S’enfouir avec lui engendre la perte des malheureux intervenant, qui, au nom du bon principe loyal et dévoué se risquent sur la pente glissante de la solidarité afin de fructifier probablement leur sens du devoir. Agir de la sorte est comme dispendieux car on attend toujours un jour quelque gratitude en retour sans vraiment savoir quoi au moment ou après « l’obligation ».
Obligation qu’on se sent de respecter. Car pris de remord le contraire fait planer l’idée de l’immobilisme égoïste.
Le fabuleux courage exorcise un sentiment de lâcheté même si voué à l’échec en connaissance de cause , participe sans le savoir, la construction de ces propres galeries qui à leur tour demanderons au protagonistes une lucidité verdoyante à repérer se labyrinthe. Les coups de grisou son à risqué pour les détracteur de la voltige psychologique, car l’oubli de son devenir ne se retrouve que par et au fond de soit.
Le crache entre les êtres plane quelque part et de façon prémédité ,et ne comprenant pas le dilemme , l’affolement à retrouver son chemin dans se relationnel amplifié à grand coup de compréhension et de réaction discordant avec l’essentiel et l’oubli de son devoir premier.
Le respect, qui n’est point charité.