20 ans déjà ! Bali, Jérôme Garcin, Cinéma et séries d'antan
Par Kitano
On pense à l'amitié mais l'amitié ne pense pas quand on en a besoin.
On a beau lors d'un apéritif trinqué les yeux dans les yeux au nom de la fraternité, mais rien à faire quand une tempête se lève. Plus d'œil, plus d'amitié, plus de regard que l'on aimerait ne serait croisé qu'un instant.
Tout disparaît pour laisser place à la solitude destructrice de tout raisonnement rationnel et de
lucidité.
Le vide, le ko se fondent un nid bien confortable dans notre cerveau. L'attente d'un signe et lourde à
supposer le refuge de l'excuse mais les faits sont bien présent. On le vit, le respire et on le souffre. Bien sûr il existe toujours la bonne pensée présente si l'on en fait la
demande, voilà, il faut le demander, comme si cela ne suffisait pas de souffrir, il faut mendier le réconfort comme si on devrait en être redevable pour les jours
meilleurs.
A croire que la générosité du cœur existe uniquement chez ceux ou celles qui on vraiment souffert. Le plus
surprenant est qu'une foi la situation rétabli, l'incompréhension plane quand, d'avoir trop encaissé, la distance change de camp, trop amère d'avoir été zappé. L'amitié du moment présent et pas
un seconde de plus est bien présente mais ne dur que de le croire avant de passer à autre chose, peut êtres de moins contraignant à gérer.
La consolation de l'intention apprivoise beaucoup de conscience car chacun à ses propres raisons d'agir de la sorte mais les conséquences sont tout autre. Sans juger la présence ou l'absence on attend plus de justification tant l'amertume mène parfois au mépris. Il est plus dur de supporter une panne d'amitié qu'une erreur de cœur. Car le premier participe à un équilibre environnementale, quand au deuxième une supercherie. Entre haine et colère subsiste un souvenir sans saveur ni relief. Mais comme dans toute situation il y a du positif, celui la restera l'apprentissage de la vie et ses réalité.
par Maki N' Tosh publié dans : erreur ajouter un commentaire
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