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LASTDAYS

Retour sur BALI IV

16 Juillet 2010 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Derniere soiree sur AMED. J'enteds le son des vagues. Le matin, j'ai peut etre eu une bonne idee de louer palmes et masque mais moins peut etre, d'aller nager pour la premiere fois vers 10h. J'ai eu un coup de chaud sur la plage. Limite insolation. Dans ces cas, cela m'etait arrive lors de Bali 2, c'est un cachet d'aspirine, une douche et je reste allonge. J'en ai profite pour finir le livre de J> LITTELL (critique a la rentree).

L'interet de la plage de Jemeluk est de se croire dans un aquarium geant a quelques brasses du bord. la concentration n'est pas forte mais il y a de nombreuses varietes de poissons. Mes preferes sont les petits de couleur bleu mettalise, il y a aussiles possons jaunes avec une tache noire e forme de demi-lune sans oublier les poissons fluos.
En voyant un ban de poissons avec la gueule ouverte, j'ai cru a des piranhas. Mais, je ne l'avais pas lu, ce qui m'a rassure. J'ai vu d'etranges poissons : des rectangulaires, des avec des points blancs, un avec des yeux fluos, un d'au moins 60 cm. J'allais oulier les rayes jaune et bleu.

Une fois, a Kho Phi Phi (Thailande), lors de mon premier snorkling sur cette ile, j'avais garde a la main de la mie de pain et c'est quelques puis ensuite une dizaine de poissons qui sont venus me picorer la main. A tel point que j'ai du ouvrir ma main, il y avait une centaine de poissons ! Ici, pas de mie de pain. Il ne restait par contre du poisson du soir, que l'epine dorsale car un chat m'a fait comprendre qu'il en aimerait un bout. je lui ai donne la tete, qui l'a prise dans sa gueule avant de partir. 

Partir. j'ai croise le conducteur du bemo (camionnette avec une dizaine de places) en repoussant l'heure de depart vers 7h. Cela me permettra de dejeuner en paix. Ce soir, le warung etant encore ferme le soir, j'ai decide de manger dans la rue : un soto ayam, un gado gado. Mais le prix est celui pour touriste, pas celui des indonesiens. Certes 2 000 rp pour un gado, c'est donne mais c'est le double des locaux, et des 'blancs' qui mangent dans ces 'cantines' ; il y en a peu sur une annee. Toujours a sourire mais toujours a vous voir avec des dollars ou euros dans notre cas.
Ce qui m'enerve, c'est qu'ils pensent que je ne sais pas cela. J'ai teste sur un produit dont j'avais vu paye un indonesien. Ils refusent de vendre. 

En passant hier avec la Marmotte pour une seance photo (maintenant l'odeur est acceptable), j'ai cru tomber sur une future construction de complexe. Cote plage, j'ai eu l'explication : cet empilement de longuies planches etaient en fait des palmiers coupes en deux et evides pour l'exploitation du sel. La ville (ou plutot les villages) est connu pour cela. 
Un indonesien charge deux cylindres d'au moins 10 litres et le verse dans une sorte de filtre geant ou alors les verse dans les troncs. Ensuite le vent fait le travail, reste encore a filtrer (un tronc sur deux) et a recolter. J'ai achete un petit sachet de ce sel grisatre, passe directement de l'etat liquide a l'etat solide sans aucune adjonction si ce n'est de quelques copeaux. Seul fait genant, les enfants essayent de le vendre sur la plage, au lieu d'aller a l'ecole. 
Pas de crainte que je leur en achete. Sel en indonesien se dit garam.

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