BALI 5 : le trajet

07.07.2009

En attendant que je sois arrivé à BALI, programmation pour vous faire patienter et bénéficier d'une continuité dans mes billets lors de ces longues semaines de bonheur.

Tout d'abord la compagnie aérienne que je prends ne fait pas l'actualité, enfin pas encore ! QATAR AIRWAYS. Avantage, les prix sont intéressants, inconvénient il y a de l'attente entre deux vols.

Prendre un billet à l'avance permet de ne pas avoir la mauvaise surprise de prendre un billet quelques semaines avant le départ deux fois plus cher ; sauf que cette année, avec la baisse du prix du pétrole les billets ont seulement augmenté de 20%.
L'an prochain, je ne vais pas me précipiter fin octobre pour réserver.

En fin de semaine, je prends l'avion à Roissy vers 11h30. Ce qui signifie qu'il faut y être vers 9h30 et même avant pour demander à avoir certaine place (ce que je ne demande pas, jamais). Le mieux est en fait d'être dans le fauteuil qui donne sur le couloir mais la vue en étant près de la fenêtre est toujours un spectacle la première fois ... moins avec les années.

Le premier trajet dure environ 7 heures pour arriver à DOHA vers 19h.
6h30 de transit. Cela commence à être long mais comme il faut être présent deux heures avant, avec un livre et quelques allers et retours dans l'aéroport, le temps passe vite.
Le deuxième décollage a lieu vers 1h30 du matin pour arriver à Denpasar (l'aéroport de BALI) à .... 18 heures.
Plus de onze d'avion, cela va être long car dans l'avion, ils ne vont pas nous laisser trop dormir entre le repas, le petit déjeuner, le déjeuner. Maigre consolation, la possibilité de regarder des films qui sont ou sortiront sur les écrans français.

Le retour sera encore plus folklorique : départ à 23h30, toujours pour une durée de vol de onze heures mais cette fois - fuseau horaire dans le sens des aiguilles d'une montre - nous arrivons à 6h du matin à DOHA. Huit heures d'attente pour décoller vers 14h et être à paris vers 20h.
Le plus drôle, c'est que le lendemain je prends le train pour aller travailler.
J'aurais sûrement encore du sable dans les cheveux !