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LASTDAYS

voyages

Replay BALI 8 : a new hope

2 Juillet 2016 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

J'ai laissé du temps depuis ma dernière recherche internet sur les billets d'avion pour Bali.

Je m'y suis remis et ... surprise !

Bonne surprise sur le prix des billets d'avion.

Ils sont passés de plus de 5 000 euros à plus de 3 000 euros !

Je vais me diriger maintenant vers une agence physique de voyage.

A suivre

Kuta, la plage, Bali (au loin l'aéroport)

Kuta, la plage, Bali (au loin l'aéroport)

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BALI 8 : Airbus A380

12 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Airbus A380, c'est l'avion que nous allons prendre. Le plus gros avion civil qui peut transporter plus de 500 passagers. Je n'ose même pas imaginer lorsque tous les passagers vont sortir et chercher à trouver un taxi !

Pour notre arrivée, comme notre retour, nous prendrons un Boeing 777 qui peut aussi transporter jusqu'à plus de 800 passagers, sans que cette option n'ait été retenue, pour l'instant.

L'avantage de l'Airbus, à ce que j'ai lu, c'est que même en classe économique, l'ergonomie a été pensé de manière à donner plus d'espace et de confort. Enfn, c'est ce que l'on peut lire cardepuis, pour améliorer la rentabilité, on a ajouté des sièges en classe économique.

Je voulais voyager dans cet avion même si je ne pensais que cela arrive un jour. Un Boeing 777 coûte environ 250 millions de dollars, un Airbus plus de 400 millions !

 

En m'informant sur cet avion, je me souvenais qu'il y avait eu un problème technique en vol, on peut même écrire un accident. Mais c'était il y a longtemps, en 2010, avec la compagnie australienne Qantas. Depuis, rien n'est arrivé à ce même avion.

 

La nouveauté avec ce gros porteur, c'est que sur le pont principal, en classe économique, il y a 11 sièges de front, décomposée en 5 sièges en allée centrale et deux fois trois sur les côtés. Donc, la tribu ne devrait pas être séparée sauf si l'on n'est pas dans cet environnement.  J'ai cru voir, mais c'était vraiment tôt dans le matin, vraiment, qu'il y avait seulement trois sièges dans l'allèe centrale et deux fois deux rangées de deux sur les côtés.

 

On verra. De toutes les manières, quelle que soit la configuration, on voyagera toujours mieux que nos précédetns voyages : au premier voyage, on avait deux sièges et l'on était trois ; au deuxième voyage, on avait trois sièges mais l'on était quatre !. Cela va être, pour nous, une classe économique premium !

Airbus a380

Airbus a380

Sièges Airbus a380

Sièges Airbus a380

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BALI 8 : Demandez le programme

11 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Avec la presque euphorie d'avoir eu les billets pour une voyage qui n'aurait pas dû se faire, j'en ai oublié de donner les détails des vols.

Nous partons le 16 juillet à 13h40 de Paris pour arrivé le lendemain vers 6h à Bangkok. Cette fois, cet aéroport sera un transit et non pas le point d'arrivée. J'en ai vécu beaucoup des arrivées à Bangkok, c'était avant, avant de connaître Bali !

Nous avons ensuite 2h25 pour trouver le Terminal et arrivé à Bali à 14h40.

Le premier vol sera long 11 15, le second beaucoup moins 4h20.

L'arrivée vers 15 heures nous permettra d'assister à un coucher de soleil de plus et de nous permettre de prendre possession de notre bungalow sans précipitation.

 

Le retour est tout aussi favorable. On quittera notre bungalow après manger pour un vol départ à 16 heures. Il y a peu de circulation à cette heure. Nous arriverons vers 19 heures à Bangkok après 4h10 de vol. Il y aura, et c'est le seul petit inconvénient, 5 heures d'attente. Les enfants seront fatigués pour le départ vers minuit. La France se rappelera à nos souvenirs 12 heures plus tard. Il sera alors 7 heures du matin. Ce qui signifie que l'on pourra prendre directement un tgv sans passer par la case hôtel Paris ou gare du centre comme à Lyon, comme l'année dernière.

En parlant de train, il va falloir que je regarde les horaires

Cette parcelle (que l'on voyait en sortant de notre hôtel) en 2013 a disparu depuis ...

Cette parcelle (que l'on voyait en sortant de notre hôtel) en 2013 a disparu depuis ...

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Replay BALI 8 : Let's go !

10 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Aujourd'hui, c'est le cas de l'écrire.

Je me suis levé tôt, très tôt, trop tôt mais c'est pour la bonne cause : l'achat des billets d'avion pour Bali opur cet été.

Le téléphone portable Nokia du XXe siècle que je n'utilise que comme téléphone sonne il est te mps de me lever, il est 4h et Paris ne doit pas encore trop s'éveiller.

J'allume l'ordinateur, je branche Internet et me voici sur le site de l'agence de voyages.

Comme je m'y attendais, il y a une mauvaise surprise, celle du prix. Il a augmenté d'une centaine d'euros depuis hier mais c'était prévisible.

Est-ce dû à la théorie qui veut que plus on visite un site, plus le prix augmente ou alors est-ce la disponibilité qui se fait plus rare et donc le prix plus cher ! Quoi qu'il en soit, le prix final sera bien moins cher qu'en agence physique.

 

Le compte à rebours a débuté lorsque j'ai sélectionné le voyage et que l'on m'a dirigé vers les informations a donné. 25 minutes maximum. Après ce délai, il faut recommencer.

Je dois mentionner le nom, prénom et âge de naissance de la tribu. Je relis les conditions de paiement. Je n'ai pas oublié par téléphone d'augmenter mon plafond de carte bleue. Je relis les dates. On ne sait jamais, une erreur à cette heure si matinale serait vite arrivée, du style partir le 16 juillet et revenir une semaine après !

Ce n'est pas le cas, l'enregistrement se déroule au mieux. Je découvre que je peux choisir les places sans être sûr que celles-ci nous seront attribuées. Ce n'est pas évident de choisir et de trouver les emplacements pour les 4 vols.

Reste le clic final pour valider le paiement. Il est 4h34, je reçois le mail de réservation.

Encore quelques heures pour recevoir les e-billets.

Je vais me recoucher, non sans avoir auparavant remis dans mes favoris, la ville de Denpasar sur le site de Météo France.

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BALI 8 : immatériel

9 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Me voici devant mon ordinateur portable, plutôt à-côté car j'ai un clavier et une souris sans fil.

Je lance ma recherche sur le site au même nom que l'agence de cet après-midi.  Je m'attends à ce que le prix des billets soit plus chers suite à la théorie qui veut que le prix augmente au fur et à mesure des visites que l'on fait sur un site. Notre fréquentation répétée sur un site prouve que nous sommes intéressés par le service et donc il y a augmentation.

Cette théorie, pourtant validée par certaines personnes que je connais, ne le sera pas, bien au contraire !

La première surprise est que je retrouve le même vol, àl amême date, aux mêmes horaires avec la possibilité de choisir les places. La seconde est le prix, il est plus bas de 150 euros ! Je savais que j'avais des frais de dossiers mais pas à ce niveau.

Le lendemain, j'appelle l'agence et je demande des explications car cela me gêne de prendre les billets sur Internet alors que c'est la même entreprise. L'explication vient rapidement : la politique de cette entreprise de voyages est d'appliquer à chaque dossier des frais soit environ 50 euros pour l'agence plus 15 euros de frais de dossier.

La dame me dit que maintenant les compagnies aériennes ne font plus de rabais aux agences de voyages, il faut donc qu'ils se rémunèrent sur des frais annexes ou atures produits comme les assurances.Je lui dis que je vais prendre le billet sur Internet. Elle me comprend et fera remonter l'information à sa hiérarchie. Juste avant ce coup de fil, j'avais entendu une information en provenance de la Société Générale qui voulait fermer 20% de ses agences d'ici à 2020. La raison en est simple : on ne va plus en agence ou si peu. Tout se fait par Internet ou presque.

 

Quelques jours après cela, j'ai reçu un courrier de ma banque m'informant que l'on pouvait maintenant ouvrir des produits financiers à distance, par téléphone avec un conseiller. Pour ceux qui ont une banque en ligne, ils peuvent se faire livrer de l'argent liquide mais c'est payant. La dématiérialisation des services est donc à l'oeuvre.

 

Ma décision est prise, je vais acheter les billets par Internet. Mais, en discutant avec des amis, je lis les conditions particulières de vente et je m'aperçois - comme on me l'avait dit - que selon l'heure, on paye un service. Service qui devient gratuit mais très tôt dans le matin. On peut même avec certains sites avoir des frais, même lorsque le paiement a lieu avec une carte bancaire !

 

Demain, c'est décidé, je me lèverai pour une dizaine de minutes pour économiser quelques dizaines d'euros !

BALI 8 : immatériel
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BALI 8 : NF

6 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

C'est le grand jour et je suis prêt.

L'aéroport de Bali a été fermé hier, c'était le volcan du Rinjani, sur l'îde Lombok qui par l'émission de fumées a bloqué, par mesure de sécurité le fameux aéroport qui côtoie la mer de Bali.

Je pars vers l'agence, l'air léger dans une ambiance brumeuse. Le ciel va se dégager au fil de la matinée. Je retrouve Dominique, la dame de l'agence, je lui dis que mon expérience avec la British a été négative : retard de deux heures sur le premier vol (merci Teache A), retard d'une heure au vol suivant, un aéroport aux mesures de sécurité paranoïaques, un retard au retour et une poussette qui disparaît sur le sol français !

 

Je donne les dates, les contraintes. Celles-ci doivent prendre en compte l'heure de vol aller et retour pour que l'on puisse prendre le tgv qui nous amène (et ramène) à l'aéroport. Je ne veux plus vivre le retour de BALI 6 avec deux valises de 20 kg dans le métro et des escalators qui ne fonctionnent pas.

L'ordinateur tourne et donne la réponse : vol possible avec la Thaï en Airbus A380, avec un départ l'après-midi et un retour le matin. Pas d'interminable attente, une arrivée à Bali à 20h50. Reste le prix :  3 100 euros environ.

Je souris. Je prends les feuilles qui détaillent les vols et donne rendez-vous le lendemain pour confirmer ou pas.

Le soir, je parle du détail des vols, tout le monde est content de retourner à Bali. Mais, le soir, une étincelle de vérification me dit d'aller faire des recherches sur Internet pour vérifier le prix des billets.

Et, ...

La suite Lundi.

 

 

Kuta, la plage, coucher de soleil

Kuta, la plage, coucher de soleil

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BALI 8 : pas de fumée sans feu

5 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Et bien si, il y a de la fumée sans feu et cela se passe à Lombok.

Hier, j'écrivais sur les feux des tourbières qui ravagent des hectares de forêts et aujourd'hui c'est la fumée d'un volcan qui bloque un aéroport, celui de Bali !

Le volcan en question, c'est le Rinjani sur l'île de Lombok, à côté de Bali.

Deux aéroports sur Lombok ont été fermé ainsi que celui de Bali, situé à Denpasar, soit près de 700 vols dont environ 300 vers l'international.

Heureusement, tout se déroule bien selon un responsable.

J'ai failli vivre cela en juillet. La British Airways (que je ne veux plus reprendre) laissait décoller les avions jusqu'à Singapour et ensuite bloquait le dernier trajet.

Cela va--il me bloquer pour ne pas aller en agence demain ?

Certainement pas !

Demain, la grand jour pour savoir si les billets sont abordables, plus abordables pour envisager un huitième voyage !

 

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BALI 8 : le syndrome de la fumée

4 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

A la fin du mois, la COP 21 se tiendra à Paris avec comme pays oublié l'Indonésie. Depuis quelques jours, semaines, le quotidien Libération nous informe des feux qui se propagent depuis deux mois dans l'île de Kalimantan entre autres.

Les feux entraînent des fumées qui ont eu pour conséquence la fermeture d'une dizaine d'aéroports indonésiens. La presse locale n'en a même pas parlé !

C'est une catastrophique écologique sans précédent  : des animaux sont en danger car ils perdent leur habitat, les émissions de Co2 sont plus importantes que celles émises par les Etats-Unis.

L'Indonésie est le premier producteur d'huile de palme au niveau mondial, la destruction de terres serait voulu. Le gouvernement indonsien n'arrive pas à juguler le problème, il a accepté l'offre d'aide des gouvernements de Singapour et de Malaisie pour le prêt d'hélicoptères et de bombardiers. Dans le premier pays musulman du monde, on accepte pas l'idée de l'aide des occidentaux.

Cela me rappelle ce mois de juillet où quelques jours avant notre départ, l'aéroport de Bali était fermé mais pour cause de fumées d'un volcan ! En plus de cela, mes enfants commençaient à être malades (otite et bronchopneumopathie). On était quand même partis mais je m'étais posé la question à quelques jours, voire à deux jours du départ !

La question qu'il faut que je me pose maintenant est de savoir si je vais dans cette agence pour avoir confirmation du prix des billets pas si chers que cela pour l'été 2016, à Bali.

 

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BALI 8 : a new hope

3 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

Dans moins de deux mois sortira la nouvelle trilogie Star Wars sous l'égide de Disney. Succès assuré.

J'ai laissé du temps depuis ma dernière recherche internet sur le sbillets d'avion pour Bali.

Je m'y suis remis et ... surprise ! Bonne surprise sur le prix des billets d'avion.

Ils sont passés de plus de 5 000 euros à plus de 3 000 euros !

Je vais me diriger maintenant vers une agence physique de voyage.

Kuta, la plage, Bali

Kuta, la plage, Bali

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BALI 8 : abandon

2 Novembre 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Bonjour à Tous.

 

Nous sommes début septembre. Par réflexe, je recherche des billets sur Internet, en sachant que plus on fait une demande, plsu on est tracé et donc le prix augmente.

Je n'ai pas besoin de beaucoup de temps pour m'apercevoir que l'été prochain, on restera en France.

Le prix affiché est glaçant même si c'est ma première connexion  !

Plus de 5 000 euros pour 4 personnes : 2 enfants et deux adultes.

Je referme le dossier été Bali 2016.

Je recommencerai peut-être dans quelques semaines. Il paraît meme que le meilleur prix des vols longs courriers est disponible la roisième semaine de janvier. J'ai encore le temps.

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BALI 7 : and then ...

29 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Voilà, c’est fini.

Dernier billet concernant ce drôle de voyage commençait avec une santé préoccupante de mes enfants.

Je sais qu’il faut que mes voyages changent ou alors que je trouve une nouvelle direction pour que je puisse pleinement m’épanouir. Passer de voyageur solo à voyageur en famille n’est pas évident.

Mon périmètre d’autonomie a été limité.

 

Je suis parti pour retrouver le temps passé, sorte de nostalgie, et je ne l’ai que peu rencontré. Il me faudra repenser les voyages notamment sur ce le blog.Si la technologie me le permet et cela n’a pas été gagné cet été, je mettrais des photos pour donner un visuel et des vidéos pour rester encore plus attractif.

 

Entre guide de voyage et journal intime, avec un billet journalier à écrire en peu de temps, la répétition et la structure des billets peuvent manquer de dynamisme. Je n’avais même pas le temps de faire une relecture !

Certes, je ne veux pas vouloir revivre un accident de car comme en  Inde pour donner du piquant à mes aventures. Bali, cela fait 7 fois que j’y vais, ce n’est pas le Cambodge ou la Birmanie.

 

Je n’oublierai pas – bien entendu – la Marmotte. Quand je pense que je l’ai oubliée ! Celle qui m’a suivi au Népal, au Tibet, en Inde, en Asie du Sud-Est.

 

Maintenant, j’ai le temps de réfléchir, de me poser car je ne suis pas sûr de vouloir écrire mes aventures de France et le retour à Bali est suspendu pendant une période indéterminée. Je recherche des destinations qui seraient exotiques et abordables et avec un puissant wifi !

 

Fin de ce voyage, de cette saison, de cet été.

On se retrouve bientôt pour une nouvelle rentrée avec le 10e opus de LASTDAYS qui va prendre un nouveau virage éditorial : moins d’articles mais plus de création.

 

Merci à tous ceux qui m’ont suivi et clin d’œil à Teache A et Fred ;-)

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BALI 7 : le retour

28 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Résumé : 13h50 au revoir Kuta, 19h30 avion, 23h15 départ de Singapour.

 

Tout se passera bien durant ces 13 heures. L’aîné va s’écrouler après quelques minutes de vidéo et le tout petit aussi sur le ventre de sa maman. On n’a pas les places de devant. Je n’ai pas réservé car on ne pouvait être ensemble vu les places réservées pour d’autres enfants. Et il y en a, au moins trois dont un français. Je regarderai deux films (Tomorrowland et Divergente), tous les deux trop longs et facilement oubliables. Je vais arriver à dormir mais pas à me faire comprendre pour le plateau repas : au lieu de comprendre le même plateau pour ma compagne, le steward comprend un plateau pour deux. Cela ne gêne vu que l’aîné a un plateau qu’il ne touchera pas. Le gâteau au chocolat avec l’air bon mais cela n’était qu’une image. La malédiction du piment va continuer avec un plat au bœuf pimenté !

La dernière heure pour mes enfants ne sera pas facile mais ils auront eu une excellente tenue. Je prends mon tout petit pour le faire marcher dans l’allée. Il voudrait aller en première classe mais je lui fais faire demi-tour. Je n’ai pas pensé à lui dire que c’était trop dangereux de ce côté-là !

 

On arrive loin de mes craintes à Londres 15 minutes avant l’horaire prévu. Enfin, lorsque les roues de l’avion touchent le sol car avant de pouvoir sortir, il doit bien être 5h30. On quitte le Terminal 5 pour chercher le bus qui nous emmènera vers le Terminal 3. Il faut marcher pendant un certain temps.  Comme il est tôt, pas de problème de file d’attente pour prendre le bus qui arrive. Tout est parfait. Maintenant, c’est le côté folklorique britannique avec le passage de la sécurité. C’est comme à l’aller mais en moins pire. On doit sortir tous les liquides, les mettre dans un bac, idem pour la nourriture, les objets électroniques. Ma compagne ne peut passer avec le tout petit dans le portique. Je ne sais s’ils ont contrôlé la nourriture dans leur « four » à molécule. Je pense que les mesures de sécurité sont moindres car nous n’avons pas un vol international comme ce fut le cas au Terminal 5.

On m’a raconté que même prendre des photos est interdit et que l’on peut vous demander d’effacer les photos alors que sur Youtube, il doit exister nombre de films sur les déambulations des passagers.

 

On arrive à la porte voulue et on a le temps d’attendre. Si l’avion était arrivé à 5h30 ou pire avec du retard on ratait tout simplement notre correspondance. Ils auraient eu la réponse suivante : prenez le suivant … à 16h !

 

Départ à l’heure et arrivée 1h30 plus tard à Lyon, après un dernier sandwich pas bon. Nos bagages arrivent … mais pas la poussette ! Sur le tapis roulant, il n’y a que 4 valises et dans l’aire des valises, il n’y a que nous ! Direction le service des objets en attente. La réponse arrive vite : la poussette arrivera lors du prochain vol à 18h30. Me voici avec deux enfants, deux valises de 22 kg, un sac de 10 kg, une sacoche contenant l’ordinateur et le sac pour les enfants ! Merci la British.

 

Heureusement qu’il y a des chariots … mais il faut mettre une pièce d’un euro que l’on n’a pas ! Merci l’aéroport de Lyon ! Bien sûr, il y a un distributeur de jetons mais ce dernier est hors service. Nul !

Il nous reste une pièce de 200 roupies mais celle-ci est trop grande. Par chance, celle de 100 passe. Sauvé. Direction le tramway. Avec le retard pris par l’attente de la poussette, on va rater au moins deux trams donc 30 minutes. Je vois en arrivant le dernier wagon du tram qui s’en va, c’est encore plus râlant. Deux tramway de rater mais aussi un train cadencé toutes les heures. Il y aurait eu la possibilité de prendre un tgv mais celui-ci ne nous aurait pas amené au centre-ville.

 

Il nous reste encore un bus et de la marche. Dans le train, je remarque que certains aiment mettre leur sac sur le siège à côté d’eux au lieu de libérer la place. On est en France ! J’ai même vu, une femme avec une poussette pour ses jumeaux (garçon et fille) demander à un jeune de se lever son siège près des portes pour pouvoir sortir !

De retour dans ma ville, je vais un tout petit détour pour prendre un programme de cinéma qui nous fait rater de 20 minutes le bus ! Il fait chaud et on commence à être fatigués. Dans le bus, je n’appuie pas assez fort sur le bouton (je prends rarement le bus et aujourd’hui nous sommes les seuls dans le bus ) et on rate notre arrêt. Deux minutes de marche en plus, en plus des cinq pour arriver à la maison.

Départ jeudi 13h50, retour vendredi 13h50 avec 6 heures de décalage … soit 30 heures de trajet.

 

Les enfants vont vite retrouver leurs marques et leurs jouets. Mon tout petit prend la vieille voiture à pédale, son grand frère prend la sienne. Ils sont contents d’être ici et de retrouver leurs peluches. Le jardin a été asséché par la température, c’est presque un massacre. Les plantes intérieures ont été trop arrosées !

 

Passage en revue du courrier, rangement de la valise et découverte de nourriture que l’ami Teache A a préparé pour nous ! Ce soir otut le monde va facilement s’endormir, sauf moi qui écrit ces lignes.

 

Il faut que je décroche, un dernier billet demain.

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BALI 7 : Last day

27 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Voilà, c’est fini ou presque.

 

La matinée sera classique : révei, petit déjeuner, piscine avec vers midi dernier warung avec un chicken curry.  Retour à l’hôtel vers 13h, attente du taxi. J’en profite pour me changer : je troque mon short contre un pantalon et abandonne mon vieux tshirt troué acheté au XXe siècle au concert d’Arno contre celui de Bali, celui du départ.

 

Le taxi sera là bien avant l’heure et nous serons àl’aéroport très tôt avec une circulation fluide. Le prix sera le même que celui affiché sur le tableau à mon arrivée (80 000 roupies= car le taxi me fait payer la péage (5 000) et le compteur a changé pile lorsque nous sommes arrivés.

 

J’ai le temps d’appeler une dernière fois Fred qui va revenir en France dans quelques jours. On a deux heures d’attente avant que le guichet ne s’ouvre. Il est 16h30. On n’aura que les billets pour ce vol qui nous amène à Singapour. On en profite pour se libérer de la poussette que l’on retrouvera à Lyon.

 

Passage à la douane sans souci, direction la porte qui tarde à s’afficher. L’aéroport de Denpasar a changé, il est devenu plus moderne, plus commercial avec des prix qui suivent. Au minimum, les prix sont multipliés par deux. J’ai vu un jus de fruit à 52 000 roupies (au lieu de 10 000).

Derniers coups de fil à la France et nous voici à la porte 11. Pour pas longtemps car 10 minutes avant le départ, on nous fait changer de porte, on passe à la 10. En fait, il y a une inversion de porte. Certains qui arriveront en retard à la porte 10, devront courir pour aller à la porte 11, heureusement proche.

 

On va donc partir en retard mais je ne me fais pas de souci. On arrive au Terminal 3 à Singapour et on doit aller au Terminal 1 par un train automatisé. Il y en a toutes les 1 à  4 minutes et il faut 3 minutes pour atteindre le terminal. Et pourtant …

 

Le plus difficile ou presque de ce voyage va être de réveiller l’aîné qu s’était endormi tardivement dans ce court vol (1h30 je crois). La première tentative est infructueuse, la seconde aussi. A la troisième, il se met à pleurer mais obtempère pour sortir de l’avion.

 On sort tranquillement et je vois un (vieux) monsieur avec une feuille format A4 où est inscrit mon nom sur une liste de quatre. On vient nous chercher avec une voiture qui ressemble à un petit train avec deux wagons à gros pneus. On va traverser les terminaux pour arriver au guichet, avoir nos billets et … embarquer !

Ils sont très forts à Singapour. Le départ aura lieu à l’heure vers 23h15 avec une arrivée prévue 15 minutes avant l’heure. Lors d’un vol de nuit, les retards sont moins fréquents.

 

La suite demain.

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Clip sur Marcello

26 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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BALI 7 : Marcello

26 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Un voyage à Bali sans Marcello ne serait pas un voyage.

 

Alors que nous marchions dans la rue, à contresens de la Legian (la grande route à sens unique), on nous klaxonne, c’était Marcello qui nous a reconnu deux ans après ! Il nous dit qu’il travaille au poste 7. On lui dit que l’on passera le voir mais le jour dit, il ne sera pas là. Le poste est loin à pied (une heure environ avec les enfants) et je vais souffrir d’une tendinite.

 

Et puis, un jour, en demandant aux sauveteurs de notre zone (le poste 3), nous apprenons que Marcello est au Poste 1, autrement dit au début de la Pantai Kuta, à 20 minutes à peine à pieds. Nous décidons d’y aller.

De loin apparaît le poste, une sorte de tour qui permet de scruter l’horizon mais sert surtout de remise pour les sauveteurs. Marcello est là et nous reconnaît. IL me prend dans ses bras et a le sourire. Mon aîné va vite s’habituer à lui et jouer avec. Je lui présente mon second fils et lui montre la photocopie de son passeport qui mentionne en second prénom … Marcello.

Il veut me la rendre mais je lui dis que c’est pour lui, il est touché.

 

Il va me raconter ses deux dernières années. Je me souviens qu’il devait venir pour une compétition de surf à Biarritz mais cela ne s’est pas réalisé. Par contre, il est venu en France, à Montpellier pour jouer sa musique mais il n’est pas resté longtemps. Il a deux contrats pour faire des concerts un dans les pays de l’est et l’autre à Las Vegas. Il ne sait s’il gardera son poste de sauveteur.

 

Il me dit avoir voulu abandonner car il avait une lassitude à toujours avoir à faire la police avec des gens qui ne respectent pas les règles. Lorsqu’il était en poste vers le Kudéta (bar du bord de mer des personnes qui veulent se faire voir et qui ont de l’argent), il me dit que c’était ennuyeux, il n’y avait rien à faire. Je remarque sur l’un de ses orteils une blessure, elle a été causée par un surf ; le sable le fait souffrir. Il va continuer à souffrir car le lendemain il aura un semblant de grippe. Il refuse de prendre des cachets mais le médecin lui fera une piqûre et cela ira mieux. Il se promènera avec une serviette sur la tête pour se protéger du soleil.

 

 Mais, la grande nouvelle pour lui, c’est d’avoir eu sa fille qui est née deux jours après mon fils. Elle s’appelle Kenya. Pourquoi ? Je ne sais pas mais j’aime la consonnance de ce prénom. Sa petite est blondinette avec des cheveux fins (comme mon second fils) car sa maman est polonaise. Ils se sont mariés. Sa femme a une boutique : The butter (http://butterbali.com) où elle confectionne des pancakes. Il est heureux avec sa fille et me dit « happy wife, happy life ! ». Je ne peux qu’acquiescer avec cette pensée pas si facile à trouver tous les jours !

 

Chaque matin Marcello remercie le Seigneur d’avoir une fille sans ennuis de santé. C’était mon premier désir pour mes enfants. Ensuite, qu’ils soient beaux, c’est un peu normal, c’est une marque de fabrique dans la famille ;-)

 

On aurait dû manger avec Marcello un jour à mdi mais avec les enfants et la marche cela ne fut pas possible, encore moins lorsque mon second reviendra de notre second voyage en taxi avec un rhume. On passera tout de même trois après-midi, les trois dernières avec lui et ses copains. On retrouvera le jeune franco-indonésien qui est sauveteur. Sa mère est française et son père indonésien mais il a tout d’un européen. C’est lui, il y a deux ans qui avait fait faire du quad à mon aîné.

 

Lorsque que nous marcherons vers la mer, il voudra attraper un petit poisson mais s’apercevra que c’est un poisson comme les vives (une épine dorsale venimeuse). Même lorsque mes enfants seront sur la plage, il les regardera, lorsqu’il voit un sac en plastique sur la plage, il le ramassera.

 

Il y aura une alerte : deux nageurs qui n’ont pas voulu entendre les appels des sauveteurs et qui auront peut-être du mal à rejoindre le bord. Fausse alerte mais deux sauveteurs sont partis dont un avec un surf, le même sur lequel j’avais été il y a quatre ans lorsque le courant m’emportait et que Marcello était venu me sauver.

 

Deux jours sur trois, nous assisterons à la course des bébés tortues pour aller vers la mer. C’est une attraction qui à chaque fois reçoit un maximum d’affluence de touristes. Ils ont des œufs de tortues qu’ils ont recueillis et les mettent dans le sable. Chaque fois qu’il y a éclosion, il y a un lâcher de tortues. Quand je pense que lors de mon premier voyage, j’ai mangé de la tortue proposée par un restaurant. Depuis, l’espèce est protégée et avec cette association, le nombre de bébés tortues est presque en constante augmentation (20 000 dans mon souvenir). Il faut savoir que sur 1 000 bébés tortues lâchés seule une tortue deviendra adulte. Lorsque je nagerai, il m’arrivera de voir des petites têtes déhttp://www.liberation.fr/passées de l’eau !

 

Je voulais acheter une robe à la fille à Marcello mais cela n’était possible que le soir et le soir, les minutes sont passées trop vite avec mes enfants. J’ai tout de même pu lui donner deux cartes postales avec l’adresse de mes enfants pour qu’il me donne de ces nouvelles. Marcello n’est pas du genre à utiliser les technologies de communication, sa femme plus.

 

Il est temps de se quitter – comme de terminer ce billet qui aurait pu être plus long – c’est notre dernière après-midi, notre dernier coucher de soleil. On le passe avec Marcello. Mon aîné tient avec lui les drapeaux de baignade tandis que moi je suis avec mon tout petit avec les drapeaux ‘ne pas nager dans cette zone’.

Si l’on m’avait dit qu’un jour, je porterai ces drapeaux avec mes enfants, je ne l’aurais pas cru une seconde. Le soleil se couche, il est l’heure de partir. Marcello travaille à l’heure où nous partirons. Il offre à mes enfants un jouet à chacun (des minions avec lumières et musiques – mais le tout petit va avoir peur de cela !). Il me dit de monter dans sa tour et me montre un tshirt de sauveteur en me disant que c’est pour moi. Il me l’offre pour le respect que j’ai pour lui , la mer, les sauveteurs ; pour ma fille, ma vie simple. Je suis fortement touché. Connaître le prix de tout et la valeur de rien. Rien que pour ce tshirt, j’aurais fait ce voyage à Bali. Il me dit qu’il faudra que je le lave. Je n’en ai même pas envie ! Il me l’emballe dans un journal papier car ce n’est pas tous les jours qu’un tshirt de sauveteur peut être offert !

 

On se sert une dernière fois dans nos bras et Marcelle me dit ‘Take care’.

Toi aussi Marcello et à bientôt par photos interposées maintenant que j’ai l’adresse mail de ton épouse. Mais cela tu ne le sais pas encore.

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BALI 7 : à éviter

25 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Juste avant de vous laisser, demain, un petit tour de la vie à Kuta, celle que je n'aime pas.

 

Kuta est un lieu qui peut être assourdissant, énervant avec tant de situations qui font que vous pourriez avec raison vouloir l'éviter ... mais cela serait dommage.

 

Tout d'abored le bruit dans les rues dû en grande partie à la circulation. C'est le problème principal avec le développement du crédit qui a permis le développement des ventes de scooter. D'un côté tant mieux pour les indonésiens. Ce qui est énervant, c'est de croiser dans de petites rues de si grosses voitures. Dans la Benesari, la rue est à sens unique mais il arrive tout de même que deux grosses voitures se croisent ! Ces voitures et scooters engendrent de la polution. Après la douche et deux heures de balade, il vaut mieux se passer un cotondémaquillant sur le visage. Heure de pointe à éviter 17h30/18h30 sur la Pantai Kuta.

 

Enervant aussi car cela n'est pas dans notre mentalité de devoir négocier les prix, toujours dans les boutiques, la pharmacie et même avec la police. Ce qui pourrait paraître une coutume avec ses bienfaits (tisser des liens) s'assimile plus à de l'arnaque. Lorsque je demandais le prix d'un taxi pour aller visiter Amed, le prix annoncé commençait à 800 000 vite baissé à 700 000 lorsque je partis. Le prix du marché était en fait de 500 000. Pour échapper à cela, choisir les boutiques qui affichent un prix fixes.

Anecdote. Je cherchais un taxi pour nous amener à l'aéroport. Je connaissais le prix 80 000 car certains vendeurs affichés 85 000 (mais cela devait ^trep ar personne) mais surtout j'avais trouvé une personne pou nous amener à ce prix mais avec l'inconvénient que c'était à nous d'aller le voir, donc de marcher.

Je vais sur la Pantai Kuta où trois taxis sont l'un derrière l'autre. Je m'avance vers le chauffeur de l'un deux en leur disant que je voudrais à l'aéroport mais pas pour aujourd'hui. Je rajoute, je connais le prix alors si tu me dis 100 000, je m'en vais ; si tu me dis 90 000 je m'en vais. Le gars me dit alors "quel est ton prix ?". Je lui réponds "80 000" et tout de suite après il me sort "100 000". Je le quitte sans entendre son prix qui baissait.

 

Pour les taxis, préférez la compagnie Blue Bird qui affiche le taxi meter et qui a un centre de réservation. Il faut renouveler l'appel souvent car souvent le standart est occupé. Conseil, il vaut mieux entrer dans le taxi et partir même et surtout si ce dernier arrive car le compteur tourne. Ne pas oublier qu'il vous fera payer le péage (5 000).

 

Pour les estomacs sensibles, cela va être difficiles car de nombreux plats, de nombreux restaurants et warungs font des sauces pimentées ce qui rend les plats immangeables pour ceux qui ne sont pas habitués. Unjour je demande 'tidk spicy' ou 'tikak sembal' mais cela ne suffit pas car dans l'élaboration des plats s'il ne rajoute pas du piment, ils mettent de la pâte pimentée dans la sauce. C'est comme en Inde où un jour, on me propose des épinards en me demandant 'spicy or not spicy'. Je vais me la jouer humble et refuser le piment. Et bien, même en prenant ce plat pas épicé selon eux ma bouche était en feu.

 

Ce que je n'appricécie pas, ce sont les regards des filles dans les salons. On remarque tout de suite, les filles qui viennent de Java ou d'ailleurs et qui ont un regard vicieux. Là, c'est du vrai. Je perçois le vice. Jamais je ne suis rentré ou rentrerait dans ce type de salons.

 

Pour presque finir, les trottoirs (suite presque logique au paragraphe précédent). Soit il n'y en a pas, soit ils sont défoncés ou pas à la même hauteur. Avec une poussette, c'est énervant lorsque vous vous retrouvez bloquer. Le pompon, c'tait il y a quatre sur la Pantai Kuta; Il y avait un plaque (style 80 cm sur 1.5 m) qui était absente, ce qui était dangereux la nuit ! Ils avaient simplement mis des longs bambous pour le signaler.

 

Enfin (mais je pourrais en rajouter), le problème des chambres. Au Komala, ils utilisent des ampourles 20 watts. Le soir vous ne voyez presque rien et impossible de lire. La parade : acheter des ampoules 18 watts qui éclairent au moins 80 watts. Achetez ces ampoules dans le pays car si vous apportez celles de France, vous risquez de faire disjoncter !

Le reproche du Komala, c'est qu'il ne veulent pas faire de travaux ou alors le faire qu'en ultime recours. Les chambres sont propres mais le service ensuite laisse à désirer. A peine qu'ils nettoyaient la terasse. Il fallait quémander un balai. Notre ancien bungalow d'il y a deux est en cours de rénovation. Ils ont attendu deux ans pour refaire le plafond et la salle de bain. Ils réparent aussi le placard. Les meubles en fait doivent dater d'une vingtaine d'années et ils ne songent même  pas à les remplacer pour égayer un peu les chambres.

 

J'ai connu un français qui en lisant sur un guide, bien connu des français, que Kuta était un lieu de perdition, n'a pas voulu rester. Cela est dommage car malgré tout cela, on peut trouver des endroits et du calme avec des relations qui sont vraies dans un partage, même si le langage peut limiter cela.

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BALI 7 : God bless you

24 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

On est dimanche et la dernière courte semaine s’annonce.

On va enchaîner deux jours de congé : le dimanche et demain la fête de l’Indépendance. Il y aura encore plus de monde et encore plus d’indonésien sur la plage à partir de 16h30, car avant, cela ressemble presque au désert de Gobi (que je ne visiterais pas tout de suite).

 

On croise souvent notre ancien voisin allemand qui marche pieds nus : au Warung situé au 49 en allant sur la place de Patimura à gauche, au jus de fruits et sur la plage. J’ai remarqué un autre personnage sur la plage : un monsieur aux cheveux blancs. Il est indonésien, cela est certain. Il est tout maigre, grand mais maigre comme sorti d’une longue maladie. Je l’ai remarqué d’abord par son allure mais aussi parce que je l’ai vu joué au frisbee … tout seul ! je l’ai croisé un matin en scooter et aussi un soir, en attente de se faire véhiculer.

 

En cette fin de voyage, les personnages les plus sympathiques resteront le tenancier du Warung Seven (à gauche au carrefour du Frog, tout droit) ; Nawill le frère d’Asli mon marchand de maïs, le sauveteur de notre zone en juillet et bien entendu Marcello, mon sauveteur.

 

Aujourd’hui, du classique ou presque. Le tout petit se réveille le premier vers 6h30. Je continue à dormir. L’explication est qu’il serait réveillé par la lumière du jour. Il ne fera qu’une sieste de 45 minutes et s’écroulera vers 20h30.

 

Cet après-midi sur la plage, lors du retour, il a fait rire une demi-douzaine d’indonésiens qui le regardaient marcher. Il marche, il s’arrête, montre le ciel avec son doigt (« doigt déique »), continue à marcher, titube mais ne tombe pas. Il a compris que pour se faire aimer, il faut donner. Il a aussi compris qu’en tant que second, il devait faire plus d’efforts que son aîné qui aujourd’hui n’a pas été insupportable, même s’il voulait ce soir un gâteau qu’il n’a pas eu car Nawill (notre marchand de maïs) lui  avait acheté des cacahuètes et un gâteau au chocolat au tout petit. Les deux ont compris que le gâteau au chocolat est meilleur que le maïs !

 

Ce soir, j’ai donné deux cartes timbrées à l’adresse de mes enfants pour avoir des nouvelles. Il y a deux ans, j’en avais donné une à son frère mais je n’ai rien reçu. Ce qui doit être un frère de Nawill prend mon adresse facebook, même si je n’y vais que très rarement. Je suis old fashion dans mes relations, je n’arrive pas à livrer ma vie à des dizaines de personnes par un symbole j’aime. Pour donner une information style ‘on est bien arrivés’ ou autres, cet outil peut-être intéressant mais pour le reste, je n’y arrive pas du tout. Trop d’informations tuent l’information.

 

Ce matin, en allant acheter des fruits pour la dernière fois, on passe devant l’église. La messe est en anglais, il y en a une autre en indonésien une heure avant ou après. Il y a de la musique, on entre.

Une indonésienne a un micro et chante les paroles  vidéo projetées sur un grand écran. L’ambiance est chaleureuse, deux personnes lèvent les bras, il y a un groupe qui joue la musique.

Sur l’écran, le titre en est « Dieu est ton ami », le refrain « si tu l’appelles, il te répondra ».

 

Cela me fait penser à Don Camillo. Il y a deux scènes que j’adore : celle où Don Camillo à la fin d’un film, suite à une inondation, reçoit une planche sur la tête et se retrouve dans une barque ; en ouvrant les yeux, il voit des lumières blanches autour de lui, comme un halo et lorsqu’il voit Peponne, il dit « Seigneur, je suis en enfer ! ».

L’autre scène est plus profonde. Cela doit être dans le premier épisode avec Fernandel (le dernier film de la série n’est plus avec lui suite à son décès au cours du tournage). Don Camillo, porte la croix (au sens propre) vers son église, c’est la nuit, il trébuche et lorsque le Seigneur lui parle, Don Camillo lui dit « enfin Seigneur, vous me parlez enfin » et le Seigneur de lui répondre « C’est Toi Don Camillo qui ne m’écoutait plus ».

 

Cela me fait penser à mon neveu qui n’a pas entendu la voix, qui n’a pas vu les voies qui s’offraient à lui, enfermé par lui-même dans une spirale dont il commençait à sortir. C’est comme avec mes enfants, ils savent marcher, se tenir droit face aux vagues (au moins le grand) mais ils ont besoin de ma main, que dis-je quelquefois d’un doigt pour les aider. Ce n’est pas le doigt qui les aide mais plutôt l’idée qu’ils sont aidés et donc qu’ils peuvent affronter les éléments avec confiance.

Qu’un enfant mette la tête sous l’eau tout seul alors que quelques semaines auparavant, il ne l’aurait jamais fait relève d’efforts et d’un changement d’attitude énorme.

 

En quittant l’église, une personne nous dit ‘God bless you’.

Bénis soit alors ceux qui lisent mon blog, les surfeurs qui respectent la zone des baigneurs, les personnes qui aiment, les personnes de bonne volonté, ceux qui jouent au frisbee tout seul et tous les autres que j’ai oubliées, sans oublier mon neveu ; même s’il n’a jamais été baptisé.

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BALI 7 : The impossible dream

23 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Les vacances se terminent doucement mais pas l’été.

 

Lors de notre première soirée au Lusa, une dame est passée pour nous demander si l’on savait régler l’heure de son smartphone car elle avait besoin de régler son alarme pour son départ dans une autre ville. Je lui réponds que je n’ai pas de smartphone mais je vais essayer … sans succès. En discutant, je lui dis que je pense visiter dans quelques années la Mongolie. Elle me dit qu’elle a fait ce voyage il y a quelques années avec un guide et veut même me donner son nom.

Elle me dit que la Mongolie est intéressante dans les paysages et qu’il faut marcher pour les découvrir. Elle croit qu’avec mes deux enfants en bas âge, je vais partir l’été prochain. Cela sera dans la prochaine décennie au minimum.

 

Pas très loin de notre bungalow, celui qu’aura Fred en décembre, le bungalow 411,  il y a une petite fille de 6/7 ans qui passe dans l’allée. Elle va lier contact avec mon aîné et tous les deux vont découvrir le Lusa en se cachant et se courant après. Elle a l’air d’une petite princesse brune qui ne parlerait pas. D’ailleurs, elle ne parle pas. Au début, je croyais qu’elle était muette ! Elle ne s’exprimait que par des gestes, aucun son.

Et puis, au fil des jours et surtout avec la rencontre avec sa maman, j’ai su qu’elle savait parler !

Sa maman est américaine et son papa péruvien. Ils voyagent beaucoup. Après l’Indonésie, cela sera la Corée puis retour aux Etats-Unis pour voir la famille de la maman avant de repartir. Jene lui ai pas demandé son activité mais leurs revenus leur avait permis de visiter cinq jours la France pour aller à Disneyland et de nombreuses fois à Disneyworld. La petite Agustina ne va pas à l’école, c’est l’école à la maison et plus précisément en voyage. En France, elle a visité le Musée d’Orsay. Un jour, mon fils lui a offert un bracelet et Agustina est venue ensuite lui donner un coquillage. Malgré la différence d’âge, ils s’entendaient bien car la petite n’avait pas beaucoup de contacts. Son père était peu présent, il avait un surf ; par contre sa maman était souvent au bungalow avec l’ordinateur. Ils sont partis deux jours avant nous et devez se lever à 6 heures du matin pour prendre un bateau. On s’est échangés nos mails, peut-être aurais-je des nouvelles car je crois avoir perdu le papier de son adresse.

 

Les derniers achats ont été faits. Au fur et à mesure des voyages, je rapporte de moins en moins de souvenirs et plus en plus des aliments : thé, café, boisson café noisette, cône pour les oreilles, boissons énergisantes, sauces et cette année, une petite noix de coco. Je n’en ai pas goûté beaucoup vu que mon marchand n’est pas revenu après le ramadan.

 

Cette fois, c’est acté et payé. J’ai réservé et payé les trois bungalows pour Fred pour le mois de décembre. C’est plus sûr et cela sera un gain de temps. En plus, l’avantage d’être au Lusa est qu’ils viennent vous chercher à l’aéroport gratuitement.

 

Un jus de mangue s’imposait le soir, pour aider à manger la friture en face du stand. Dans le personnel, il y a une jeune fille qui aime bien mes enfants surtout le tout petit. A chaque fois, elle ne pouvait s’empêchait de lui voler un bisou. J’ai remarqué ces derniers jours que le patron typé chinois était là. Cela donnait une autre ambiance pour le personnel. Ces chinois, ils ont souvent des bagues avec une sorte de pierre.

 

Mes enfants se sont fait souvent voler des bisous. Ce sui est drôle c’est lorsque l’on allait à la plage, en passant devant le salon de massage. Il y avait une dame, Yulita je crois, que l’on connaît car elle aimait jouer avec  mon premier fils à l’époque. Comme celui-ci refuse, elle le fait avec le second qui joue le jeu et qui sait maintenant ce qui va lui arriver. Les filles du salon aiment bien le toucher, faire un give me 5 (taper leur main contre la sienne) et même lui faire un bisou. Ce qui est drôle, c’est qu’il m’arrivait de passer seul dans cette rue et devant le salon de massage, et bien c’est comme si j’étais invisible même si les filles me voyaient !

 

Mon tout petit s’est encore fait prendre en photo sur la plage. Cela é été plus discret cette année. Si je ne l’ai pas déjà écrit, il a battu en partie le record de son frère. Sur la plage autour des deux frères mais surtout du tout petit, il y avait 17 personnes. Pas toutes en train de le photographier mais autour d’eux, autour de lui !

 

Plus le voyage avance et se termine, moins l’envie de revenir est présente. Il me faudra laisser écouler du temps. Mais, plus le temps passera, plus le coût de la vie augmentera. Il a été de 50% en roupies courantes en deux ans pour mon budget. Augmentation qui a été compensée par la hausse de la parité de notre monnaie face à la roupie (au moins 15%). Lors de mon troisième voyage, j’avais fait un périple en bateau vers Florès en passant par l’île Komodo où se trouvent les fameux dragons (lézards géants). Les prix ont dû être multipliés par dix en dix ans ! Si à quatre, on amortit le prix d’un taxi, il n’en est pas de même pour un avion ou un bus.

Bien entendu, le Komala restera mon hôtel de prédilection, je trouverai encore des warungs sympathiques et peu chers mais comme à Bangkok, on passera de chambres à 50 baths à Kao San Road à 500 (1 euro = 40 baths). Il est vrai qu’en valeur absolue, ce que l’on peut dépenser  quatre en cinq semaines est ce que l’on dépenserait en une semaine en France dans une location.

Mais, dans un budget voyage, le prix de l’avion et des transports changent la donne. Maintenant, on a un coût en moins avec la disparition du visa pour 30 jours, à condition de donner une adresse d’hôtel sinon, si vous dîtes que vous allez chez des amis, vous devez la payer !

Le premier changement du futur voyage, s’il y en a un, cela sera la durée qui sera inférieur à un mois. Lorsque l’on ne vit pas à Paris ou ses alentours, cela est une dépense supplémentaire. Et plus encore, si l’on a recours à une agence, le prix du visa est doublé et vous devez en plus un courrier Chronopost pour recevoir vos passeports. D’un côté, dommage, c’était l’occasion de faire des photos chez un photographe.

 

 

Si j’avais un autre, un dernier voyage à Bali, mon programme serait d’abord indonésien à savoir une visite à l’ami Fred à Sumatra et quelques jours au lac Toba. Puis, vol vers Jogjakarta pour quelques jours avant de prendre le ferry pour Bali. Kuta puis quelques nuits à Ubud et Amed pour finir avec les vagues en n’oubliant un coucher de soleil à Ulu Watu.

 

Il est un autre voyage qui se fera, c‘est évident. Espagne, Madrid,face au musée de la Reune Sofia, une terrasse de bar. Il y aura Teache A à côté de moi et sur la table, une bière et une glace. Car, il y a 522 jours, Teache A était à cet endroit lorsqu’il a reçu mon sms. Il l’a lu et s’adressant au garçon a dit : « Remettez-moi la même chose ! ».

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BALI 7 : Amed tour

21 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

C’est parti pour un deuxième tour dans Bali en taxi, de 8h30 à 20 heures.

 

Toujours Komang aux commandes, il parle peu mais sait donner des informations.

On va commencer par la visite d’un palais où se déroule une cérémonie. Les balinais sont pratiquants, vraiment. Il vaut mieux, face à des musulmans qui sont plus nombreux (premier pays musulman du monde) et qui ont tendance à se radicaliser danscertaines régions.  Komang nous dit que l’on doit mettre un sarong mais que le prêt est gratuit, il se trompera. On assiste à la fin de la cérémonie avec les balinais habillés dans leur habits typiques. Dans cet espace, il y a des baobabs géants, imposants. je rencontre un couple d'autrichien qui veut queje les prenne en photo. l'homme d'un certain âge me dit qu'il était venu ici il y a des dizaines d'années.Ensuite, on traverse la route pour se retrouver sur la plage au sable noir où personne ne se baigne. Les vagues qui arrivent sur le rivage sont fortes.

 

Il est déjà 10h30, direction un village typique. Typiquement touristique. A c’est l’entrée, il demande une donation pour visiter un village fantôme (les personnes travaillent dans les champs) où notre guide demeurera sympathique jusqu’au moment où en nous menant vers un atelier de sarongs (comme pour l’atelier d’argent en allant à Ubud), nous demandons le prix.

Dans ce village de 500 personnes, on dirait que les femmes qui travaillent le font uniquement lorsque des touristes arrivent. Dans cet atelier, je remarque tout de suite, au fond de la pièce, la machine pour la carte bleue. C’est mauvais signe. Le prix aussi. C’est le même que celui dans les magasins (comme il y a deux ans avec le café obtenu avec les mangoustes). A ce niveau, on ne négocie même pas et on finit la promenade. Notre guide ne nous parlera preque plus. Je pense qu’ils pensent que l’on peut arnaquer les touristes ou que l’on peut vendre dès qu’il y a des touristes. Ce n’est pas la phrase d’un prix plus bas qui va changer notre décision.

Je demande à Komang pourquoi comme pour le café, les prix sont les mêmes qu'au Mata Hari et il me répond que la matière première coûte cher. Son explication ne me convainc pas. il me dit que pour le café, cela coûte cher mais il oublie que le café - pour celui avec la bête qui mange les graines - est payant pour une dégustation.

 

Il est temps de manger, nous sommes à Candi dasa (chandi dazen). Nous allons dans un warung local qui a des prix plutôt touristiques, un peu trop même. je reconnais la ville que j'ai visité deux fois. la première fois, c'était presque comme sur la carte postale illustrée par un coucher de soleil aux couleurs violettes. la deuxième, ce fut une déception.

il faut dire qu'il y avait au large de Candi dasa - à ce que j'ai lu il y a longtemps - du corail qui était utilisé pour faire du ciment. mais, à force de le prélever, la mer emportait les terres. ils ont donc construit de longues digues, les unes à côté des autres ... en ciment. Depuis ce voyage, je ne voyais plus l'intérêt d'aller dans cette ville.

 

Sur les conseils de Fred, nous voici à Tirta Ganga où il y a un palais de l'eau. Lorsque Fred l'a visité, l'entrée était gratuite et seule l'accès au plan d'eau pour se baigner était payant maintenant, l'entrée est payante (20 000 roupies) ainsi que le plan d'eau. Il y a un côté calme à voir ces bassins et la fontaine face à la température ambiante (proche des 30°).

Je rencontre deux jeunes français qui veulent que je les prenne en photos. L'un d'eux a une caméra gopro sur la tête. Il a pris le meilleur modèle de l'ancienne génération. Il me dit que la qualité de la vidéo demande tellement de mémoire que son ordinateur ne peut le lire. C'est à partir de cette rencontre que l'idée d'insérer des vidéos dans mes futurs voyages est venue. Restera le souci de télécharger les vidéos ; il audra que je choisisse un format de basse qualité. Je pense aussi aux images que pourrais prendre dans les vagues. Les deux jeunes vont aller sur Gili, payer 300 000 roupies à l'aller, et pour l'un d'eux finir à l'hôtel Best western car je leur ai donné le prix et cela n'a pas eu l'air de les choquer !

 

Pour finir,on va voir Amed. je n'ai pas un bon souvenir de cette ville qui longe une plage de sable noir parsemée de bateaux. On parle français pour donner un baptême de plongée. Amed est proche de Tumbalen où l'on peut faire du snorkling et de la plongée. c'est un véritable aquarium grâce à une épave de bateau nommé Liberty. Komang nous amène en hauteur pour avoir un beau panorama. je le connaissais car je suis quelques jours sur cette ville. ce que je n'avais pas du tout apprécié, c'était le fait d'être captif car Amed s'etend sur des kilomètres et sans moto, on est vite restreint, sans parler du soir. J'avais arpenté la plage et même acheté un paquet de fleur de sel a un marchand, il y a quelques années et j'avais même réussi à trouvé un masakan qui finissait par me connaître.

 

Il est temps de partir dans la même direction que l'on avait prise avec Fred avec des montées et de fortes descentes. Mon tout petit ne supportera pas deux fois. On s'arrêtera sur cette route qui quelquefois à tendance à presque disparaître. heureusement que l'on avait des serviettes ! Les conducteurs indonésiens semblent tenir à leur carosserie. J'ai oublié de conter une scène sur la pantai Kuta. Un touriste avec son scooter qui avait un porte surf avait dû touché la grosse voiture d'indonésiens. Ils discutent sur la route (mais sans avoir la possibilité de se garer) lorsqu'un indonésien de la voiture, viens prendre la clé du scooter ! Je ne sais pas la suite, on poursuivait notre chemin.

 

On va faire une boucle pour le retour et sur ce chemin, Komang me demande si je veux aller voir un auter palais. Vu l'heure et l'endroit où l'on est, je prefère un retour direct. Le voyage comence à être long. La nuit va commencer à tomber et on commence à être fatigués. On rentre dans la nuit, il est presque 20 heures ; Komang réussit à prendre des raccourcis. avant de partir je demande à Komang, le prix pour aller à Nusa Dua puis Ulu Watu. Il m'annonce un bon pix 350 000 mais il se trompe encore. C'est le prix et non pas un bon prix. Je ne sais ce qui va me traverser l'esprit mais je décline son offre. J'en ai un peu assez d'avoir toujours à négocier sur des prix qui escroquent les touristes. C'était un tour de 4 heures et il me demandait de payer presque le même prix qu'aujourd'hui - il est vrai négocié grâce à Fred ! Peut-être aussi que je garde l'endroit d'Ulu Watu comme un objectif pour en terminer avec Bali.

 

Pas de maïs ce soir, nous sommes trop fatigués, comme moi, ce soir qui sombre dans le sommeil. La bonne nouvelle de ce changement de plan, c'est que l'on va pouvoir voir Marcello plus longtemps les derniers jours qui viennent.

 

 

 

 

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Serie : Derriere Toi la Marmotte ....

20 Août 2015 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

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