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il faut que tu reviennes demain sur ce blog ;-)<br />
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ce que j'ai aimé, c'est aussi la phrase de fin :<br />
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"dans le voyage, on perd la parole mais on devient conteur".<br />
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Le rouge ! intéressant comme l'émission "sur les épaules de Darwin" de Jean-Claude Ameisen, hier<br />
Quand le violon jouait, j’étais soudain empli d’or et de feu, et de rouge si vif que je ne pouvais me souvenir l’avoir vu auparavant sur aucun objet. Quand<br />
c’était le tour du hautbois, un vert clair me traversait, si frais qu’il me semblait percevoir le souffle de la nuit. <br />
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Oliver Sacks (citant Jacques Lusseyran). Des yeux pour entendre. Seuil, 1996.<br />
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