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LASTDAYS

les Inrocks ont reagi avec retard sur le depart de Bernard Lenoir

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Hier, rien sur le site des Inrocks et pourtant, les fondateurs du magazine (qui certes a change de proprietaire), l'ont fait avec l'emission feedback devant le vide qui existait a l'epoque. A l'epoque, il n'y avait que ROCK & Folk et BEST, avec pourle premier nombre de couvertures fin des annees 70 pour les Stones !

 

 

La nouvelle était dans l'air depuis quelques semaines, elle a été confirmée hier par le principal intéressé : Bernard Lenoir quitte France Inter. Définitivement.

C'était Lenoir et, pour beaucoup, les soirées n'auront plus la même couleur : Bernard Lenoir, après des semaines de flottements, de rumeurs et de pétitions, a décidé de quitter France Inter. Pour de bon cette fois.

Le triste événement s'est déroulé en deux temps. Au creux de l'été, mais pas sous le regard de milliers de fans aux aguets, qui se sont immédiatement lancé dans une intense campagne de lobbying sur les réseaux sociaux, la direction de France Inter décidait de mettre un terme aux Black Sessions"(mauvaise) nouvelle : Il n'y aura pas de Black Session #331. Merci à vous d'avoir été fidèles à ces 19 années de découvertes live" était-il ainsi twitté le 9 août : après près de deux décennies de très beaux et très loyaux services, ces concerts radiophoniques primordiaux, sans lesquels l'audience de dizaines de groupes ne serait sans doute pas, en France, ce qu'elle est aujourd'hui, étaient rayés de l'avenir.

Ce n'était que le premier acte d'une nouvelle qui laisse des dizaines de milliers d'orphelins, et plus encore de vieilles cassettes audios chéries comme autant de trésors. Car France Inter prenait dans le même temps la décision de décaler C'est Lenoir de 22h à 23h : si l'émission n'a jamais été mise en danger par la direction, ce décalage à des heures trop tardives a fini par avoir la peau du courage et de la ténacité de Lenoir, dont la décision semblait déjà prise avant l'été, et de sa fidèle collaboratrice Michelle Soullier."Entre musique pas comme les autres et vie au grand air, j'ai enfin choisi. See U in Biarritz. Caresse et bise à l'oeil" a twitté l'animateur hier, en forme d'au revoir. Bon vent à lui, et d'infinis mercis : comme beaucoup, nous ne serions peut-être pas là sans lui.

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Le pire film de l’histoire du cinéma se plante au box-office

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Sale week-end pour les films au box-office U.S : Conan le Barbare de Marcus Nispel a difficilement atteint les 11 millions de dollars (provoquant des polémiques en cascade, procès et désaveu des auteurs) ; Colin Farrell en vampire dans Fright Night n’a même pas franchi la barre des 10 millions ; et le dernier volet de Spy Kids de Robert Rodriguez réalise parmi les plus mauvais scores de la franchise. Mais tous ces accidents industriels ne représentent rien en comparaison du plus grand flop de l’histoire du cinéma, recensé le même week-end : le bien nommé The Worst Movie Ever !

Sorti vendredi 19 août dans une seule salle à Los Angeles, le dernier long métrage du réalisateur-producteur-acteur Glenn Berggoetz a enregistré un total de recettes cumulées de 11 dollars en deux séances de midgnight selon le site Mojo –soit une spectatrice, apparemment très fière. Il prend donc logiquement la dernière place (historique) du box-office de la semaine (derrière Road To Nowhere du malheureux Monte Hellman), et réalise le pire démarrage de tous les temps, commenté avec lucidité par le réalisateur :

"Je viens juste de recevoir les chiffres du box-office de Los Angeles – ugh."

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les stats du blog : la barre des 600 visites atteintes ! (+50%)

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog

Bernard Lenoir © Radio France - 2011 / Christophe Abramowitz

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Vintage Kate Moss

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Kate

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Kurt Cobain, l'ultime icône du rock

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

 

Crédits photo:  DR

Un passage éclair sur terre, une image pure et dure et une fragilité troublante : Kurt Cobain, dernière rock star, irréductible à toutes les tentatives de récupération. Article extrait du hors-série des Inrocks consacré à Nirvana pour les 20 ans de "Nevermind", en kiosque dès aujourd'hui.

Les imitations, c’est sympa, ça plaît aux gens. En 2009, pendant la cérémonie télévisée des Victoires de la musique, le sympathique chanteur de variété-rock Damien Saez arrive sur la scène en jean déchiré et chemise à carreaux ouverte sur un T-shirt noir, le cheveu et la barbe en friche. Au moment où il empoigne sa guitare folk et s’assoit sur une vieille chaise en bois, ça y est, on a compris : il est trop ouf ce Damien Saez, il s’est déguisé en Kurt Cobain, il va nous faire une imitation. Poisson d’avril. Un 28 février. Peut-être en hommage à ce 5 avril 1994, quand le vrai Cobain, malheureux comme un chien perdu, se tirait une balle dans la tête – selon la légende.

Qu’est-ce qu’une rock star ?

Car avec Kurt Cobain, on est encore en plein dans la légende, comme si on avait marché dedans. La balle qui est entrée dans sa tête ne s’est pas arrêtée. Elle est allée se ficher dans la grande horloge de l’histoire des icônes du rock, dont elle a bloqué les aiguilles. Qu’est-ce qu’une rock star ? Un loser qui a réussi, un winner malgré lui. Ou un sportif qui a mal tourné. Un gars qui peut sauter plus haut que les autres, faire des moulinets hyper-rapides avec son bras, encaisser les substances dopantes.

La différence entre un sportif et une rock star, c’est que la seconde ne s’arrête pas après la ligne d’arrivée. Une icône du rock, c’est encore autre chose. Un artiste dont le visage finit par être plus connu que les chansons, dont les traits légendaires et éternellement juvéniles sont imprimés sur des T-shirts et des posters pour la postérité (ou à perpétuité ?), tel le saint suaire du Christ ; dont le nom est inscrit au marqueur sur les sacs d’école d’adolescents qui n’étaient même pas nés quand l’icône est morte ; dont les chansons sont devenues des reprises ; dont l’histoire inspire des cinéastes et des écrivains ; dont les reliques font la fortune des marchands du temple.

Des preuves ? D’abord, Kurt Cobain est membre du très sélect, troublant et maudit Club des 27, cette assemblée posthume des musiciens morts à 27 ans (qui compte en ses rangs Brian Jones, Robert Johnson, Jimi Hendrix, Janis Joplin, Jim Morrison, D. Boon des Minutemen, Chris Bell de Big Star, Gary Thain d’Uriah Heep, Alan Wilson de Canned Heat, Pete de Freitas d’Echo & the Bunnymen, Pigpen du Grateful Dead, Kristen Pfaff de Hole, Jeremy Ward de The Mars Volta, Amy Winehouse et quelques autres).

Qui d’autre, sinon Cobain ? Peter Doherty est déjà trop vieux – il a plus de 30 ans, même si on lui en donnera toujours 14. Alors que Doherty ressemblera sans doute toute sa vie à un enfant déguisé en adulte, Kurt Cobain était plutôt un adulte coincé à jamais dans l’aliénation et le jusqu’au-boutisme de l’adolescence (et ça fait mal). Lux Interior, chanteur des Cramps décédé en 2009, ne peut prétendre au statut d’icône au sens religieux : il n’était pas une image pieuse, plutôt une photo cochonne qu’on se montre sous le manteau. Et puis, de ceux-là, aucun n’a la beauté de Kurt Cobain, ce regard honnête et clair, brûlant d’une intense et vertigineuse vacuité sous un casque de chevalier blond.

Christ électrique

Ce qui fait de Kurt Cobain l’ultime icône du rock, c’est certes le grand cirque morbide et commercial qui a suivi et entouré sa décadence et sa mort. Kurt Cobain maudit martyr, Christ électrique, autodétruit sur l’autel de sa légende, ce genre de sornettes romantico-destroy. Mais ce qui rend l’icône inoxydable, c’est surtout la relation intime qu’ont entretenue les fans avec la musique de Nirvana – un groupe dont le nom transcendantal, déjà, invitait à l’adulation.

Pour une génération, née dans les années 70, l’ascension de Nirvana fut la dernière occasion de vivre en direct, de plein fouet, une certaine idée du rock, pur et dur, extrême, dangereux, irrécupérable, fatalement tragique. Un tsunami de poix qui a à peu près tout balayé sur son passage, les missionnaires du rock indépendant comme les notables installés du rock de stade – Nirvana se trouvant étrangement pile entre les deux, dans une position finalement inconfortable.

Pur et dur

La musique de Nirvana fut une forme de blues originel supersonique, essentielle et douloureuse, qui rend tout le reste insipide. Nirvana a fait exploser les barrières entre l’underground et le mainstream, entre le songwriting et le rock bruitiste, entre l’intime et le général, entre la rock star et le public. Le talent naturel de Nirvana, et de Cobain en particulier, c’est d’avoir sauvé le rock sans changer de vêtements, sans enfiler de criarde panoplie de rock star, avec toujours plus de fond que d’attitude.

Dix-sept ans après la mort de Kurt Cobain, une nouvelle cloison, en papier glacé, est apparue entre le rock et son public. Feuilletons n’importe quel magazine de mode : on croise plus de musiciens de rock dans les pubs et les pages style qu’à la rubrique musique. La trajectoire d’Iggy Pop est emblématique : d’icône absolue de l’extrémisme rock, le leader des Stooges est devenu cette sympathique caricature jeuniste de lui-même, agitant son corps de vieil Iguane sexy et parcheminé dans des spots publicitaires. On comprend ses motivations, on compatit, mais on se dit aussi qu’on n’a jamais vu Neil Young faire de la pub. Et que si Kurt Cobain avait vécu, il aurait sans doute suivi la voie du Loner, sans retourner sa chemise à carreaux.

Pas le temps de foutre la honte à sa légende

C’est assurément contrariant pour ses projets d’avenir, mais il faut reconnaître ça à Kurt Cobain : il n’a pas eu l’occasion (ou le temps) de foutre la honte à sa propre légende. Depuis le crash de Nirvana, le rock est devenu un média plutôt qu’une fin en soi. Kurt Cobain, ce n’était pas la télé-réalité, c’était la réalité, le besoin d’amour, la confusion, la désillusion, l’épuisement, la mort au bout.

Après la farouche parenthèse Kurt Cobain, le rock s’est transformé en accessoire de mode et ses musiciens cotés en portemanteaux, caution glamour d’une industrie. Tous les fans de rock n’ayant pas les moyens (ou l’envie) de s’habiller en petit costume de créateur, l’identification est rendue plus difficile. Si Kurt Cobain est devenu une icône du rock, ce n’est pas pour la virtuosité de son jeu de guitare, ni pour sa vie de junkie borderline. Le cauchemar doré de sa vie a pu nous faire rêver.

Mais finalement moins que sa normalité, son humanité, ses émotions, ses défauts, ses faiblesses, sa faillite, sa gueule de bois. Il ne ressemble à personne dans l’histoire des icônes de la musique, parce que personne n’a autant ressemblé à un mec normal, embarqué et broyé dans sa propre histoire. Héros du peuple, revanche des gueux, à des années-lumière des poses, de l’esprit de caste et des plans marketing qui amochissent le monde du rock aujourd’hui.

Sa vie et sa musique semblaient tenir en une question, celle qui taraude tous les adolescents du monde : comment se libérer, comment trouver sa place, comment être soi quand tout le monde vous regarde ? Kurt Cobain n’a sans doute pas trouvé la meilleure réponse. Mais son passage fulgurant sur terre reste une sorte d’exemple tordu, de leçon à ne pas apprendre par coeur, pour tous ceux qui se demandent si ça vaut vraiment le coup d’essayer de changer le monde, ou même seulement de chemise.

Stéphane Deschamps

http://www.lesinrocks.com/uploads/tx_inrocksttnews/couv_hs.jpg

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Infinie tristesse de ne plus entendre Bernard (1980 / 2011, pour Moi)

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano

"C'est une décision très difficile à prendre", a-t-il également souligné, insistant: "c'est douloureux. J'ai des milliers de mails qui arrivent, ça me remue."

Bernard Lenoir © Radio France - 2011 / Christophe Abramowitz


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Caresse et larme à l'oeil : LENOIR QUITTE FRANCE INTER

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog


le 26 août

"Cela fait deux trois ans que cela me trottait dans la tête", a expliqué Bernard Lenoir à l'AFP."J'habite Biarritz et je passe ma vie à faire des allers-retours sur Paris, c'est usant". Et puis l'émission, cela fait plus de vingt ans que ça dure. Il vaut mieux arrêter quand on existe encore plutôt que de laisser les choses mourir à petit feu".

"Il n'y a pas d'ambigüité", a-t-il insisté. "C'est moi qui décide de partir, point barre. France Inter et Jean-Luc Hees (président de Radio France) ont été impeccables avec moi".

 

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la Marmotte se fait toujours des amis

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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BALI 6 : POSITIVE VIBRATIONS

27 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Résumé : les vacances se poursuivent avec ce sentiment de sérénité.

 

      Cela vient et surtout s'en va a l'hotel Komala 2. Après Victor, c'est maintenant Felix qui nous quitte. Retour vers l'Allemagne. Hier soir, je passais direction mon hôtel et il m'a interpelle car je ne l'avais pas vu ! Ici, il a son micro et commençait a travailler quelques heures par jour. Je ne lui ai pas demande son métier. Son copain Johnny est aussi très sympathique. Ils sont en compagnie de deux filles, une française qui montre la photo de sa fille, une pettie métis. A moins que cela ne soit une photo qu'elle a prise sur son portable. Louna, la Suisse que j'avais déjà remarque lors d'un petit déjeuner est physiquement avec nous mais pas son esprit. Sûrement un omelette aux champignons !

 

Avant que Felix ne parte, j'ai demande une séance photo avec la Marmotte. Jamais, je n'aurais pris la Marmotte avec tant de personnes. Les photos sont belles et on peut y ressentir l'énergie positive (publication le 1er septembre). J'ai de quoi tout refaire la deco de mes toilettes qui sont illustrées par des photos de la Marmotte durant mes précédents voyages. Sauf celui de l'Inde de l'an dernier car j'ai traîné. Demain, je fais donc faire les photos format carte postale. Il en coûte 3 750 roupies soit 1/3 d'euro, pour le petit format c'est deux fois moins cher. J'avais même vu en sortant du Komala 2, en 2009, que des agrandissements de un mètre étaient possible. mais il faut que la photo soit parfaite et la définition aussi. Je ne ferai pas car il faut avoir une grande pièce et on risque de se lasser, même d'une très belle photo.

 

Avant la séance photo, j'ai croise un jeune couple français. Oui, car le Komala est un repère de français. mais eux, ils l'ont trouve par hasard car il voyage sans guide pour deux semaines. Du classique, ils ont voyage en Australie et y retourne pour travailler donc ce sont pour eux des vacances. Ils s'excuseraient presque d'avoir pris un tour de Bali, a certes 55 $ par personne, pour visiter temples et lieux avec spa et dîner a Jinbaran. Le gars a eu un BTS assistant de direction et il a pense que ce n'était pas pour lui. Après quelques boulots comme serveurs ou il gagnait bien sa vie (2 500 euros, si cela vous fait envie), ils ont décide de partir. Ce sont des jeunes gens sains.

 

Tony l'aide de Azarli mon marchand de maiis me surnomme encore DRACULA depuis que je suis sorti de la plage avec une creme qui me donnait un teint blafard, moi qui est bien bronze sans le chercher. Azarli me demande la photo que je lui ai promis. C'est le deuxième jour, mais j'ai encore oublie d'y aller ! Il me parle en indonésien et bien sur je ne comprends rien de ces mots mais je peux tout de même traduire avec ses gestes : si demain Tu n'as pas la photo je te tranche la gorge ! Il veut aussi me présenter des filles. La aussi, je ne comprends rien de ce qu'il me dit mais il me semble qu'il voudrait que je rencontre des balinaises !


Maintenant, a la sortie de la plage, juste avant mon maiis, je prends mon Bakso (bouillon de poulet avec boulettes de viande et nouilles dans un bol), car je ressors avec une certaine faim. Une heure vingt dans l'eau dont une petite partie a faire respecter la zone des nageurs. Cela dépend des Lifeguard mais il y en a un qui fait strictement respecter notre zone. Il est venu me parler lorsque j'etais dans l'eau. Il se souviens du moi, celui qui a été secouru par son copain !

Jamais je ne l'oublierai. 

Il me donne des conseils sur les vagues : lorsqu'une vague, une grosse vague arrive, plonger vers le sol, au plus pres pour repérer le courant ; si je suis pris, ne pas aller tout droit mais se laisser emmener dans un endroit ou je serais 'safe" ou tout du moins je ne serais pas aussi fatigue qu'en voulant faire la ligne droite pour atteindre la plage. J'ai teste, cela ne fonctionne pas du tout ! Il me montre aussi la technique pour prendre les vagues avec un bras tendu et l'autre qui fais les mouvements, cela est pratique lors de fortes vagues qui destabilisent.

 

En prenant mon mango juice, j'ai rencontre le trio de francais, deux freres et un cousin qui vont partir eux aussi travailler en Australie. je leur dis que ce qu'ils font n'est pas si classique que cela et me repondent qu'ils y ont ete habitues en France. Ils vont dans ce pays pour faire des economies avant leur retour en France. En commandant mon mango, je dis a la jeune vendeuse, celle qui me taquine : "mie goreng" et elle reste surprise (mie goreng : ce sont des pates frits) ! Elle, est est toujours de bonne humeur malgre les longues heures. J'ai croise la femme de la rue qui a change de jupe pour une robe orange. Je prefere garder le mystere de ce qu'elle vit.

 

Maintenant, l'ecureuil en cage me reconnait, depuis des jours, je lui donne des noix et il aime vraiment cela. J'en profite tout de meme en lui donnant la noix avant qu'il ne me l'enleve avec ses dents avec une certaine force  pour lui caresser le ventre, c'est tres doux, vraiment tres doux ! 


Demain seance photo avec mon marchand de noix de coco, 7 ans que j'attends cela ! Auparavant je serais passe chez le coiffeur, le meme qu'en 2009 (sur la route de l'aeroport, apres la Poste Office), pour un prix defiant toute concurrence : 15 000 roupies (soit 1 euro vingt). L'euro qui ne fait que d'augementer (12 290 au plus haut). Le travail est bien fait : tondeuse puis deux ciseaux puis rasoir. Du bon travail !

 

Avant de m'endormir, je croise Johnny qui me dit que Felix doit etre a cette heure a Singapour, il me dit qu'il n'a pas pleure car c'est un homme ! A Bali, la seule tristesse que l'on peut avoir, c'est lors du depart, tout le reste n'est que vibrations positives.

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le bar branche THE STONES et son palmier

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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Victor, surfeur de 71 ans !

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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Cinema box office Etats-Unis : Harry Potter aussi rempo(r)te tout

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano

Titre Sem. Recettes Cumul Distributeur
1. La Couleur des sentiments 2 $20,018,659 $71,340,829 Buena Vista Pictures
2. La Planète des singes : les origines 3 $16,119,502 $133,583,862 20th Century Fox
3. Spy Kids 4: All the Time in the World 1 $11,644,672 $11,644,672 The Weinstein Company
4. Conan 1 $10,021,215 $10,021,215
5. Les Schtroumpfs 4 $7,802,377 $117,546,882 Sony/Columbia
6. Fright Night 1 $7,714,388 $8,114,388 Buena Vista Pictures
7. Destination Finale 5 2 $7,703,466 $32,326,686 Warner Bros.
8. 30 minutes maximum 2 $6,402,602 $25,864,430 Sony/Columbia
9. Un jour 1 $5,079,566 $5,079,566 Focus Features
10. Crazy, Stupid, Love. 4 $4,797,364 $64,266,969 Warner Bros.
11. Harry Potter et les reliques de la mort - partie 2 6 $4,511,411 $366,007,900 Warner Bros.
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les commentaires des animateurs et autres sur le depart de Bernard Lenoir

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Bernard n'a pas fini d'être remué puisque cette page est là pour accueillir vos commentaires et autres messages .

Beaucoup, ici à Inter, ont tenu aussi à lui adresser un petit mot....

"AAAAAh Lenoir, mais à quoi va ressembler ma vie sans toi !!!
Tu as illuminé mes soirées tant d'années;
moi je te dis : à très bientôt !!!"
isabelle Giordano

"Combien de fois ai je été sollicitée, suppliée par de jeunes, très jeunes auditeurs qui souhaitaient une, une "toute petite place me disaient-ils" pour vivre en direct et surtout à tes côtés une de tes légendaires black sessions... Nous aurions pu, leur demander la lune, en échange de ces places, je crois bien qu'ils nous l'auraient décrochée. Mais, rassure toi, nous ne l'avons jamais fait! Nul n'est irremplaçable, c'est vrai, mais il y a ceux qui le sont plus que d'autres et tu fais partie de ces derniers... Tu vas drôlement nous manquer !  Je t'embrasse." 
Muriel Attal

"Cher Bernard, c'est avec grand plaisir que je t'aurais "claqué" quelques bises pour te souhaiter une bien jolie nouvelle vie, mais je me contenterai de ce petit message WEB........
Profite bien de tout et sois heureux, bises." 
Maïté Adam

"Mes oreilles sont en deuil de bonne musique anglo saxonne, mais la formule "caresse et bise à l'œil" reste une référence. Comme toi. Merci Bernard"
Gilles Marsault

"C'est un de mes bons souvenirs quand je faisais de la présentation. Emue à l'idée de me trouver assise à côté de "Monsieur Lenoir" que j'écoutais avant de travailler à Inter. Je lui avais rendu l'antenne en disant :  "on retrouve Bernard Lenoir l'Incorruptible au lieu de l'Inrockuptible"... ca t'avait fait sourire Bernard et moi j'étais bien embarrassée ! Alors je garde ce sourire et je te souhaite une belle route lumineuse et heureuse." 
Nathalie Hernandez

 

 © Christophe Abramowitz - 2011

"Bernard,
Je suis une de ces nombreuses filles d'Inter qui se transforment en groupies tellement bêtes, quand elles te croisent dans le couloir ou dans l'ascenseur.
Ca fait des années qu'on se dit bonsoir, que je te souris bêtement et que tu me souris avec la même tête de jeune homme qu'à tes débuts.
Ahhh si seulement tu avais pu te transformer en papy, alors j'aurais pu trouver le courage de venir vers toi et te demander "papy Bernard, raconte moi comment c'est d'être le N°1 de la musique depuis 40 ans".
Mais tu es toujours le même, aussi fringant à l'antenne que dans la vie, aussi jeune, aussi classe. Et je n'arrive pas à croire que tu vas quitter Inter et nos nuits.
Tu es un morceau irremplaçable de France Inter, de son ADN comme on dit maintenant. Et chaque fois qu'on en perd une pièce, j'ai du mal à imaginer qu'on puisse la remplacer.
Mais je suis "conservatrice", ce que toi tu n'es pas et n'as jamais été. Toujours en mouvement. Qui cette fois te conduit loin de nous, mais surement pas de la musique. Et c'est déjà ça.
Et promis, la prochaine fois que je te rencontre dans un couloir -ça va forcement arriver- ne t'étonne pas si je te saute au cou."
Valeria Emanuele

"Oh Noooonnnnnn!!!!!
Ma culture musicale, déjà pas brillante ne va pas s'en remettre...
Je suis sincèrement hyper triste!"
Fabienne Chauvière

"Bernard,
C'est grâce à toi, à Patrice Blanc-Francard et à Claude Villers que j'ai voulu faire de la radio, et si possible à France-Inter. Rêve exaucé.
Bon vent et surtout bonne vague !"
Nicolas Stoufflet

"Vous avez bercé nombre de mes nuits d'étudiante, faisant, avec Jean-Louis Foulquier, mon éducation musicale. Pollen pour la chanson française. Feedback pour la pop anglaise. Et pourtant, je vous vouvoie toujours et j'ai de nouveau 20 ans quand je vous croise dans l'ascenseur. 
Merci pour toutes ces cures de jouvence."
Anne Audigier

"Et qui va nous embrasser l'oeil chaque soir maintenant ?!  Merci pour toutes ces années d'indépendance et profite bien de la suite"
Antoine Dabrowski

"1980 dans un studio de la maison de la radio à Noël. Un kado noir et rose, y avait déjà Michèle, la fidèle, et la magie de l'instant....
Merci pour ce démarrage de la vie, et toutes ces musiques incroyables."
Catherine Gaiffe

"Merde alors! Bernard, on se croise dans les couloirs de la maison en se disant juste bonjour-bonsoir depuis des années et je n'ai jamais eu l'occasion de te le dire, alors je te l'écris: tu fais partie des gens qui m'ont donné envie d'écouter cette radio avant même d'y travailler et surtout d'écouter de la (bonne) musique. Nous aurions tous aimé que ça dure éternellement et ce n'est pas de gaîté de coeur que nous te disons au revoir mais merci pour toutes ces années rock et bonne vague à Biarritz."
Lionel Thompson

"Merci Bernard pour toutes ces décennies de bonheur et surtout de ne m’avoir JAMAIS déçu ! 
Mes soirées ne seront plus les mêmes, privé de tes choix sans concession. Quelque part, je me sens orphelin. Je te l’ai déjà dit à maintes reprises, c’est de toi que sont venues ma passion pour la musique et ma vocation pour la radio. Et c’est à toi aussi que je dois de pouvoir exercer aujourd’hui mon métier de programmateur à France Inter. 
Je ne t’oublierai pas de sitôt… 
Belle vie au grand air, Bernard ! "
Thierry Dupin  

"Bernard, infiniment navré à l'idée de ne plus t'entendre sur l'antenne d'Inter, j'aimerais qu'avant de partir tu consentes à me dire ton secret : comment fais-tu pour avoir toujours le cheveu blanc aussi dru ?... Cette confidence de ta part m'aiderait à digérer les plâtrées de questions que vont immanquablement me servir mes amis-auditeurs-amateurs-de-rock-and-roll, du genre : "Pourquoi Hees a-t-il viré Lenoir ?". Au moins, si tu te confiais à moi, je pourrais leur répondre avec l'air de celui qui sait mais qui ne veut rien dire : "Cela tient à un cheveu".
Porte toi bien."
Alain Le Gouguec.

"Combien d’heures de route à l’aube des aurores à traverser les nuits avec cette radio qui trotte dans ta tête… Merci Bernard et quel plaisir d’avoir conduit ton amiral besogne depuis ton aquarium toutes ces soirées dansées par ta fidèle Soulier !" 
Jean-François Perreau

"Elegant, digne, cohérent et rebelle for ever
Chapeau Bernard."
Daniel Mermet

"Biarritz et le rock sont pourtant des mots qui vont si bien ensemble.  
Le rocher de la vierge et ilbarritz ont bien de la chance... la France  inter moins ! C'est comme ça. Mais pour tout et surtout pour ce qui te  reste à accomplir, le meilleur possible. Il n'y a pas que les oiseaux  
qui ont du courage."
Didier Varrod

"salut Bernard, heureuse d'avoir eu la chance de travailler parfois à tes côtés...(et ceux de Michelle, bien sûr)
ça va forcément me manquer de ne plus te croiser dans les couloirs et de bégayer connement au cours de nos gentilles conversations... mais tu as avant tout bien mérité ces grandes vacances, profite-bien et rendez-vous aux prochains concerts de Dominique A !!!"
Valérie Bour

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Kate Moss inspire (2008)

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Kate

Kate Moss inspire les artistes. Depuis les années quatre-vingt-dix, le mannequin a été représenté dans des œuvres de plasticiens britanniques (Gary Hume, Lucian Freud…).

Marc Quinn a dévoilé cette semaine à Londres une nouvelle sculpture du mannequin, semblable aux figures de l'Antiquité (voir photo). En 2006, l'artiste avait réalisé une sculpture en bronze la représentant en train de faire du yoga. Cette fois-ci, Marc Quinn a vu plus grand et a fait réaliser une sculpture du mannequin en or massif. L'œuvre intitulée Siren fait cinquante kilos (sept de plus que le modèle...) et est évaluée à 1,5 millions de livres (1,9 million d'euros).

Selon l'AFP, la sculpture est considérée comme la plus grande statue en or massif jamais réalisée depuis l'Égypte ancienne. Siren sera exposée dans l'exposition Statuephilia au British Museum du 4 octobre au 25 janvier 2009. Marc Quinn a déclaré : "J'ai pensé qu'il fallait faire une sculpture de la personne qui représente l'idéal de la beauté du moment. Mais même Kate Moss n'arrive pas au niveau de son image".

L'image du mannequin semble en tous les cas avoir plusieurs facettes. Dans le numéro de septembre du magazine américain W, Kate Moss pose devant l'objectif des photographes Mert Alas et Marcus Piggott. Elle apparaît déguisée en concubine dans un hammam d'Istanbul.

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la Marmotte avec Azarli, vendeur de mais

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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BALI 6 : GOODBYE VICTOR

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Résumé : les vagues vont et viennent comme les locataires de l'hôtel du Komala.

 

Victor est parti et avec lui une partie de ce voyage. La dernière ligne droite du depart commence. 

 

Au petit déjeuner, je vois Victor arrivait, c'est la première fois qu'il vient a la cantine. Il me confie que la chaise en plastique qu'il avait dans son bungalow, il l'a emprunte sous couvert de pourboires a la fille de la cuisine. il a mêmedroit a un autre pain de mie. Il a mal dormi car il a été perturbe en pensant qu'en l'accompagnant, lors de mon retour, je ne trouve pas le chemin. Je lui répète que je ne fais que la première partie du chemin car ensuite, il est vrai que c'est plus complique, plus loin, que cela n'a pas d'intérêt comme longer la plage. Et cela, me fait rentrer de nuit.

 

Said avait propose a Victor de l'emmener a l'aéroport mais il a refuse. Il est comme cela Victor. Il laisse sa chambre a midi alors que son avion est a minuit. En plus, il n'est pas sur de pouvoir entrer dans l'aéroport car, avec les mesures de sécurité, ils n'autorisent pas de rentrer trop tôt par rapport au décollage.

 

Nous mangeons ensemble. Victor, fidele a ses habitudes, prend une salade de fruits et un sandwich qui l'ouvre car c'est trop chaud. Aujourd'hui, un coca au lieu du pot de the. Il faut gerer les toilettes ! Mais Victor m'apprend que dans le nouveau KFC, dans la galerie, au premier etage, en bout de galerie, il y a des toilettes !

 

Il me dira ensuite qu'il est allé payer sans savoir que j'avais déjà régle. Après manger, je vais nager dans les vagues toujours aussi réjouissantes sans avoir auparavant fait la police car les surfeurs en profitent de n'avoir pas de nageurs face a eux. Aujourd'hui, le Lifeguard fait aussi le ménage dans cette zone. Retour, douche, et nous voici partis vers 16haprès un maïs avec le thème récurrent avec mon marchand, je lui demande s'il a un petit ou gros maïs ! 

 

Comme par hasard, le temps est clément. Nous marchons, marcherons pendant une heure, avec un léger vent, avec un ciel ombrage. Sur le chemin, j'interpelle une femme. Elle vient de passer avec une poussette. je lui tend la sucette qu'a lâché son petit garçon. Elle me remercie, cela va éviter des pleurs me dit-elle !

 

Nous passons devant des hôtels de luxe, des bungalows calmes, des piscines pour enfants, cela sent l'argent, un cote mortifere. Le chemin se termine, nous voici devant l'aéroport, les avions sont plus imposants. C'est le lieu et l'heure de se séparer. Je dis a Victor de prendre soin de lui. Nous nous serrons chaleureusement les mains. En voyant Victors'éloignait le long de ce long mur, torse nu, avec son sac rouge de trois ou quatre kilos, je m'aperçois qu'il me rappelle mon père. Il aurait eu le même âge, presque la même taille, les mêmes lunettes. Cette image de Victor, c'est comme une fin de film, une personne qui va plus vers sa fin que vers une nouvelle aventure. Mais, il y en aura d'autres et peut-être le reverrai-je dans quelques années s'il peut avoir son visa de six mois, si sa maladie le permet et s'il a encore la force physique !

Décollage vers minuit, ne pas dormir tout de suite pour avoir le repas, arrive six heures plus tard puis le taxi (50 $ australien) car c'est plus simple malgré le fait qu'en train, il ne paye pas grand chose en étant a la retraite.

 

De retour, son bungalow est ocucpe par un jeune qui a fait connaissance avec le vendeur de peintures. Il y a plein de toiles étalées. Le jeune partira le lendemain. Je croise Pascal le français spirituel avec qui je discute juste avant le coucher du soleil. Nous échangeons sur les trois questions essentielles : d'où est-ce que je viens, qui je suis et ou je vais. Nous sommes d'accord sur le fait que pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même. On ne part pas seulement avec notre histoire mais l'histoire de nos parents, de notre famille, de nos ancêtres. 

 

Dans cet environnement, je me rends compte que l'environnement de Bali est de l'energie positive mais surtout que c'est aussi ce que je donne - sans m'en rendre compte - et que je recois, naturellement. Je sais donner mais je sais aussi recevoir. La base d'une relation.

 

Demain, c'est le départ de Felix !

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Pour FRED, sa liste dans son sac

26 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog

 

4 sarongs / 2 shampoo / detum / 2 tubes efferalgan / homeoplatine sans bouchon / 1 short / 1 sun cream indice 40 / shoes / 1 flacon plein indice 20 / un autre au 1/4 plein indice 25 / 1 hydrating 200 ml / 1 +0.5 vasekube cool and fresh / 1 lait protecteur 50 / .5 mousse a raser petit format / 0.5 sun cream indice 25

+ 2 bonnets de Noel ;-)
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les stats du blog : la barre des 400 visiteurs depassee :-)

25 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Le Blog

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la Marmotte au restaurant japonais (set menu)

25 Août 2011 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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