20 ans déjà ! Bali, Jérôme Garcin, Cinéma et séries d'antan
Par Kitano
Istanbul, aéroport. Ce qui me marque, c’est l’agitation. Beaucoup de monde, dans un sens, dans un autre. On se dirige vers notre porte. Je vois un point d’information. Je leur demande quand je pourrais avoir mes boarding pass, on me renvoie à un bureau. Tout droit, à gauche, il faut descendre des escaliers, passer par une porte vitrée coulissante, j’arrive dans une allée et je vois le bureau de la Turkish. Je pose ma question, à savoir, si c’est un guichet de la Guaruda ou de la Turkish qui me délivrera mes billets pour le vol Jakarta/Denpasar. La fille m’écoute … et me sort les boarding pass … pour Istanbul/Jakarta.
Je lui montre alors les billets en ma possession et comprend ma demande. Elle en réfère à un homme plus âgé qui me dit que je trouverai un guichet de la Turkish à l’arrivée. Je suis rassuré et chemin inverse, sauf qu’il faut montrer les boarding pass et passer sous le portique.
Il est 2h du matin, on embarque une fois de plus après la première classe car nous sommes prioritaires étant une famille avec enfants. Cela a quand même des avantages. L’avion est plus grand, trois rangées de trois, du 737 au 777. Un vol de presque 12 heures où les enfants vont s’écrouler de sommeil et dormir pendant presque tout le vol, sans même être servi pour le premier repas. Parlons du repas. Il est moins copieux que celui de l’an dernier mais de meilleure qualité. Au menu, entrée, plat dessert. Purée/poulet ou pâtes avec salade de tomates méditerranéenne format xs et dessert type mousse au fruit (au fruit car un seul parfum).
Je vais réussir à dormir quelques heures. L’an dernier, j’étais parti fatigué et le voyage m’avait fatigué, trouvant l’énergie juste au moment de l’atterrissage à Denpasar. Cette année, je pars tout aussi fatigué mais avec plus de ressources après ce vol. Il me reste quelques heures avant le deuxième atterrissage. J’en profite pour regarder un film GEOSTORM sur le dérèglement climatique et une mauvaise utilisation d’un bon outil satellitaire destiné à enrayer les tornades mais à présent à rayer de la planète la moitié de la population (par exemple les russes et les indiens) ainsi que le président des Etats-Unis. Film sur la famille (lien de deux frères), le couple, le courage, la Nasa, les enfants, bref sur les Etats-Unis. Vous pouvez vous en dispenser.
Billet court aujourd’hui car nous arrivons à Jakarta le 16 juillet, avec de l’avance par rapport à l’horaire, il est près de 18 heures et ce qui va suivre demain, pourrait s’intituler « la totale ». Un long billet que j’aurais préféré plus bref …
A bientôt car sans Toi, c'est pas pareil ! - Hébergé par Overblog