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20 ans déjà ! Bali, Jérôme Garcin, Cinéma et séries d'antan

Les chroniques du MAK

L'absence de compromis, contraint deux êtres à se frayer un chemin dans la distance. Sans savoir ni comment, ni pourquoi, une longue perte de soit même s'installe de façon latente et lente.  Éloigné à se perdre en étant cote à cote le rejet du bonheur engendre la préparation du malheur. Leur présence n'a pas raison de leur absence, et là  guête avec patience, les loups près de la bergerie qui jusque là sans trop d'agitation se laissait bercer au fil du temps dans un fragile équilibre.


Se reposant sur l'ancienneté et narguent sans prétention, ni volonté les êtres  affamé de bonheur facile avec option de liberté incompatible. À vous surprendre peut être, le bonheur n'est pas un pack de services que l'on choisi. Je ne sais plus quel idiot me racontait un jour que l'on peut tomber amoureux la journée mais le plus important et de rentrer au « bercail » le soir. J'ai bien compris que tomber amoureux le jour peut et risque ne jamais retrouver le chemin du dit « bercail ».

Heureusement  pour moi que le dieu de la maisonnée veillait sur moi. La faiblesse de l'humain et de croire que sa vie mérite d'être fuit pour n'importe quelle prétexte, et là si vous n'avez pas de solide soutient, vous sombrez dans le gouffre de la spiral infernal qui vous harcèles d'angoisses et de culpabilité. Subitement, la petite bombe que l'on se fabrique nous explose à la figure comme pour nous rappeler l'évidence de la vie.


À bien y réfléchir la seul personne coupable est nous même, d'avoir sombré d'un plein grès sur l'amuse gueule qui frais en surface, s'avérait périmer dans l'âme.  

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