Le temps qui passe peut garder le même esprit mais la vitrine change car, peut être, à force d’avoir été trop regardé à la lumière du soleil étincelant, cette lumière s’use .
On aura beau imprégner cette lumière d’artifice, elle ne faillira point à sa destinée.
De l’entretenir permet de la préserver dans la vérité, justifiant une splendeur passée.
L’admirer est aussi oublier qu’elle peut trahir un sentiment d’amertume sur l’idée de se qu’elle dégageait jadis.
L’accepter c’est la faire accepter, la parodier c’est la justifier, les excès c’est l’altérer.Bien souvent on rejète parfois les vitrines qui se présentes à nos regard surpris, peut être simple émotion inconsciente provoquer par l’inquiétude de s’y apparenter un jour.
C’est alors que bien souvent , on constate que les même vitrines sont dans la même rue.
Comme si elle représentaient une identité dépendante d’elles même, et ne pouvant pas briller autre part que dans leur rue.