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LASTDAYS

RETRO, il y a un an (à Bali)

14 Novembre 2006 , Rédigé par Kitano

THE LAST WALTZ

Lundi 12h  Le dimanche n’a presque pas existé.  Couché 10h, lever 16H.

Un tour à la plage où j’ai assisté à un coucher de soleil presque sans soleil car caché par les nuages. L’intérêt était de voir ses indonésiens venant en famille occupé la plage d’habitude déserte en semaine. Les surfeurs sont venus s’entraîner sur les vagues qui leur permettaient de longues lignes droites.


Ensuite, un peu de lecture économique pour m’endormir vers 22H et me lever à 8H. Oui, je manquais de sommeil après cette soirée.  Samedi soir, départ vers minuit, après un restaurant grec avec des français qui ne peuvent se passer de boire du vin et sûrement plus généralement d’alcool. Tous les jours et encore plus le week-end.


La party était à 30 km de notre hôtel. Dans un bel endroit, donnant une vue sur la mer des jolis bungalows à l’architecture cylindrique, tout en bois. Vrai musique transe avec les habitués, on a quittés la fête vers 9H. IL est vrai qu’il y avait plus de monde dans la piscine que sur la piste de danse. Certaines personnes n’ont pas supporté certains mélanges dont cette femme d’une cinquantaine d’années que j’ai vu allongé ou écroulé prés du bar et qu’une personne a ramené ….

Mais, s’il y a des furieux de la bouteille, les teufeurs sont toujours présents et continuent de gigoter avec un sens du rythme et de la joie. COCOLIVE, un des personnages français de Bali qu’il faudra que je vous présente, avait donc exagéré comme d’habitude : le nombre de personnes était plus proche de 300 que des 1000 annoncées. Mais, il est comme cela, avec ce côté concierge et happening.

Beaucoup de français donc, qui se retrouvent dans les fêtes, dans les hôtels, aux restaurants ; et cela d’autant plus facilement que l’on peut acheter des cartes SIM valables pour l’Indonésie à un prix fort raisonnable (8 euros les 50 minutes). De ces bizness man, il ressort tout de même un côté néo-colonialiste : on ne fréquente pas les endroits populaires, on a ses restaurants attitrés (souvent à la nourriture européenne), on pense être généreux avec la population en laissant des pourboires dans les restaurants mais on dénigre la lenteur des locaux et surtout on n’oublie pas de les exploiter.

La semaine qui arrive va être profitable pour me reposer et poursuivre les révisions sans oublier de faire le footing le long de la plage même si rien ne peut valoir les courses avec mon amie Brigitte. Parce que même dans un décor paradisiaque, le vraies valeurs restent humaines.

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