Contemporain
Le concept du directeur était de laisser à deux artistes le soin de contacter des commissaires qui eux-mêmes ont choisi un artiste pour illustrer notre décennie.
La temporalité en était le sujet.
Il faut savoir qu'il y a foisonnement de biennale, il en existe plus de 120, une par semaine est créée en moyenne. Evitant de vous faire le compte rendu de cette exposition qui ne m'a pas touché, je vais vous faire part de ce qui m'a marqué.
Il y avait une pièce qui représentait une illustration de l'univers de Michel Ouellebecq : des tableaux naturalistes avec des animaux empaillés. Il y en avait deux particulièrement réalistes : un loup avait dans sa gueule les viscères d'une biche, un ours lui, avait un bébé ensanglanté. Après ces tableaux , nous poursuivîmes notre parcours qui était surveillé car la pièce suivante était interdite aux mineurs.
C'était une grande pièce vide (au moins 100 m2), avec en coin deux sculptures en verre qui était censées représenter le fait qu'elles nous permettaient de voir à travers et aussi de s'y refléter.
Et puis, une femme qui marchait, commença à se déshabiller.
Se retrouvant en sous-vêtement, elle finit par tout enlever.
Visiblement, elle entretenait son corps.
Elle finit sa performance en disant le titre : "Selling Out 2002".
Ce qui m'a marqué, ce n'est pas ce strip, mais le fait de l'avoir interdit aux mineurs alors que dans la pièce précédente se trouvait - à mon avis - de quoi perturber un enfant. J'attends de l'art qu'il m'émeuve, voire puisse me choquer mais dans ce cas ce ne fut ni l'un, ni l'autre.
L'histoire ne dira pas si nous avons fait marche arrière pour visiter une nouvelle fois cette pièce ! Mais pour vous mettre sur la voie, sachez que Teache A avait un billet qui lui permettait de retourner voir cette expo !
Un brouillon du modèle UN DIMANCHE A LA CAMPAGNE
L'HEURE D'ETE
Souvent, le cinéma français est raillé lorsqu’il ne s’intéresse qu’à son nombril : petits problèmes de cadres avec leurs soucis quotidiens résumés à un cinéma parisien pour bobos. En 1968, Godart disait que l’on ne voyait pas d’ouvriers, de salariés dans les films. Il ajoutera aussi que celui qui travaille 8 heures en usine n’a pas envie chez lui ou dans une salle de cinéma de revoir son environnement. Quarante ans plus tard, cela n’a pas changé.
Le dernier film d’Olivier Assayas, nous brosse un portrait (un dessin, presque une caricature) d’une famille qui fait face à la mort d’une mère et du problème de succession. Tensions dans la famille, devant l’appât d’une somme et d’un lieu qui représente sûrement un passé mais certainement plus un avenir.
On pourrait penser que le film a deux faces mais il n’en est rien. C’est un brouillon, un film loin d’être réussi et proche d’être raté, qui accumule clichés et longueur.
Deux frères, une sœur. Tous ont réussi, dans leur vie privée et professionnelle : l’aîné, Frederic, est professeur d’économie à Paris (il écrit des livres, est invité en radio),la soeur est créatrice d’objets design à New York et le petit dernier est parti en Chine comme directeur avec sa femme et ses enfants. La maison familial est ce lien deux ou trois fois dans l’année pour des retrouvailles. D’ailleurs le film commence par l’anniversaire de la mère qui a 75 ans, sans jamais être contente de ses cadeaux. L’un deux sera symbolique : un coffret de téléphone sans fil, qui ne sera jamais mis en marche avec un mot dessus : « Appelez Frederic pour l’installation ».
Mais la scène qui donne la clé du film se situe à son ouverture : des enfants jouent à la recherche d’un trésor. Ils trouvent une enveloppe avec une feuille blanche. Très vite, l’un d’eux pense à de l’encre invisible qui apparaîtra sous la flamme d’un briquet.
Le film relève de cela. Derrière le vide apparent, une ligne révèle ce que l’on veut amener.
Sous les tics agaçants, irritants (le mot est cité dans le film) de cette famille dont deux enfants sur trois veulent vendre l’héritage pour des besoins d’argent, se cache l’histoire de la mémoire, des secrets de famille (la liaison de leur mère avec leur oncle), de la culture. On ne peut s’empêcher de penser au réalisateur et sa part autobiographie car son frère Mishka, journaliste est aussi auteur du dictionnaire rock (se rappeler de son article sur Joy Division dans Rock & Folk).
Le scénario ne tient pas à ce niveau là : avoir besoin à ce point d’argent pour vendre deux tableaux de Corot pour acheter une maison en Chine pour l’un et un appartement pour son futur mariage à New York est proche du ridicule. Comme l’est le personnage de la fille de Charles Berling (belle interprétation – scène de pleurs dans la voiture) qui se retrouve pour vol de vêtements et pour détention de drogues. On ne frise plus le ridicule on y est. D’autant plus que la scène finale de la soirée complète celle de l’ouverture, et se veut brancher avec en extrait du rap et un groupe parisien ( !) LES PLASTICINES. La boucle est presque bouclée.
Et pourtant. Deux scènes illuminent le film, de ce qu’il aurait pu être, dû être ou ce que j’aurais voulu qu’il soit. Eloïse est la gardienne de la maison, la bonne, la gouvernante, on lui demande ce qu’elle veut comme souvenir. En étant raccompagné par le taxi, elle lui dit qu’elle a pris un vase. Banal pour elle, sans savoir que c’est une création qui existe en exemplaire presque unique. Tout dans cette scène montre l’obscénité de celle devant le notaire. Enfin, lorsque Eloïse va voir une dernière fois la maison, se fait raccompagner devant son HLM par le taxi, ce dernier sort et l’étreint. Cela disqualifie les embrassades des frères et sœur qui sans être étrangers, ont des liens distendus. Le film est dans cette ambiance.
Olivier Assayas s’est perdu dans son scénario et en a oublié le spectateur. Au lieu de parler de sentiments, il montre des objets ; au lieu de découvrir un riche passé, il annonce un pauvre avenir ; au lieu de montrer la classe sociale qui aurait été le cœur du film, il s’apitoie sur des privilégiés, au lieu de mémoire, il parle de patrimoine, …
L’HEURE D’ETE est un brouillon de film qui n’a pas su trouver son rythme et son modèle qu’était UN DIMANCHE A LA CAMPAGNE.
L'HEURE D'ETE, par la critique positive
Le Nouvel Observateur
- Pascal Mérigeau
|
|
Wikio : LASTDAYS gagne + 1 000 places au classement
LASTDAYS gagne des places au classement WIKIO.FR
18 586e c'est un bon début pour des articles
qui traitent de la Narcolepsie entre autres.
Merci à vous pour vos visites et abonnements.
TATOUFAUX.COM
Le contenu de cet article est PROUVÉ
Un tour de plus ? C’est la révolution !
L’année a 365 jours, en France comme ailleurs. (Comme rotation et révolution ne tombent pas juste, il reste bien entendu six heures que nous mettons de côté pour faire un jour de plus aux années bissextiles). Le jour étant le temps que met notre planète à faire un tour sur elle-même (rotation), il va de soi qu’elle tourne 365 fois sur elle-même en un an. Questionnez vos proches, ils ne vous diront rien d’autre. C’est simple, c’est clair, c’est lumineux. Et c’est inexact. Pourquoi ?
Parce que nous apprenons le plus souvent les choses par approximation, ce qui dans la plupart des cas est bien suffisant. Ici, l’approximation nous induit en erreur, car la Terre n’accomplit pas sa rotation en 24 heures, mais en 23 heures et 56 minutes environ. C’est écrit dans tous les manuels scolaires de collège. Et c’est cela qui change tout. Que nous importent ces quatre minutes quotidiennes ? Notre vie, heureusement pour elle, est basée sur le soleil, et le soleil repasse au sud toutes les 24 heures ; nous n’avons pas besoin d’en savoir davantage en première approximation.
Mais le temps de rotation terrestre ne se mesure pas au soleil, puisque nous tournons autour de lui et qu’il est donc mobile dans notre ciel, se déplaçant d’un degré par jour environ. On ne mesure pas une vitesse avec un repère mobile, mais avec un repère fixe, cela va de soi. C’est donc grâce aux étoiles que nous connaissons la véritable durée de la rotation terrestre (23 h 56 m 4 s). Or, si l’on divise l’année par cette durée, le résultat est sans conteste 366. Pour dire la chose autrement, une étoile quelconque prise comme repère passe 366 fois au méridien en une année. Le rythme des jours et des nuits nous trompe, la Terre en un an n’accomplit pas 365 tours sur elle-même, mais 366.
Sauf les années bissextiles, où elle en fait 367 !
Le Pinku aime bien les cadeaux et les mangas ;-)
J'ai eu plein de beaux cadeaux pour mon anniv' et parait-il que je n'ai pas fini d'en recevoir parce que des potes de tres loin m'ont prevenu que ca allait arriver!
J'attends j'attends... ce matin j'ai recu encore un cadeau!
Bref je les mets en photos sur mon *Netlog* dans l'album *"evenements"*
Bon aussi je dois avouer qu'en ce moment je suis dans ma periode Air Gear
(et je vais encore passer 10 plombes a expliquer que j'aime pas plus que ca les mangas) et je fais que de mater la comedie musicale parce que... J'adore oh oui j'avoue hein autant prince of
tennis et bleach j'ai eu du mal autant air gear c'est tellement... Kitch que j'm'en passe pas!
YOUPIYA!!
Sont tellement... Gay ^o^
JAAAAAAAA!!Le chiffre : 81 000 000
L’ancien président du groupe Vinci, Antoine Zacharias, a demandé vendredi devant le tribunal de commerce de Nanterre une indemnisation record de 81 millions d’euros à son ancienne entreprise qu’il accuse de l’avoir privé d’une partie de ses stock-options.
Le tribunal rendra sa décision le 31 mai.
M. Zacharias avait assigné Vinci en justice fin janvier 2007 «en chiffrant son préjudice à 81 millions d’euros augmentés des intérêts au taux légal à compter de l’assignation», a rappelé à l’AFP son avocat, Me Georges Terrier.
L’ancien PDG «souhaite faire reconnaître qu’il fut indûment privé de ses fonctions dirigeantes et, de ce fait, privé du droit de percevoir une partie de ses stock-options», a-t-il poursuivi.
Il a dénoncé devant le tribunal «le comportement fautif de Vinci qui a retiré à M. Zacharias les quatre mandats qu’il occupait dans diverses filiales du groupe uniquement afin de lui faire perdre ses stocks-options», selon Me Terrier.
En juin 2006, M. Zacharias quittait ses fonctions de président sous la pression du conseil d’administration de Vinci avec une indemnité s’élevant à 12,9 millions d’euros.
Le conseil d’administration avait confirmé Xavier Huillard à son poste de directeur général contre l’avis de M. Zacharias, qui demandait son départ.
M. Huillard avait en effet publiquement dénoncé le salaire «très élevé» de M. Zacharias, et les stock-options dont il aurait bénéficié depuis plusieurs années, selon lui de 250 millions d’euros.
«Cela commence à être de l’histoire ancienne, la page, au moins à l’intérieur de Vinci, est tournée», a commenté M. Huillard sur LCI. «Antoine Zacharias restera l’homme qui a bâti ce groupe. En revanche, il a de façon indéniable raté sa sortie», a-t-il ajouté.
De son côté, Me Terrier a dit attendre la décision de justice avec «sérénité».
Il a toutefois estimé que le dossier était «affecté par l’environnement médiatique qui touche les patrons actuellement», une allusion à l’UIMM.
Deux de ses anciens dirigeants ont été mis en examen dans l’affaire des retraits suspects d’environ 19 millions d’euros des caisses de la fédération patronale de la métallurgie. Le scandale a rebondi en mars après la révélation des indemnités de départ de son ancien président, Denis Gautier-Sauvagnac, fixées initialement à 1,5 million d’euros.
"Ingrid Betancourt est en danger de mort imminent"
Le président français a lancé, mardi 1er avril,
un appel au chef de la rébellion colombienne des FARC, Manuel Marulanda, pour demander la libération immédiate de l'otage franco-colombienne. Nicolas Sarkozy a confirmé qu'Ingrid Betancourt se trouvait dans un état de santé alarmant. |
T-shirt
Cela sera la découverte d'un pays - une nouvelle fois musulman - dont les échos des voyageurs sont m'ont convaincus d'y aller, ce qui n'est pas le cas du Viet-nam.
Pendant presque 7 semaines, je vais découvrir la Malaisie. Cette année, j'ai pris la décision de ne partir qu'avec un sac pesant au maximum 10 kg. Mes livres sont ce qui pèsent le plus !
Auparavant, je ne mettais rien en soute au départ, mais avec les mesures de sécurité, cela n'est plus possible (lames de rasoir interdites !). Je vais aussi poursuivre la tendance qui fait que je ne ramènerai presque aucun des vêtements, ni chaussures emportées de France.
Si je ne suis pas fan de chaussures comme Carla, pour les tee shirts, c'est différent.
J'en ai rien que mon jogging et autres occupations au moins 40. Pour les autres occasions, je peux en mettre un différent pendant au moins trois mois.
Un long dimanche à la campagne(L'HEURE D'ETE)
La mort du cinéaste Jules Dassin
père de Joe Dassin et mari de Melina Mercouri, est mort à Athènes, à l'âge de 96 ans.
L'Antarctique fond
Un pan de la banquise antarctique, équivalent à près de quatre fois la superficie de la ville de Paris, commence à se désintégrer sous l'effet du réchauffement climatique, indique le Centre national de la neige et de la glace de l'Université du Colorado (NSIDC).
Selon des images satellite, cette désintégration porte déjà sur un pan de glace de 414 km2 faisant partie du plateau Wilkins et a commencé le 28 février par le soudain décrochage d'un iceberg de 25,5 km de long sur 2,4 km de large sur le flanc sud-ouest.
L'été touchant à sa fin dans l'Antarctique, les scientifiques ne prévoient pas davantage de désintégration du plateau Wilkins dans les prochains mois.
Le PINKU est en prison :-(
Enfin, ca devrai etre une bonne nouvelle!
Une collegue de ma mere a une amie dont la fille travaille dans la ville ou je dois faire mon stage! Elle lui a donc demandé si elle pouvait m'emmener tous les matins et elle a accepté!
La jeune demoiselle lui a donné son portable qu'on m'a ensuite filé pour que je puisse prendre contacte ajd'hui midi!
Le truc c que j'ai telephoné plein de fois a midi et ca repondait pas du coup j'ai laissé un message et je rappelerai demain!
J'aurai bien dit de me telephoner dans la journee une fois dispo MAIS voila qu'a midi je recois un coup de fil de ma "patronne".... Oui celle qui m'a pris en stage!
Mes stages sont terminés depuis une semaine mais voila elle m'informe qu'au matin elle n'a pas levé la tete, c'etait trop plein de monde, elle etait debordé et me demande donc de venir bosser l'apres-midi!
Je me prepare et me rend au magasin... Finalement si c'etait bondé le matin, l'apres midi pas un pec! Du coup vers 18h00 je m'en vais!
La elle me tend un billet de 20 euros que je refuse pretextant que je suis venu pour rien puisqu'il n'y avait aucun client mais elle a insisté alors finalement j'ai pris le billet!
Mais c'cool quoi cette semaine j'ai eu le porte monnaie bien rempli!
65 euros de jeux video revendus, 20 euros de petit boulot et 650 euros de paie!
Ca va ya de quoi faire!!
Hehe!
bon d'accord, pour le titre, c'était pour l'audience
Il est un film sur le mouvement, comme la vie, l'amour, la mort, l'éducation, l'ambition, les liens entre les gens, le moteur des gens, la transmission des sentiments et des biens ...
L'inachevé est intrinsèque à ce film, en fait.
Si tu le " fini " il perd tout. Il n'existe plus.