On savait que la musique adoucissait les moeurs, Jean-Marie Zerr assure, quant à lui, qu'elle donne du goût au vin. Ce viticulteur alsacien a mis Brahms, Beethoven et Mozart au service de ses
vignes affirmant, mardi à Dangolsheim (Bas-Rhin), qu’il obtient ainsi des vendanges tardives «plus aromatiques».
Jean-Marie Zerr stimule désormais les arômes et sucres de ses Gewürtztraminer en inondant sa vigne de musique classique et de «fréquences sonores de deux à trois minutes», les rythmes
modernes et urbains étant strictement bannis.
«Depuis une semaine, je diffuse de la musique à partir d’une petite installation et le vin a gagné en arômes et en sucre apportés par les feuilles de vigne qui ne tombent pas comme dans les
parcelles voisines», explique-t-il à l’AFP. «Mes vignes en feuilles, on les voit à 3 kilomètres» se félicite-t-il, déçu toutefois que les autres récoltants de la coopérative le
trouve plutôt «illuminé».
Il souhaite que la coopérative produise à la prochaine récolte une «cuvée spéciale». Cela serait la «Mélodie du bonheur» pour cet adepte de l’agriculture biodynamique qui
utilise les énergies cosmiques et préfère les «cornes de bouses» à l’engrais chimique. Et, ajoute-t-il, «un sacré coup médiatique pour la coopérative».
AH AH AH merci de ce rire du jour ! Presque fini le livre de droit et là on rigole moins !J'écoutais une émission sur Inter qui parlait du vin en disant que les critique utilise des métaphores ou des références qui font d'eux des spécialistes mais qui éloignent du vrai sens critique : tu aimes ou tu n'aimes pas !
On est toujours dans le "storytelling" la ?Quand tu dégustes du vin tous les sens peuvent être sollicités, sauf l'ouie ! à présent on dira " excellent terroir, cépage élevé avec du Brahms ... on retrouve les notes...."LLLOOOooooOOOOoooOOOOLL