voyages
Attention, singes méchants !
Ces singes sauvages, estimés à 5 500 dans la capitale, envahissent souvent le Parlement et les ministères.
Ils sont même parvenus à pénétrer dans l'immeuble fortifié qui abrite le bureau du premier ministre, Manmohan Singh.
En mai, les députés fédéraux ont demandé à être protégés.
Des habitants ont déposé des pétitions auprès des tribunaux locaux pour faire de New Delhi une ville "sans singes".
Tuer des singes n'est pas possible pour les hindous, qui les vénèrent du fait du lien qu'ils incarnent avec Hanuman, un singe-dieu qui symbolise la force.
"La dépression est sous-diagnostiquée"
En France, cette maladie psychique touche quelque trois millions de personnes - dont deux fois plus de femmes que d'hommes - et représente la première cause de suicide.
Bryan Habana sacré meilleur joueur de l'année
AP/CHRISTOPHE ENA
Des photos pour un dépistage
Demain, certains doivent prendre leurs précautions
s’annonce massive dans les transports. Conseils pratiques pour s'organiser.
Birmanie, répression
La junte parle aujourd'hui de 13 morts alors que des sources diplomatiques font état de plusieurs centaines de victimes. Entre 6 000 et 7 000 personnes auraient été arrêtées dont six dissidents qui sont, selon Amnesty International, "à la merci de tortures et de mauvais traitements".
Tandis que, dimanche 14 octobre, la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, appelait l'émissaire spécial de l'ONU, Ibrahim Gambari, à revenir "dès que possible" en Birmanie, "une délégation de très haut niveau militaire" serait, selon l'équipe de France 24, à Moscou pour acheter des armes.
Défaite des Bleus : ceux qui critiquent, ceux qui expliquent... et ceux qui pardonnent
Au delà des explications sur la défaite, la présence très visible de Nicolas Sarkozy à chaque rendez-vous des Bleus a nourri les débats sur Le Monde.fr.
Revue de presse Interrogations sur la stratégie du XV de
France
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Chabal mania
Ici aboutissent toutes les demandes de contrats pub.
On y apprend que, «même pour un pont d’or», Chabal ne coupera pas sa barbe.
Marques de rasoir, pas la peine d’appeler. Par Hervé Marchon
source : http://www.libelabo.fr/2007/10/12/dans-le-bureau-de-la-chabalmania/
Ulan Bator
Après avoir fait des recherches, j'ai essayé de réserver le billet pour un départ début juillet. Jusque là pas de problème.
Ensuite, j'ai mentionné la date du retour : 30 août.
Date limite pour arriver en France le 31 et reprendre le travail dès le lendemain, un lundi. Flux tendu. Cela peut se payer par de la fatique, mais j'assume.
Me préparant à sortir ma carte bleue, je fus étonné de lire que la date du retour n'était pas encore ouverte à location. Enfin, c'était le sens à traduire du message.
Je vais donc devoir attendre, en espérant ne pas manquer d'un jour, les vols les moins chers. Cette année avec le prix du pétrole qui atteind des sommets de historiques, peut-être que la différence de prix se fera beaucoup plus ressentir qu'un billet pris dans les dernières semaines.
Dans mes recherches, j'ai d'abord commencé avec ULAN BATOR (Mongolie, le pays où ils mangent les marmottes ... :-( mais à presque 5 000 € le billet, je suis passé au plan B que je vous dévoilerais la semaine prochaine.
BALI IV : Destination France (fin)
Dans l'avion, je revis le film toujours sublime d'Alain Resnais 'Coeurs'. Je réussis à dormir pour me réveiller vers les 4 heures du matin, enfin je pense car j'ai encore perdu la montre qui remplacait le fidèle Pooks maintenant dans les fonds marins.
L'arrivée se fit à l'heure et même avant, mon sac arriva trente minutes après, c'est le record de rapidité. Je pus ainsi prendre le CDGVAL (à la sortie prendre à gauche l'ascenceur derrière le bureau d'informations puis tout droit et sortir au terminal 3 et chercher le rer B - il est possible de prendre directement un tgb de Roissy) qui me fit arriver à 8h50 à la gare de Lyon qui m'aurait permis de prendre le TGV de 9h24 mais comme je ne voulais pas de stress, j'avais réservé celui de 10h44 (pas de possibilité d'échange avec mon billet).
Dès que les roues de l'avion touchent le sol en France, je sais que les vacances sont terminées, enfouies dans le passé. Pas de regret. Mais, je sais aussi que j'ai toujours envie de repartir. L'an prochain, cela sera dans un pays que je ne connais pas. Dès le mois d'octobre, je commence les recherches.
BALI IV : Destination France
Au petit déjeuner, cela a été la réunion de français ou plutôt de françaises. Il y avait Françoise et sa fille Isis (frqnco-camerounaise) et un couple de professeur(e)s. L'une d'elles , quelques jours auparavant était allé réveiller son voisin à 3h et à 6h du matin pour n'avoir pas voulu comprendre que faire du bruit le soir perturbe le sommeil des autres !
Après notre papautage, j'eus le temps de prendre la Marmotte en photos dans les deux endroits qu'il me manquait : une statue de surfeur et l'inscription du Hqrd Rock Cafe.
Sur le chemin, je m'arrête dans un cyber-café pour poster mes dernier s articles. Je sais que j'aurais pas à négocier le taxi, tellement j'ai des propositions. Des masseuses me saluent en me voyant avec mon sac à dos. Elle s me souhaitent un bon voyage avec le sourire. On est bien à Bali !
J'arrive enfin chez Padok, il fait chaud, surtout avec sur le dos un sac à dos de 19 kg. Une grosse noix de coco, bien remplie avec ensuite l'assortiment V.I.P. : la chair de la noix de coco avec du citron vert, du sirop et quelques morceaux de jackfruit et de pastèque. Il est vrai que je paye le prix touriste (s'il y a des touristes qui viennent à ce t endroit) et pas indonésien ( 5 000 au lieu de 3 000).
Padok était content de me voir, il apprend par l'un de ses copains qui sait parler anglais que je voulais finir mon voyage en le voyant. Ayant repris des forces, je reprends mon sac à dos et le sac que je garderai avec moi dans l'avion (avec la Marmotte) et je serre la main tendu par Padok qui me dit 'Selamat Jalan', ce à quoi je lui réponds 'Selamat Tingall'. Cela le fait sourire !
Il faut savoir qu'en Indonésie, s'il y a 4 façons de dire 'Bonjour' selon l'heure de la journée, il y a deux façons de dire 'au revoir' selon que l'on parte ou que l'on reste.
Le reste fut rapide : taxi (25 000rp), formalités (14h), embarquement (16h15), décollage (16h50), Bangkok (20h). J'eus la surprise de voir dans l'avion le film des FANTASTIQUES . Si je souffre du décalage horaire à l'aller pour le retour, tout va bien. Le second décollage aura lieu bien plus tard vers minuit dans le nouvel aéroport de Bangkok qui ressemble plus à un centre commercial de luxe qu'à une aire de repos et d'embarquement.