Le problème, de trop « absorber », pas assez dormir, trop aimer , trop détester, trop choyer et réfléchir qu’après, en fait n’en est pas un.
La route est longue et les ornières nombreuses, perdre du temps à les couvrir consisterait à plâtrer un miroir.
En créer d’autres transformerait cette route en champs de mine, la laisser telle quel est la solution la plus réelle.
Avec quelquefois ces sauts , et son relief cela éveille toujours la certitude que tout n’est pas facile même les chemins les plus tranquilles.
On la parcourt selon notre rythme , plus on va vite , plus les soubresauts éprouvent.
Plus on y pense , et plus il s’en fabrique,( des ornières), et si on les creuse c’est qu’elle brille par leur absence ou alors pour savoir si elle sont bien présente (toujours les ornières).
Car par réflexe , une route plate produit souvent un axe.
Mais comme cette route est longue elle ne sera pas que de sillon.