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Cette carte est un appel au meurtre !
Non, je n'avais pas cette carte. Je ne les ai pas toutes pour avoir le plaisir d'en découvrir. Elles sont trognonnes ces marmottes avec leurs biscuits. Pourtant, cette photo où plutôt une affiche a été - et je pèse mes mots - meurtrière en Suisse. Une publicité montrait un enfant donnant un biscuit à une marmotte. Les touristes ont donc renouvelé ce geste en oubliant que les marmottes ont besoin de graisses pendant leur hibernation. une graisse qui ne provienne pas que de biscuits et qui puisse fournir de l'énergie.
En mangeant ces biscuits, les marmottes n'ont pas constitué leurs réserves naturelles de graisse et lors du réveil de l'hibernation, elles n'ont pas pu avoir leur apport énergétique pendant la durée nécessaire et sont donc mortes de faim. S'il vous plaît, ne donnez jamais de biscuit aux marmottes et empêchez ce geste inconsidéré par d'autres. Les marmottes qui ont mangé ces biscuits sont-elles encore vivantes ? On va dire que oui.
KING KONG THEORIE : Despentes dépote
Extrait virulent du dernier livre de Virginie Despentes.
"J'écris d'ici, de chez les invendues, les tordues, celles qui ont le crâne rasé, celles qui ne savent pas s'habiller, elles qui ont peur de puer, celles qui ont les chicots pourris, celles qui ne savent pas s'y prendre, celles à qui les hommes ne font pas de cadeau, celles qui baiseraient avec n'importg qui voulant bien d'elles, les grosses putes, les petites salopes, les femmes à chatte, toujours sèche, celles qui ont des gros bides, celles qui voudraient être des hommes, celles qui se prennent pour des hommes, celles qui rêvent de faire hardeuses, celles qui n'en ont rien à foutre des mecs mais que leurs copines intéressent, celles qui ont des gros cul, celles qui ont des poils drus et bien noirs et qui ne vont pas se faire épiler, les femmes brutales, bruyantes, celles qui cassent tout sur leur passage, celles qui n'aiment les parfumeries, celles qui se mettent du rouge trop rouge, celles qui sont trop mal foutues ......."
Cela continue encore de très longues lignes ..... Je peux poursuivre si vous le désirez.
RETRO, il y a un an (à Bali)
Bali B.R.M.C
Mardi Une mise à jour conséquente, vu qu’hier, je n’avais pas assez d’énergie pour relater le voyage à UBUD. Ubud est une petite ville, situé à 40 km de Kuta. Elle se démarque parle fait qu’elle est sur l’intérieur de l’île (il fait donc plus chaud), qu’elle a un intérêt sur le plan culturel (danse, spectacle) et qu’elle est un des centres d’artisanat de Bali.
Pour moins de 15 euros, une très grande chambre, avec piscine (eau très chlorée) et petit déjeuner (très moyen) compris. Moins d’activité que les fois précédentes, le tourisme arrive en nombre plus restreint, sûrement l’effet des attentats. Un des spectacles, toujours impressionnant est la KECAK (ketchak) dance : les hommes assis sur plusieurs lignes commencent un chant en levant les bras et conte une histoire de femme enlevée pour terminer par un feu de noix de coco se transformant en braises sur lesquelles un balinais en transe va marcher dessus. Ce qui est marquant, c’est que la personne est vraiment en transe et qu’à la fin de la représentation, on le « ramène » à la réalité.
La visite des environs d’Ubud m’a permis de voir un tout autre paysage à savoir des volcans éteints momentanément après avoir, il y a quelques années brûlait tout un flan de la montagne après une irruption. Il y a des maisons qui ont vraiment eu chaud ! La couleur noire se partage avec la végétation verte et des eaux sulfuriques dans lesquelles on peut se baigner sans craindre de prendre froid. Pourtant, la température contraste avec celle d’Ubud, plus fraîche et plus de pluie pour le climat. Les personnes ont des visage plus rudes, plus mates, style péruvien qui cherche à vous vendre une multitude de produits, de souvenirs plus ou moins inutiles.
J’allais oublier de mentionner la célèbre MONKEY FOREST. Comme son nom l’indique c’est une forêt où les singes sont en liberté. Les touristes achètent des bananes et vont nourrir d’une manière plus que rapprochée les singes qui depuis des années n’hésitent pas à vous grimper dessus et prendre la nourriture ou autre sac qui pourrait dépasser. Pour ceux qui aiment ces animaux, c’est vraiment un bonheur, pour les autres, le spectacle se regarde …. de loin.
Hier soir, j’ai eu ma moto (d’où le titre – voir chronique MUSIC1), un scooter qui va me permettre – pour la première fois lors de mes voyages – d’être plus mobile même si la règle de conduite peut s’apparenter à l’absence de règles autrement dit à la loi du plus fort ou du plus fou !
Ne pas oublier, rouler à gauche, rouler à gauche !
LE DALHIA NOIR
C’était il y a 20 ans, presque jour pour jour. Un film culte. LES INCORRUPTIBLES, pas seulement pour moi mais aussi pour un mensuel qui allait faire son chemin (Les inrockuptibles). A cette date, je ne savais pas que Brian De Palma après le fort réussi SCARFACE, était à l’acmé de sa filmographie.
Pour autant, dans son dernier film, LE DALHIA NOIR, on retrouve ses thèmes et une mise en scène soignée, les scènes classiques d’escalier, des chutes vertigineuses, des scènes dénudées (entre deux femmes), des liens d’amitié dans un environnement policier, lui-même lié avec des gens douteux . On peut même rajouter une liaison avec le film MULHOLAND DRIVE de David Lynch.
Au départ du film, il y a le roman de James ELLROY : le meurtre non élucidé d’une jeune actrice Elisabeth Short, surnommée Le dalhia noir. Dans le film qu’elle tourna, elle jouait le rôle d’une actrice qui se faisait assassinée. D’ailleurs, la mère d’ELLROY, elle aussi fut assassinée sans que son meurtrier ne fût retrouvé. Le metteur en scène nous plonge dans cette enquête doublée d’une histoire d’amitié et d’amour refoulé dans un ménage à trois non consommé. C’est un résumé qui ne peut englober chaque faiblesse et surtout fêlures des personnages qui virent même pour certains à l’obsession (titre d’ailleurs d’un film de DE PALMA).
Si l’on perçoit la structure du roman, sa richesse, le commentaire de Brian de Palma qui disait qu’il a dû faire un choix sur des scènes pour que son film ne dure deux heures nous prouve qu’il n’a pas fait les bons choix. Aux deux tiers du film, on commence à s’ennuyer ou plutôt à ne pas savoir vers quel chemin il nous emmène.
Entre la dénonciation d’un monde politique, d’une classe hautement bourgeoise décadente, d’un monde de cinéma qui utilise de filles pour des films érotiques (nude films), des amours contre-nature à une époque où cela ne devait pas être évident. Tout est lancé mais rien n’arrive : l’argent trouvé, le suicide, la dérive du policier Bleichert, l’attente de Kay Lake et on pourrait encore continuer.
Est-ce le syndrome MISSION IMPOSSIBLE (réalisé par De Palma), de faux-semblants ? On arrive à ressentir une lassitude pour un film qui nous perd malgré une mise en scène qui veut retrouver l’ambiance des films des années 50 sans jamais enlever le sentiment d’un film studio.
Kitano a chaté avec Daniel Mermet
Sur le site France Inter, sur la page d'accueil, journée chat avec les animateurs. A 16h27, le message de Kitano fut sélectionné et Daniel y a répondu :
kitano: Bonjour Daniel.Un message pour te dire que je te suis depuis 1991 et c'est Toi qui m'a donné l'envie du voyage. Plus difficile de te suivre avec l'horaire de l'horreur mais le coeur est présent
Daniel_Mermet: On garde la phrase pour l'horreur et l'horaire.
Carla a parlé de Florian Zeller sur son blog, j'ai fait des recherches ....
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Roman |
par Virginie Sergent
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ZELLER Florian |
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Prix INTERALLIE 2004. Avec
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De l'insipidité en tête des ventes… |
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RETRO, il y a un an (à Bali)
Dimanche soir
Le week end est presque termine> apres avoir mange grec hier, japonais ce soir.
Hier soir, cela a ete la fete> Du classique donc : resto, bar, pub, boite. Mais on a evite l after.
Hier soir donc, cela oscillait entre le zoo et la decadence : le zoo de la decadence.
Au 66 (la boite) cela a ete un defile de jolies filles, de belles femmes. Pour les garcons, je ne peux pas trop me prononcer.
Look fashion, bonne energie> D ailleurs les 3 enrgy drinks m ont permis de tenir la cadence apres la journee de vendredi>
En effet, je me suis leve a la meme heure que le soleil (6h) pour me coucher le lendemain presque a la meme heure (8h)> Le lendemain (donc le samedi) je me suis reveille a 18h, histoire de refaire la meme scene. Il faut etre jeune !
Dans ces deux jours, j ai croise beaucoup de sosies :
- KARL LAGERFELD ; un belge d une quarantaine d annees, looké avec des lunettes Chanel aux gros verres, cheveux gomines, cool
- Patrick JUVET : un homo aux tshirts modes et a l allure dechiré, toujours dans son monde
- Geogre Clooney en jeune version indonesienne
- Tarzan : il y en a toujours un (cheveux longs, torse nu) qui se tremousse sur la piste, effet garanti
- Paris hilton : le look blonde deco, a dansé sur l estrade, mauvais genre mais a voir l espace d un regard
- Kate Moss ; ma preferee ! Version fin annees 90, blonde, cheveux courts> Beaucoup de charme
J ai ete un peu decu de ne pas apercevir Lambert Wilson !!
Demain, je pars a UBUD, une ville situee a 40 km, histoire d eviter le bruit a l hotel du a la fin du ramadan> Revolution pour moi mardi, je vais avoir une moto automatique ! Toute une aventure dans ce pays ou l on roule a gauche>
