Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LASTDAYS

Semaine mode

27 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

Lire la suite

Malaisie 2oo8 : Dites 33

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bien entendu, cela ne s'est pas derourle comme prevu !

A 18 heures plus que passees, on vient me chercher a l'agence pour m'emmener en moto vu que l'on m'avait oublie ! Je suis maintenant dans un hall qui me, nous permet d'attendre le car proteges de la pluie qui tombe drue. On est une quinzaine.

Le bus VIP arrive. Un beau car rouge a etage. Une nouvelle fois (comme en 2006), il n'est pas complet, cela me permet d'avoir deux sieges. la video de ZOHAN (cette comedie sortira le 27 aout en France) est diffuse. C'est une comedie plaisante.
Pause repas vers 22h30. La lumiere centrale du bus reveille presque tous les passagers. Ce n'est pas encore mon heure. Vers minuit, je decide de trouver une position pour profiter au mieux des 6 heures de trajet restantes. Pas evident mais plus que pour ceux qui sont trop grands.

Vers 6h du matin, nous voici a Surrathani. Changement d'agence en moto. La femme veut me faire croire qu'il faut que j'echange la somme d'une valeur de 300 ringitt malaisien (RM) obligatoire a un taux de 1 RM pour 18 baths. Tout d'abord, c'est faux (aucun montant exige) ; ensuite le taux est de 1 pour 10.6.

Me voici maintenant dans un minibus ou je rencontre un couple de francais, Paul et Laure, medecin et sage-femme. Un classique. Ils voyagent depuis des mois, ne rentrent en France qu'en fevrier 2009. Russie, laponie, Chine, laos ... avant d'enchainer par Bali puis l'Australie et de rentrer par l'Afrique. Leur objectif est de ne pas prendre l'avion. Pari tenu puor l'instant.
Il me confirme que le Viet-nam pour les voyageurs sac-a-dos est generateur de stress tellement ils voient en nous des dollars ambulants et n'ont de cesse de vouloir nous arnaquer sur des prix deja touristiques ! Ils ont ressenti la Chine comme grouillante (la moindre petite ville fait 700 000 habitants), avec le sens du collectif qui prime sur l'individu dans un environnement sale du fait de leur comportement (jeter par terre les dechets, cracher). Les touristes chinois satisfont les commercants qui n'ont pas a s'interesser aux touristes etrangers.

Vers 9h30, arret. Dernier repas thailandais. Au fur et a mesure, des personnes quittent le minibus, d'autres les remplacent dont un couple d'allemand dont le garcon empeste des pieds meme avec du deodorant. Meme les thailandais vont lui faire remarquer !
il va etre 14 heures, le planning est respecte. Nous quittons le van pour le tampon de sortie de la Thailande et nous voici au poste frontiere de la malaisie. En tant que francais pas besoin de visa (90 jours possibles).\

16h30, c'est a mon tour de quitter le minibus et d'echanger mon Voucher contre le billet de Kuala Lumpur. Premiere surprise, le depart est a 22h30. Deuxieme surprise qui suit la premiere : je n'arriverai ni a 20h, ni a 23 heures mais a 3h30 du matin a la gare de Puduraya (prononcez Poudouraya).
Entre temps, j'aurai fait le change a Butterworth (ville de l'attente). Le garcon de l'agence me proposait un taux de 1 euro pour 4.85 RM. En patrouillant pas tres loin, je me rapproche du taux officiel 1 pour 5 (normalement 1 pour 5.03). J'aurais pu echanger des baths mais le taux est de 12.5 baths pour 1 RM, donc avec 250 baths, j'aurais eu 20 RM. Mais comme avec 5 euros on a 250 baths mais aussi 25 RM. Il valait mieux que j'echange des euros (devise forte), pour ceux qui ont suivi.

Durant les heures qui me rapproche du depart du bus, j'en profite pour lire l'histoire de la Malaisie mais en general, je ne m'en rappelle jamais et continue de poursuivre le roman de Truman Capote DE SANG FROID. Prenant. La creation d'une nouvelle forme litteraire (il date de 1966) : le roman de non-fiction (critique a venir).
Le temps s'ecoule. Encore un peu plus d'une heure sauf qu'un car est devant l'agence et que je m'apercois qu'entre ma montre Pooks et l'horloge de l'agence, il y a une heure de decalage (+ 1 heure). Le prepose me dit de prendre le bus que je n'avais pas vu et pour cause, il etait derriere. Ce que je fais, mettant mon sac a dos en soute.

Demain, enfin tout a l'heure, cela cloturera un voyage de 33 heures.
Je l'aurais merite cette capitale.
Lire la suite

Un petit coin de verdure dans cet environnement urbain

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Marmotteland

Lire la suite

Et dire que je ne suis pas la pour le voir :-(

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

Glory to the Filmmaker !

Nouveau Takeshi Kitano, sortie le 16 sur 4 salles
 
 
 
Lire la suite
Lire la suite

dans deux semaines, nouvelle citation au Masque et la Plume

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog

Valse avec Bachir
pour mon courrier sur VALSE AVEC BASHIR

Lire la suite

il sort le 30/7, mais deja vu en Malaisie !

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

Lire la suite

Kate par Mert ALas & Marcus Piggott

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Kate

Lire la suite

La Marmotte est en Malaisie (Tour Peronas)

26 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Marmotteland

Lire la suite

Malaisie 2oo8 : 24 heures

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Dans une heure, je prends le bus. Enfin un des bus qui m'emmene en Malaisie.
Le programme ne s'est pas deroule comme prevu. J'ai du passer au plan B.
Pas evident lorsque l'on ne peut pas communiquer qu'avec quelques mots (bus, Kuala lumpur).

J'ai donc pris le bus qui m'emmene a SAI TAI MAI (station de bus du Sud). J'ai confirmation que de la gare de EKAIMAI on peut aussi le prendre pour retourner sur Kao Sao, au lieu d'attendre le bus rouge numero 2. La difference est que le bus 511 oragne est climatise donc un peu plus cher (13 bath).

Vingt cinq minutes plus tard me voici a la gare. Je demande par trois fois si un bus pour Kuala lumpur existe, on me repond qu'il faut que je prenne le bus 556 qui est en fait en direction de l'aeroport. Ce que je fais. Me voici donc en train de regarder les immeubles dans le sens oppose. Le bus 556 passe par Kao San et arrive au terminal routier de l'aeroport (33 baths), pour aller a l'aeroport, il faut ensuite prendre une navette qui se situe en face de l'arrivee.

Apres renseignements, on me dit qu'il faut que je prenne le bus ... 556.
Je decide de le prendre mais de m'arreter a Kao San.
Je m'apercois qu'a la sortie de l'aeroport a dix pas du bus que j'ai pris (pour 150 baths) le bus 'ordinaire' (pancarte ORDINARY 1) fait le meme trajet pour 23 baths.
A Kao San, je retourne dans la seule agence qui faisait le trajet Bangkok / Kuala Lumpur en bus. Le prix a baisse 1 450 baths (soit presque 30 euros). A ce sujet, l'euro a des hauts de des bas : de 52.20 a 53.09 baths. Par contre, pas possible de trouver des ringitts malaisiennes dans les bureaux de changes ou dans les banques.

Je viens peut-etre de savoir pourquoi je n'ai pas trouver de bus. Je cherchais un direct alors qu'en fait voici mon trajet :
- Bangkok / Surrathani, depart 18h pour arriver vers 6 h du matin. C'est la destination classique vers le Sud, les iles. Je ne serai donc pas le seul blanc. Sur le ticket, il est mentionne VIP. Mais encore faut-il que cela soit un vrai VIP ;
- une heure d'attente pour monter dans un autre bus qui fera Surrathani / Yat Hai. On devrait y etre vers 14h, passer la frontiere, ce qui me fournira l'occasion de faire le change a un taux surement desavantageux (normalement il faut 10.6 baths pour avoir 1 ringitt - sinon ce n'est pas grave, j'ai des dollars americains)
- enfin, bus malaisien pour arriver vers 18 heures, normalement a la gare ou je pense.

Sinon, et bien sinon, je serai dans un pays sans savoir ou je suis et sans monnaie locale, apres un trajet de 24 heures.
A suivre ....

Lire la suite

BATMAN THE DARK KNIGHT

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Films

Le film a été vu au cinéma, en Thaïlande, en version originale non sous-titrée.

Le titre fait référence à celui presque complet de la bande dessinée de Frank Miller (The dark knight returns) basée sur un graphisme et une histoire noire d'ou ressort la personnalité plus que complexe et peut-être égoïste du chevalier noir face a son ennemi le Joker, qui serait une face différente d'une certaine monstruosité.

Des les premières images de gratte-ciels, le décor est planté dans une ville moderne où va se commettre un hold-up avec cette particularité que les voleurs vont tour à tour se faire tuer par leurs complices. Le dernier restant étant le Joker qui laissera une bombe dans la bouche du gardien blessé. 

Il n'était pas aisé de passer derrière les deux premiers épisodes de Tim Burton, même si pour Christopher Nolan, c'est son second épisode après le BATMAN BEGINS (les origines tragiques de Bruce Wayne). Il garde l'esprit du personnage pour plonger le justicier dans des aventures plus éclectiques.

Première constatation et défaut, le film est long presque 2h30 imputables à trop de scènes et trop de personnages. Certes, le scenario écrit par le réalisateur et son frère se tient et suit une logique psychologique mais à force de trop en raconter on se perd.

Il y a le magot des hold-up avec cet homme d'affaires chinois qui sera ensuite enlevé par Batman (mission digne de Mission Impossible), le suspens avec les bateaux, le personnage de Double-Face. Rachel est l'élément amoureux bien que cela soit peu crédible pour le playboy Bruce Wayne comme le montre la scène ou il est accompagné de trois belles femmes, sans compter sa poupée russe (avec une répartie humoristique "Bruce va me tuer", lorsque celle-ci se fait surprendre dans d'autres bras).

Pour ma part, le problème des Batman vient de Bruce Wayne. Jamais, je n’ai jamais réussi à accrocher sur l'interprétation de ce personnage à la différence, par exemple, d'un Tony Starck dans IRON MAN.
Par contre, pour le Joker, Heath Leger - qui décédera peu après le tournage (il jouait dans BROKEBACK MOUNTAIN) – fait une composition saisissante. Il mérité à lui seul la vision du film. Si Jack Nicholson en rajoutait dans le côté exubérant et clownesque, on est dans ce cas face à un clown blanc au maquillage sale, ancré dans une réalité psychiatrique perturbée. Le personnage du Joker apparaît plus calculateur, technique et secret. Un de ses hommes dira qu'il ne sait ou il peut être joint. On peut alors se demander comment il peut recruter des hommes qu'il n'hésite pas à abattre !

On a une autre explication aux origines de ce méchant qui existe plus par l'existence de Batman que par le désir d'argent (scène ou il met le feu a la montagne de billets avec au somment le chinois menotté). Une des scènes de fin avec l'hélicoptère rappelle le Batman 1 tandis que les courses poursuites impressionnantes donnent l’impression qu'un jeu vidéo pourrait être commercialisé, ce qui n’est pas le cas contrairement au HULK.

Ce Batman présente plus d’outils technologiques, d'explosions, de morts sur l’écran dans une histoire plus étoffée mais qui ne me permet pas de le préférer aux réalisations de Tim Burton. Á chacun son siècle.

 

Lire la suite

Un Batman tourmente face a un Joker qu'il sera difficile d'oublier

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

The Dark Knight, Le Chevalier Noir - Heath Ledger

Heath Ledger
Lire la suite

Le plus litteraire et doue de nos cineastes

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

Un conte de Noël - Mathieu Amalric

Mathieu Amalric dans le film de Arnaud DESPLECHIN
Lire la suite

Jusqu'au 6 aout chaque jour des critiques de films

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

The Dark Knight, Le Chevalier Noir

 
Lire la suite

KATE par Mike Figgis

25 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Kate

Lire la suite

Malaisie 2oo8 : Objectif Kuala Lumpur

24 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

C'est au son d'une pluie battante que j'ecris ce dernier billet de Thailande avant de prendre le bus. Avant de vous conter le periple previsible pour arriver dans la capitale malaisienne, je vais vous raconter  mon chemin retour hier soir vers mon hotel.

Je quittais la petite rue de la petite marchande de poissons (sur barbecue - un peu cher sur ses prix tout de meme) pour me diriger vers le pont et passer le carrefour, direction Kao San lorsque devant moi, je remarquais la demarche balancee d'une jeune femme aux mouvements de bras par contre inelegants.
Devant elle, il y avait un homme, a peine la trentaine, lunette, legerement boudine, tete d'informaticien. Comme il etait arrete et lui parlait, je pus voir le visage fin, jeune et frais de la demoiselle ; nos regards se croiserent une seconde, elle avait encore dans les yeux cet espoir qui fait que si elle est nee ici, elle pourra se marier ailleurs.

Alors que je l'avais presque oublie, un homme, la quarantaine vint m'accoster. Il me demanda si je parlais anglais, puis commenca son histoire : il etait gene, on l' avait vole dans un bus. Son argent, ses papiers et sa carte bancaire etaient en cours a son embassade. Il voulait bien entendu que je lui prete de l'argent. Avant qu'il ne put enoncer cela, je pris la rue de Kao San. Il sentait l'alcool.

Kao San la nuit est beaucoup moins frequente mais par contre on vous adresse plus facilement la parole en vous disant : "Go with me". Si la personne vous touche, c'est que c'est un travesti.

Demain, je prends donc un bus de ville direction la gare SAI TAI MAI. Ensuite, il me faudra trouver le guichet pour la gare de Kuala Lumpur. Je pense que je serai le seul blanc car s'il y ades touristes en Thailande, la plus grande majorite passe par des agences et meme ceux qui ne le font pas, peu choisissent ce mode de transport pour aller dans ce pays. Le bus part en fin de journee ce qui me fera arriver le lendemain en .... fin de journee.

Ce n'est pas le moment le plus opportun. Je me souviens en Inde etre arrive ou plutot debarque apres avoir ete reveille dans la ville a 4 heures du matin au lieu de 6 ! J'etais dans une ville que je ne connaissais pas mais surtout, je ne savais pas du tout ou me situer. Un rickshaw, dans ces rues desertes, vint a ma rencontre et m'emmena dans un hotel ou le tenancier verifiait sa reputation d'etre antipathique : il ne voulut me louer la chambre pour la moitie du prix. Grace au rickshaw, je pus trouver une autre adresse.
Une autre fois, toujours en Inde, en 2006, je me suis retrouve le soir, dans la gare de New Delhi ou il y a vraiment du fourmillement, avec un sac de 28 kg. Je savais que je n'etais qu'a 50 metres de la rue principale des hotels mais je ne pus et ne voulut tenter quoi que ce soit.
Le rickshaw qui m'emmena fut heureux. Tellement que le lendemain, en me reconnaissant dans la rue, il me fit monter sur son 'velo' en reconnaissance du prix fort que j'avais paye. C'est l'Inde !

Demain, je serai dans une gare routiere dans laquelle des vols ont eu lieu. Je serai non pas a 50 metres mais a 500 de l'hotel en vue. Mais 500 metres, cela peut etre loin si l'on se trompe de direction et surtout s'il pleut !
Ne reste donc plus qu'une emeute suite a l'accusation de sodomie envers le leader de l'opposition dans ce pays musulman et je ne vais pas regretter le voyage.

Lire la suite

HANCOCK

24 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Films

Mondialisation aidant et produit formaté, Hancock est arrivé en tête du box office français et américain lors de sa sortie presque simultanée.

A partir d'un personnage super-héros (on pense à Superman) qui aurait une tendance à prendre de la bouteille et surtout à la boire, devenant ainsi gaffeur dans ses actions contre le crime ou pour faire le bien, se cache Hancock et ses maladresses. Un homme d'ailleurs bien seul.

C'est le dénominateur commun des personnages cinématographiques de cet été (Batman, HELLBOY et bientôt HULK). Commun et classique pour donner du relief à leurs combats qui se révèlent surtout intérieur.

Hancock est mal rasé, une bouteille a la main, dort sur les bancs publics, passe la main aux fesses des femmes qui passent mais au fond, c'est un bon garçon. D'un côté, c'est normal puisque le rôle est tenu par Will Smith aussi producteur du film. Il y aura donc des poursuites, des effets spéciaux (des le début du film) et la révélation - pas convaincante - de la partie manquante de sa mémoire.

Le film reste plus intéressant dans sa première partie : présentation du personnage décalé, borderline et la rencontre avec le conseiller en communication. Á partir de ce moment, on reprend les cadres classiques et politiquement corrects du film qui se doit de respecter le cahier des charges : bons sentiments, révélation, happy end.  Cela nous rappelle que nous regardons un produit formaté. Au regard des chiffres d'entrées, l'objectif est atteint. Pour ce qui est d'un film qui rappelle un auteur, il faudra attendre le nouveau Guillermo Del Toro et son Hellboy 2.

Lire la suite

En Thaïlande, des éléphants cornaqués de la ville aux champs

24 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Planète

Quiconque passe des vacances en Thaïlande ne peut manquer de voir, la nuit, dans les quartiers chauds de Bangkok, des cornacs conduire leurs éléphants entre bars aux néons criards et files de voitures bloquées dans les embouteillages. Pour ces cornacs venus des provinces, demander aux touristes d’acheter des bananes ou des cannes à sucre pour nourrir leur animal est souvent le seul moyen d’assurer leur propre survie et celle de leur pachyderme.

Mais ce qui peut paraître une simple distraction exotique aux visiteurs de passage dissimule un calvaire pour ces animaux. «Ce n’est pas un environnement naturel pour les éléphants. Ils doivent marcher dans les rues entre huit à dix heures par nuit en respirant l’air pollué. La plupart du temps, ils n’ont pu pas dormir de la journée à cause du bruit. Sans parler des fréquents accidents avec des voitures», explique John Roberts, un Britannique de 34 ans qui supervise deux camps d’éléphants domestiques dans la province de Chiang Rai, dans le nord de la Thaïlande.

En 2004, John Roberts prend un verre avec un ami dans le centre de Bangkok lorsqu’il voit un cornac accoster les touristes avec un éléphanteau. Il décide d’intervenir et prend le numéro de téléphone du cornac. «Je l’ai appelé pendant trois mois pour le convaincre de nous rejoindre avec sa famille et son éléphant. Après beaucoup de réticences, il a finalement accepté», dit-il. Un an après, John Roberts crée la Fondation des éléphants asiatiques du Triangle d’or. L’idée est de «louer» les éléphants, c’est-à-dire de fournir un salaire de base, une assurance santé et de la nourriture aux cornacs qui acceptent de vivre avec leurs éléphants dans l’un des deux camps. «Nous ne pouvons pas leur offrir autant d’argent que ce qu’ils gagnent dans la rue, mais les cornacs peuvent vivre dans un environnement villageois agréable et leurs éléphants peuvent parcourir la jungle aux alentours», dit John Roberts.

Les camps sont situés près de deux hôtels, l’Anantara Golden Triangle Resort et le Four Seasons Tented Camp qui financent la fondation par un prélèvement d’un dollar (0,62 euro) par client et par nuit. Certains des clients font des donations, voire parrainent un des éléphants. Trois ans après sa création, la fondation a sauvé trente éléphants des rues de Bangkok, parmi lesquels onze éléphanteaux.


http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/339698.FR.php
Lire la suite

La petite Princesse Ann aime le Petit Prince

24 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog

Mercredi 16 juillet 2008
Il y a quelques jours, juste avant leur départ pour je ne sais plus quel pays... bali? Non là, c'était direction la Thailande,mais la Thailande c'était juste une escale, c'est ça? Bon bref , juste avant leur départ pour un pays où il y a un décalage horaire, j'ai eu la chance de voir Kitano et sa marmotte.

Ils avaient des cadeaux pour moi, une photo de la marmotte et moi prise lors de leur dernier passage à Paris en février, ou mars? Bon on va dire lors de leur dernier voyage à Paris, enfin non, l'avant dernier , parce que le dernier je devais les voir mais j'ai pas pu.

Donc, ils avaient des cadeaux pour moi, un délicieux gâteaux de valence mais je ne peux pas vous le montrer parce que c'était bon et je l'ai dévoré...  Et une très jolie assiette du petit prince que voila.


Et il y avait aussi un télérama car à la rentrée, il y a la bande dessinée du petit prince qui sort et Kitano m'avait apporté télérama car pendant l'été on peut y trouver la fameuse bande déssinée en pièce détachée.

D'ailleurs faut que je vous pose une question.
J'ai remarqué que les lecteurs de télérama ne regardaient pas la télé parce qu'il n'en avait pas.
Lisez vous télérama et si oui, avez vous la télé?


Ce matin, le facteur m'a apporté une jolie enveloppe carrée et colorée ( donc synonyme de bonne nouvelle ) .Malheureusement avec la jolie enveloppe carrée, il y avait 5 enveloppes rectangulaires avec des fenêtres ( synonyme de mauvaises nouvelles ).

Bref, j'ouvre que la belle enveloppe , et c'est avec joie que je découvre ce joli porte clef du petit Prince qui venait tout droit du blog de Bonobo et de sa charmante épouse.

J'étais très contente qu'ils pensent encore à moi depuis tout ce temps.

Merci beaucoup! ça m'a fait super plaisir.
Lire la suite

Kate est sexy!

24 Juillet 2008 , Rédigé par Kitano

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>