee - a vu monter le niveau d'eau d'une hauteur de 1.5 m (il y avait
les traces sur les murs) mais l'autre, celui du village des muslim, s'est pris la vague de plein fouet. 80 morts ou plutot disparus. Il y avait un hotel sur plusieurs etages qui fut devaste. Je
connaissais du monde, je vous en parlerai un jour dans un article, dans un prochain voyage. Je n'ai plus rien a faire sur cette ile.
Bangkok, c'est presque pareil. Presque. Sauf qu'il y a toujours quelques endroits a decouvrir, quelques attractions touristiques, quelques villes thailandaises a revoir, le Nord a redecouvrir et
quelques points pour voyageurs petits budget. Bangkok et la Thailande restent un point incontournable pour commencer a voyager. Pour ma part, j'irai voir ailleurs.
En attendant, c'est a Patronam que je suis alle. C'est comme Chinatown mais version vetements sans avoir a marcher au pas. Pour y aller, il faut prendre le bus 2/60/79 (climatise). Mieux vaut se
faire ecrire le nom en Thai dans une des agences touristiques (Kao San vous traversez la rue, a droite, une agence de change, les informations sont derriere), c'est plus sur. Lorsque je monte
dans le bus, un thailandais me demande en anglais ou je vais, je lui dis et me repond que je suis dans le bon bus. Arrive, il faut prendre un des passages vers la gauche et
deambuler des minutes voire des heures dans cette succession de boutiques pour touristes mais aussi pour thailandais et surtout pour grossistes.
Les vendeurs de Kao San s'approvisionnent ici pour la plupart, c'est pour cela que les prix sont beaucoup plus chers (un tshirt vendu 150 baths a Pratonam arrive a 190 a Kao San). Ce jour la,
coup de chance, je tombe sur la bonne boutique pour acheter mon sac a dos : propose entre 1200 et 1400 baths a Kao San, j'arrive a le negocier 550 apres un prix de depart a 800 vite descendu a
600. Je ramene 6 tshirts, 3 debardeurs, un short pour le voyage de l'an prochain et un pantalon (150/100/250/300). En circulant dans les rues derriere Kao San, je m'apercevrai que je ne pas fait
de si bonnes affaires mais cela m'a fait decouvrir cet endroit.
Un massage d'une heure que je trouve moins energique car pas dans la tradition thaie, c'etait plutot du toucher. Il me fallait plus pour faire passer ma nuit dans ce car du retour vers Bangkok.
Le dernier jour, je retournerai a la boutique que je connais (180 baths/heure sinon 280 pour 2 heures si avant midi) . Je finis la soiree par un Noodle Tom Yam dans la rue (nouilles
avec poisson - 25 baths), une noix de coco, un bun (fourre aux haricots noirs), un mango juice, je n'en demande pas plus.
Surtout qu'en pesant le sac a dos (avec mon ancien a l'interieur), j'ai la satisfaction de voir que je ne suis qu'a 14 kg sur les 20 autorises (sinon, 20 $ par kilo). Il est vrai que je
garde tous les livres avec moi. Je vais donc acheter 3 kg de sauces, aromes, condiments. Les aromes, je les utiliserai facilement en faisant des brioches mais pour les sauces, il doit encore m'en
rester du voyage d'il y a deux ans, sans parler de celles de Bali !
Demain, il y a de fortes probabilites que je croise Fred, ce voyageur rencontre a Bali l'an dernier qui a passe son ete a Koh Tao, une ile reservee a la plongee. Il me racontera et me donnera
peut-etre envie d'essayer de faire du 'diving' et de visiter cette ile dont j'ai beaucoup entendu parle sans y aller.
The Mummy : Tomb of the Dragon Emperor
Enfin un film vu dans une grande salle, la grande salle d’un multiplexe malaisien, mais cela se paye plus cher, le
ticket vaut 10 ringgits au lieu de 8 voire 6 (1 euro = 5 ringgit malais). Comme dans ce pays, je fais une consommation de films américains grand public, je remarque une inflation d'effets
spéciaux qui compense la faiblesse de l'histoire, cette troisième aventure contre des momies ne fera pas exception.
Je ne pense pas que cela soit fortuit que l’action débute et se poursuive en Chine. D’abord il est sorti pendant les Jeux Olympiques et surtout il est produit en partie par des studios
chinois. Cette fois, le couple d’aventuriers avec leur fils, vont devoir combattre un empereur chinois qui revient a la vie et qui veut « un nouvel ordre, arrêter le chaos et conquérir
de nouvelles terres ». Toute allusion avec un pays existant serait fortuite ou mal interprétée.
Deux traits font penser à Indiana Jones : le premier est le côté vieillissant du couple avec l'épouse qui n'est pas crédible dans son rôle d'écrivaine en manque d'inspiration à force de rester
dans son château ; et deuxièmement, l'aspect filial, a double résonance entre le père et le fils américain et la mère et la fille chinoise. On ne croit d'ailleurs pas du tout ni a
l'interprétation de Brendan Frazier avec son fils, ni a la conviction de Michèle Yeoh dans son rôle de mère.
Un détail est révélateur. Αlors que notre équipe est dans les montagnes de l’Himalaya poursuivit par des méchants soldats chinois, la jeune femme chinoise lance un appel et voici qu'arrive trois
yetis et Jonathan - l'ami qui donne un côté humoristique - de dire : "et en plus elle sait parler le Yeti". Car le personnage de la fille, dont tombera évidemment amoureux le fils,
sait parler le chinois, l'anglais et le yeti. Comme elle est immortelle, elle a eu le temps d'apprendre !
Il y aura des cascades, des avalanches, un combat avec une armée de pierres (Jason et les Argonautes), une trahison (voir le dernier Indiana Jones), une musique jazz sirupeuse composée d'ailleurs
par le réalisateur Rob Cohen.
La Momie (en anglais le mot prend deux M) est une marque de fabrique que l'on pourra peut-être revoir avec des aventures en Russie ou en Amérique latine selon l'attribution d'événements sportifs
mondiaux.
Pour eux aussi, c'est la rentree
LIBERATION.FR : mercredi 27 août 2008
Les nouveaux cineastes israeliens sont la revelation de cette annee
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Premier film et premiere reussite |
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bientot la critique de VALSE AVEC BASHIR |
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Cohn-Bendit:
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Une annonce qui confirme un sentiment largement partagé mais qui contraste avec l'optimisme de l'Insee.
afp