Les chroniques du Mak
Se frayer un chemin quand la préoccupation angoissante de l’incertitude vient frapper régulièrement à la porte des doutes.
Sans prévenir , et de façon furtive , ses hypothèses harcèlent régulièrement celui ou celle qui reporte son propre stress sur autrui .
la stabilité de l’individu un peux vacillante laisse imaginer beaucoup d’incertitudes
non seulement sur son devenir mais avec celui de l’êtres aimé également.
Cela engendre parfois , par manque de maîtrise de soit et de paix intérieur, un
décalage considérable entre nos pensés et le réel. Le plus contraignent et de le gérer avec le plus de détachement possible,
prendre du recul et analyser de loin se dilemme,consiste tout simplement parfois à ne se poser de question uniquement lorsque elle sont vraiment utile et fondé. Sachant que la première pierre de l’édifice est « je » , il faut la renforcer au quotidien enfin que la structure de « nous »
soit solide et durable.
A tord ou à raison , les rendez-vous de la paisible certitude de l’autre son de passage et passe lorsque le spectre de la
crainte surgi des tripes avant d’ordonner au cerveau d’ouvrir les archives, imaginaires ou fraîchement crée pour l’occasion, de l’appréhension
de ne pas être au centre du cœur bien aimé.
Alors , les rencontres se manquent , et de se fait alimente la motivation sans excuses de douter sans réviser une attitude qui demande qu’à évoluer.
article écrit en l'écoute de Wolfgang Amadeus Mozart.
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