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LASTDAYS

20 ans déjà ! Bali, chaîne de Jérôme Garcin, Cinéma et séries d'antan pour 2025.

La philosophie du Mak : La révolte d'un ex sacrifié!

 

Les années soixante dix, dernières périodes de la découverte , des idéaux pas forcement lucides et objectifs , mais le déclenchement de la fin d’un passé que l’on croyait, je pense enterré à jamais.

 

L’avenir des ses années prouvera le contraire.

Le ras le bol de l’époque exprimais tout la protestation  contre la guerre, l’économie sauvage, les privilèges et autre injustice savamment diriger par les politiques de l’époque qui eux une fois n’est pas coutume pensais à leur carrière.

 

A croire qu’ils ont inspiré certains hippies , qui n’ont pas tarder, une fois la maturité présente, à exploiter, manipuler, s’enrichir sur le dos de ceux qui jadis défendaient.

Et pour couronner leur réussite, briller par leur absence de partage et leur manque d’ouverture car peut être se qu’il défendais leur apparaissait comme l’unique pensée guérisseuse  de tout les maux des la planète.

 

Ils se sont bien amusés, il nous ont bien fait rire aussi, mais combien ont gardé leur authenticité ?

 

C’est sûr les seventies était les dernières années sans le sida qui, anonyme, angoissa pire que le cancer qui commençait à sortir de l’anonymat dans les années quatre-vingt.

Quand aux années quatre-vingt , c’était du grand et brillantissime n’importe quoi.

 

Un grand espoir pour notre avenir, la génération sacrifiée qui essayait de se frayer un chemin en prenant soin de ne pas trop vexer les soixante-huitards  afin qu’ils lâchent un peu de leur savoir ou autre chose apprise, qu’ils transmettent autre choses que leur vanité égoïste et autre cupidité mal enrichie.

 

Mais bon aussi sur le plan culturel où les pires horreurs firent leur apparition.

Que ce soit vestimentaire ou dans la variété censée nous distraire.

Et toujours cette espoir qui tarde à se concrétiser, cet espoir de 1981 qui nous, le pensions pour beaucoup, changerait les ex-révolutionnaires  des vingts dernière années.

 

Et bien, Niet !

Rien …rien n’a changer… tout…tout… a continué… hé..hé!

 

Les plus habiles au commande ou dirigeant ont protégé leurs acquis comme des lingots dans un coffre.

 

On nous l’a fait une  fois, deux fois, mais les années quatre-vingt dix pour cette génération sacrifiée était le défouloir complet, les révolutionnaires et autre soixante huitards commençaient à être largués, leur gosses  leur demandaient beaucoup d’attention et de préoccupation, leurs petites affaires leurs suffisaient malgré leur égoïsme, il commençait à nous lâcher la grappe et du leste.

 

De-ci  de-là, ils s’agitaient un peu mais rien  de bien préoccupant, leur règne battait de l’aile et leur défaite approchante nous laissai entrevoir notre avenir plus serein.

 

Les années deux-mille, sont pour certains la moitié d'un regret d’un passé incomplet car il a bien fallu tout de même faire sa vie de famille et bâtir sur les cendres du passé quelque chose de cohérent.

 

Même si on peut entrevoir une certaine désinvolture, je pense qu’il seront bien plus tard.

Et pour d’autres, c’est le prétexte pour observer le tableau.

 

Et dire que l’on reparle d’une génération sacrifiée !

Pas la même certes, comme quoi l’histoire se répète.

par The Makinitosh

 

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Publié la première fois le Lundi 11 mai 2009

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