Sur LARMES.OVER-BLOG.COM
AIDEZ FABRICE !
Fabrice est un petit garçon de 6 ans atteint d'une maladie rare, la leucodystrophie...
Aujourd'hui, il existe une lueur d'espoir pour ce petit garçon et sa famille, de nouveaux essais clinique sont en cours...
MAIS APPAREMMENT, CETTE CHANCE LUI EST POUR L'INSTANT REFUSE SOUS PRETEXTE QU'IL SERAIT TROP VIEUX DE 4 MOIS !!!
Son père à lancé une pétition, je vous serais reconnaissant de prendre 2 minutes de votre temps pour cliquer sur le lien ci-dessous afin de signer cette pétition... Parlez-en, mettez un article sur votre blog, contactez vos ami(e)s, etc... AIDEZ NE COUTE RIEN !
Merci du fond du coeur à tous et à toutes... Peter Pan...
Ours et marmottes se réveillent à l'avance en Suisse
Endormies en octobre, les marmottes du zoo des Marécottes ont quitté leur tanière début mars, a indiqué Marylène Meyer, directrice du zoo.
Les ours, qui sont des semi-hibernants, ont aussi dormi moins longtemps: les quatre ours mâles du parc zoologique se sont endormis en décembre pour se réveiller début janvier. La femelle portante a fermé les yeux à la même période, a mis bas début janvier et a continué de dormir jusque début février. Ses petits, qui pesaient 300 grammes à la naissance, se sont débrouillés pour téter leur mère endormie.
La mue de certains animaux a aussi été bouleversée par la douceur des températures. Ils ont perdu leurs poils d'hiver dès février et se sont trouvés à découvert lorsque les températures ont de nouveau baissé fin mars, a souligné Mme Meyer.
Durant l'hibernation, les animaux ralentissent leur métabolisme jusqu'à des niveaux très bas. La température de leurs corps et la respiration s'abaissent graduellement. Ces animaux utilisent leurs réserves de graisse, stockées pendant la belle saison.
Parmi les animaux hibernants figurent notamment les marmottes, les loirs, les lérots, les hérissons, les grenouilles, les lézards, ainsi que certains hamsters, souris, poissons et chauve-souris.
RAW
Car ce jour, restera dans ma mémoire de fan de catch : les catcheurs de la WWE font une tournée européenne et cette fois, depuis très, très longtemps, s'arrêtent à Paris.
En 2003, j'avais pu les voir à Bangkok, je m'en souviens encore. Il y avait des télévisions, c'était un vrai événement.
Le fait que les catcheurs américains pour la plupart ne soient pas venus avant, vient tout simplement du président de la WWE : Vince Mac Mahon. Celui-ci est un patriote mais surtout un républicain.
A chaque WRESTLEMANIA, la chanson 'America the beautiful' est chantée, le jour des soldats est fêtée, une minute de silence est respectée tous les 11 septembre, une tournée est faite chaque année dans un pays où se trouve engagée l'armée américaine.
Donc, lorsque notre (futur ex-)Président déclara ne pas vouloir envoyer de troupes en Irak, cela a fortement assombri l'image de la France. Fortement. Il y eut même un catcheur (québecqois) qui se faisait passer pour un français et qui devenait ainsi, aussi détesté que les vrais 'méchants' !
Mais tout cela est oublié ... Les temps qui changent.
Vers 20h, je serai dans les gradins car j'ai appris trop tard la venue de la tournée RAW. Cela ne sera pas le cas avec l'autre tournée en septembre avec SMACKDOWN. J'ai une place dans le carré gold. Quand on aime, .......
Car si vous regardez la définition de ce blog dans sa présentation, vous trouverez ce qui a été une des raisons de la création de LASTDAYS.
TAKESHIS'
L’an dernier, mon long voyage en Asie m’a fait regretter 3 films : VOLVER, TAKESHIS’ et MARIE ANTOINETTE. Pour le premier, le festival TELERAMA en février me permit de combler ce manque, pour le deuxième c’est ma venue à Paris et presque le hasard d’atterrir dans la seule salle de France, pour la seule séance de la semaine. Dans les deux cas, mon intuition ne me trompait pas !
TAKESHIS’ est le film le plus intime de Takeshi Kitano sous des aspects délirants avec les tourments de l’artiste. D’emblée une correspondance avec le dernier film de David Lynch, couplée avec l’exposition ‘The air is on fire’ (toujours visible à la fondation Cartier jusqu’à fin mai) me vient à l’esprit : les deux réalisateurs ont leur monde, leur esthétique, leurs dessins, leur structure de scénario, certes déstructurée chez Lynch mais peu écrite chez Kitano. Tandis que l’américain tourne en rond, arrive aux limites de son procédé, le japonais étale ses affres dans la création, de sa vie dans un univers limite schizophrène et toujours désespéré.
Au début, Takeshi Kitano joue un acteur pour ensuite jouer son propre personnage qui va croiser un sosie (joué par Kitano) qui veut être acteur. Les deux vies vont s’emmêler sans trop se croiser, histoire de faire remonter à la surface le passé d’un Beat Takeshi, star de la télévision japonaise dans son rôle de clown. Car depuis le début, il y a dédoublement sinon de la personnalité du moins de nom chez Kitano : Beat Takeshi en tant qu’amuseur, Takeshi Kitano pour le réalisateur.
Tous ses thèmes vont être revus : les yakuzas (Aniki mon frère), le gun fight, la violence (violent cop), l’humour (l’été de kikujiro), la personne faible (caractère de Zatoichi), le comique à répétition, la volonté de devenir acteur (Kids return). Pourtant, deux nouveautés : le rôle d’une femme qui au début s’attaque à Kitano (pour une question de dettes) et ensuite de manière cruelle à Beat Takeshi ; ensuite, 4 scènes où l’on voit la poitrine d’une jeune femme (la copine du voisin qui nargue Beat Takeshi) avec pour la moitié d’entre elles, un parallèle avec les mouvements que faits le dj avec la platine et le disque.
Au départ, on est étonné car on aurait pu s’attendre à d’autres virages, d’autres histoires. En filigrane apparaît une personne qui se cherche, recherche une identité, un rôle (Takeshi Kitano est acteur dans ses films mais aussi pour les autres) et aussi un sens dans la vie. Le côté esthétique apparaît dès la première scène (qui sera aussi la conclusion) dans cette reconstitution de film de guerre, dans ses bouquets de fleurs avec une chenille colorée, avec cette virée en taxi qui s’apparente à un rêve plus qu’à un cauchemar avec les personnages croisés dans d’autres scènes (les jumeaux et le bar à pâtes). Au moment où l’on pense que l’auteur souffre et que c’est la fin, nous voici reparti vers une mise en abîme avec de la musique techno, un côté nihiliste que montrera la dernière image rouge, rappelant en cela Hana-bi.
Espérons que ce film ait pu permettre à Takeshi Kitano d’exorciser ses démons de personnalité. Sur l’écran, c’est un plaisir pour le fan, pour celui qui suit cette filmographie toujours esthétique mais aussi moralisante. Derrière les coups de feu de l’acteur, la vie vide de Beat Takeshi vendeur dans une supérette espérant un rôle, se cache sûrement des douleurs, des envies. Aux dernières nouvelles, Takeshi Kitano aurait tourné un nouveau film et serait acteur chez Takashi Miike connu pour des scènes violentes dans ses films.
TAKESHIS’ peut s’apparenter au FIRE WALK WITH ME de David Lynch, il s’adresse d’abord aux fans, mais contrairement à Lynch, le procédé ne se suffit pas à lui-même. Derrière le réalisateur qui m’a le plus marqué, se cache un homme qui doute, qui a des failles et qui s’interroge sur lui-même. Cela en fait une personnalité, encore plus grande et touchante, vers un point que l’on pouvait douter. Aller(z) voir un film de Takeshi Kitano est désormais une expérience émouvante.
Un crime imprescriptible
C'est le début d'un génocide, le premier du XXe siècle.
Il va faire environ 1,2 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc.
Au total disparaissent pendant l'été 1915 les deux tiers de la population arménienne sous souveraineté ottomane.
A la veille d'envahir la Pologne, on aurait dit à Hitler 'mais que vont dire les autres nations ?' et il répondit : 'Qui se souvient de l'Arménie'.
12 $ pour un enfant indien
«Les enfants sont vendus de la même manière que des buffles, tandis qu’un buffle peut coûter jusqu’à 15,000 roupies (350$), les enfants sont vendus entre 500 et 2,000 roupies (12$ et 45$)», explique Bhuvan Ribhu du mouvement Save the Childhood.
Deux frères de l'Etat indien du Bihar viennent d’être vendu récemment par leur parents pour la somme de 6$ chacun dans un autre Etat avec la connivence de la police.