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20 ans déjà ! Bali, Jérôme Garcin, Cinéma et séries d'antan

La philosophie du Mak : Le poignard dans la blessure

Une plaie ouverte qui tarde à se refermer, avec le temps on n'oublie pas, on n’efface pas. La parodie de Coué serait de passer à autre chose, mais parfois le manque et l’absence réveillent cette lucidité bien réel, de temps à autre surgie ce cliché du temps passé et qui passe en laissant des traces.

Quand on sait, on comprend, quand on ignore on accepte de grès ou de force car on n’a pas le choix de remonté le temps et de questionner pour ne serait-ce savoir et assimiler cette absence si pesante.

Je te vois toujours planer dans un ciel bleu et heureux d’être libre sans entrave, dans un bien être assuré pour l’éternité.

Je me console en me disant que ta destinée en a décidé autrement et que ton chemin parmi nous en était terminé.

Je me console en me disant que tu avais tout compris avant beaucoup, alors à quoi bon  persister et perdre ton temps parmi nous.

Toi qui étais toujours à la recherche de cette évolution de l’être sans te préoccuper des êtres.

Tu savais avant tout le monde que l’humaine n’était pas la meilleure race créée par Dieu, mais tu t’en accommodais.

Les premiers degrés n’est pas le meilleur équilibre, le recul et la pondération son indispensable pour être en paix avec soi.

Tu n’a pas choisi ta sortiE de scène mais je pense que c’est celle que tu aurais préférée, ne serait-ce que pour nous envoyer un bras d’honneur au visage, sans doute pour nous faire bouger.

Quoi qu’il en soit, message reçu !

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