Rédigé par Kitano et publié depuis
Overblog
Mode of epuise comme pourrait l'ecrire le Pinku.
Cela fait deux soirs de suite que vers 20h, apres internet, je tombe de fatigue. Certes, ce matin je me suis reveille a 4h et 5h30 pour me rendormir ensuite. Si je n'etais pas parti a Ubud,
j'aurais fait du jogging.
Autre explication a mon etat : la pollution. Aujourd'hui, la longue sequence moto s'est partage entre rizieres mais aussi la ville. Cela expliquerait en partie mon mal de tete. En plus, une de mes
gencives me fait souffrir. Dans ce cas, j'ai le remede avec la Listerine. Sur le mode d'emploi en anglais, ils disent que cela tue les bacteries, je confirme. J'ai pris 'L'original' car il en
existe des aromatises tellement que c'est fort.
Avant UBUD, arret aux marches de CELUK. Du local et des touristes. Du local car il y a un marche de fruist, legumes, gateaux, fleurs, volailles. Une dame indonesienne a voulu se faire prendre en
photo avec la Marmotte, j'ai bien sur accepte avec plaisir. Elle me demandait ensuite si ele pouvait la garder. J'ai du refuser, la Marmotte ayant encore d'autres aventures a vivre.
J'ai achete des chats en bois sans trop negocier car je pense que c'etait le prix dans la bonne boutique et surtout dix fois moins cher que ce que je pourrais payer au supermarche Mata Hari de
Kuta.
Cela fait la 3e fois que je viens a Ubud, capitale culturelle de Bali (peinture sur tshirt, sculpture sur bois, objets en bois, ...). Cette fois, on aurait dit Kuta mais sans la plage. J'ai reconnu
mes anciens hotels, les anciens endroits. Cela construit dans la rue principale (pres de la representation des Kecak dance).
En quittant Ubud et en prenant des petits chemins, j'ai entendu des centaines de fois des 'hello'. J'ai meme croise des elephants dans le ELEPHANT SAFARI PARK (16$).
Ce sont des elephants qui viennent de Sumatra ou la foret est passe de 16 000 hectares a 200.
Sur la route, je prends confiance mais HATI HATI (doucement). Je prends cosncience qu'en fait, les indonesiens ne roulent pas si vite que cela et qu'ils font attention aux autres. Ce qui m'arrange
quelquefois. Le klaxon a son utilite.
A Kuta, je suis arrive pour le coucher du soleil, les vagues se sont calmees mais pas mon mal de tete.