Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LASTDAYS

BAGUS

17 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Voilà, c’est vraiment fini !  Une semaine après mon retour et comme annoncé, voici les images qui resteront d’un voyage à la douceur des températures et aux charmes de l’indonésie (et des indonésiennes).

Bagus (prononcez bagousse) mot indonésien peut se traduire par super, c'est bon !

 

J’ai en mémoire mon pote chilien que je voyais lors des soirées avec une inséparable bouteille de bière à la main et dont je n’ai jamais rien compris à ce qu’il disait !

Le sourire de RIZALL et ses excès ne peuvent me faire oublier son sens du partage.

Excès assuré avec l’inoubliable GREG. Celui qui m’a fait remarquer Ô combien je pouvais être attentif et réceptif lors des soirées !

Le moment de la plus belle soirée fut celle au 66, juste l’avant-dernier soir de sortie : un dance floor magique et enivrant avec la bande des frenchies.

 

De tous les restaurants « branchés », c’est ma cantine au coin de l’hôtel que je retiendrais car c’est l’endroit qui me correspondait le mieux ; loin des rendez-vous du french bizness néo-colonialiste et faussement  généreux.

Alors que je venais prendre un nasi goreng, le mari prépare le plat, se tourne vers moi et en me montrant sa femme de dos devant la télévision, il me dit : « pas contente, hier soir je suis sorti avec des copains, arak ! ». L’arak est la boisson locale en indonésie, en trois voyages je n’en ai jamais bu mais produite localement, son taux d’alcoolémie est élevé et il faut être un habitué pour tenir le nombre de verres.

 

Sûr que je reviendrais dans quelques années. Prochaines chroniques de voyages à l’image de Kwaï Chong Kaine (Kung Fu), je vous compterai mes tribulations du Népal à la Birmanie en passant par le Tibet et l’Inde.

Rendez-vous le 15 mai 2006.

Bagus !

Lire la suite

12e jour consécutif !

17 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Pour la 12e fois consécutivement le niveau RANK a augmenté passant à 54 hissant le blog à la 2197e place.

Le niveau hebdomadaire des visiteurs se chiffre maintenant à 112, nouveau record ! Le classement étant à la place 5790.

Demain, la 600e personne viendra sur le site et la 10 000e page lue le sera probablement le jour de Noël ! Mais d'ores et déjà la 4 000 pages lues pour ce mois de décembre !

C'est Noël avant Noël !!

Lire la suite

Musique décembre : Morrissey le retour

17 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Enfin un retour en petite forme de la rubrique musique pas comme les autres !

 

Bonne nouvelle, le nouvel album de MORRISSEY sortira en février. Espérons d’entendre le single avant. S’il avait fallu attendre 8 ans le nouvel opus du MOZ, son retour a émerveillé tous ces fans et même les autres ; montrant que MORRISSEY a encore et toujours du talent.

 

NEW ORDER vient de sortir son 4e extrait de l’album (décevant) Waiting for the siren’s call. Mais celui-ci ne le sera pas sous forme cd, uniquement par téléchargement. La pochette est celle qui faisait le pied de page du blog (le lapin). Cette chanson GUILT is a useless emotion (la culpabilité est une émotion inutile) est nommée pour la meilleure chanson danse de l’année. Aucune chance face au CHEMICAL BROTHERS et leur Galvanize.

 

Je partage le tiercé de tête pour cette année avec Bernard Lenoir :

-         ANTONY & The Johnson’s : l’émotion pure et une voix sans pareil

-         THE ARCADE FIRE : le rock canadien amène le souffle et l’inspiration dans le rock

-         CLAP YOUR HANDS SAY HEAH : la révélation américaine de l’année (sortie de l’album en pressage français le 17 janvier mais disponible en import)

 

Pete Doherty et Kate Moss aurait rompu. Le groupe de l’ex-Libertines, THE BABY SHAMBLES a fait la couverture en France des Inrock et de Rock & Folk. Hype ?

L’album produit par l’ex-Clash Mick Jones, sonne Clash au relent ska.

Sur le premier morceau « La belle et la bête »,on entend susurrer Kate Moss.Pas suffisant pour un album qui serait passé inaperçu à l’époque …. De Morrissey !!

 

Pour ceux qui se souviennent des années 80, les UNDERTONES se reforment avec le retour du chanteur FEARGAL SHARKEY. Pour l’art ou l’argent … comme les PIXIES et les Pistols lors de leur tournée ?

 

Nouvel album des STROKES, il sortira en janvier. Il y a toujours deux ou trois morceaux prenants dans leur (deux précédents) albums. Battus au nombre de sorties par BONNY « prince » BILLY qui après un album live cette année, vient de sortir un album de reprise.

 

Canada encore, THE WOLF PARADE, petit frère de The arcade fire dans le style.

Prévision de sortie pour 2006 : Prince, Dominique A., Laura VEIRS.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas les islandais de SIGUR ROS (ils ont un langage sur leur disque qui leur est propre … donc incompréhensible), leur concert est disponible sur leur site :

www.sigur-ros.co.uk (enfin si vous arrivez, soyez patient ! ). Ne vous privez pas, c’est gratuit.

 

Il n’est pas en téléchargement gratuit mais je vous conseille d’écouter le dernier titre de l’album de CAMILLE : quand je marche (prix CONSTANTIN et couverture de l’avant-dernier numéro des Inrocks de l’année) : de l’émotion et une belle écriture pour une fin de chanson gâcher par un dialogue inutile … un peu comme lorsqu’elle est concert (je pense à la Black session sur Inter, live hype).

Lire la suite

BLOG TROPHY

16 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Le concours se poursuit encore pendant deux semaines.
Toujours en tête depuis la disparition de
MAGIC TITI sur le blog et le beau geste de MAKINITOSH !

Cette semaine, je vous présente les deux derniers sélectionnés :

 

CIVETTA. Elle vient de temps en temps et je ne peux que vous conseiller de jeter un regard sur un blog d’adulte (et non pas pour adultes). L’architecture zen présentée vient de son site. En plus, elle a aimé TROIS ENTERREMENTS.

Va-t-elle une concurrente sérieuse à la très belle JENNA ? Mystère !!

 

Dernier sélectionné : le désormais fameux RAOULITO qui a fait un tabac !

Un seul commentaire mais lors du sondage, il a explosé le standard ! Vous le voulez et bien vous l’aurez en photo et ce dès samedi. Va-t-il concurrencer  MAKINITOSH ?  Mystère ?

 

N’oubliez de voter encore et encore !

 

Rendez-vous la semaine prochaine pour l’annonce des 3 personnes qui vont être éliminées du concours !

 

Lire la suite

Cinéma KING KONG

15 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Seul, une fois de plus seul, à rester à regarder le générique jusqu’à la fin et lire la dédicace à la dernière image du film aux auteurs du film original (Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper ) et à l’actrice FAY WRAY. KING KONG a marqué les esprits, ceux qui l’ont vu en 1933 puis ceux de tous les enfants qui ont pu le voir au ciné-club, un dimanche soir dans les décennies qui ont suivi. Peter Jackson (le réalisateur du SEIGNEUR DES ANNEAUX) fut de cela.

 

Pourquoi un tel film aux effets dépassés à l’heure du numérique demeure l’un des jalons du cinéma fantastique et du cinéma tout court ? Peut-être parce que derrière cette histoire de série B, se cache une profonde histoire d’amour impossible ( la Belle et la Bête ) et soulève des sujets qui touchent aujourd’hui à la protection de la culture, au problème de la recherche effrénée du profit. Un remake a été réalisé en 1976 par John GUILLERMIN, plus sanglant, plus écolo mais raté. C’est un film que je ne pourrais jamais oublié puisque c’est le seul que j’ai vu avec mon père au cinéma. Presque trente ans après, le Roi Kong va donc revisiter New-York avec toujours cette fin fatale.

 

Deux évidences : la première est la durée du film, trop longue. Peter Jackson a encore eu le syndrome du Seigneurs des anneaux, une heure de moins aurait donné du rythme et surtout n’aurait pas distillé un ennui ; après un début trop poussif ; qui restera jusqu’à la fin. La durée du film original était d’une heure quarante, en réduisant la première partie (avec son côté social bienvenu) et en supprimant l’épisode des « cafards » géants le film aurait gagné en intensité.

Seconde évidence, la référence au film original. Contrairement au film de 1976, ce n’est pas une actualisation ou modernisation de l’histoire qui a été choisie et cela, la première image nous le montre avec simplement le titre en police des lettres de l’époque. La dernière image du générique confirmera cela. On pourrait égrener les similitudes de scènes d’avec l’original.

 

Ce qu’il y a d’original dans le film, c’est le côté humour, comique (plus que dans le mot « merveilleux » qu’essaye d’apprendre l’héroïne à son kidnappeur) notamment lors du numéro avec une canne improvisée servant de soutien que pousse Kong, faisant par la même chuter l’actrice ! Côté sourire, on appréciera le dialogue du début de film, le réalisateur cherchant une actrice : « FAY, pas possible, elle tourne avec COOPER » !

Les combats avec les tyrannosaures dépassent ceux de JURASSIK PARK, on voit d’ailleurs les vélociraptors. Deuxième partie de film mouvementée qui rappelle le côté trash de peter Jackson (Brain dead en 1992), la tribu lui donne aussi l’occasion de lorgner vers le genre possédé, style vaudou.

 

Pour le reste, on regrettera que l’histoire d’amour ne soit pas plus fouillée, ne donnant donc pas l’émotion attendue lors de la mort de Kong. Le réalisateur n’aura pas jugé bon d’insérer la scène au doux caractère érotique de la cascade de l’original. Cela valait mieux que de subir pendant près de deux heures, les beaux yeux bleus écarquillés mais larmoyants de Naomi Watts.

Un film même gonflé d’effets spéciaux, ne peut dépasser son original s’il n’exacerbe pas le côté relation amoureuse, COPPOLA l’avait compris avec le DRACULA. C’est d’autant plus dommage que la durée le permettait. Le film de 1933 fera encore et encore rêver.

Lire la suite

AVE CESAR

15 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Avis à la population !

Le tournoi annuel d’AVE CESAR se déroulera du 22 au 25 décembre !

Inscrivez-vous !

Je ne sais quel sera le gagnant mais je peux vous dire que ceux qui viendront pourront goûter le gratin d’aubergines !

Et c’est VRAI !

 

P.S : le nombre de places est limité

Lire la suite

MATCH POINT

14 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

Woody ALLEN pour les cinéphiles, c’est un rendez-vous annuel attendu avec plaisir, sans excitation mais avec intérêt. Différent de celui que l’on avoir avec un copain comme Tim Burton ou la découverte qui œuvre chez Takeshi KITANO.

Suivi dans les années 80 pendant dix ans, les derniers opus n’avaient pu me pousser à me déplacer dans les salles. Ce sont les critiques et le bon accueil à Cannes qui m’ont convaincu de retrouver Woody Allen comme réalisateur et plus comme acteur dans ce film.

 

 

 

Œuvre qui se structure d’années en années, on retrouve ses thèmes avec un humour presque absent. C’est lorsqu’il distille ses obsessions dans un scénario à la fin immorale, que le film est prenant. Deux remarques, une mineure et l’autre majeur sur le scénario : la première sur l’enquête qui ne mentionne pas la bousculade après « l’exécution » du plan mais surtout sur la famille de Chris, des intentions du personnage principal.

On pourra me répondre que pour le premier, c’est un incident qui n’a aucune incidence et pour le second, c’est l’aspect central du film, un personnage qui ne veut pas choisir, qui ne peut pas choisir : entre l’amour et une stature sociale et dont le passé est de moindre importance.

 

 

 

Les relations mère/fils toujours présentes, le sont dans une ambiance feutrée (« n’élève pas le ton »). Elles passent aussi vers les relations belle-mère/belle-fille, avec des personnages de cette bourgeoisie presque caricaturale de bons sentiments (le beau-père). La procréation passe au premier plan après la présentation de l’ascension de ce professeur de tennis en homme d’affaires grâce à un mariage qui le propulse dans la haute société.

Tout ne ferait pas un film, si ce dernier ne tombait amoureux de pulpeuse Nola ; joué par Scarlett Johanson et son visage de poupon : « ma sœur est belle, moi je suis sexy » ; fiancée ou presque du futur beau-frère.

 

 

 

La personne de Woody Allen transparaît par touches, à travers les personnages et les situations dont au hasard : l’actrice américaine du Colorado, les musées, la double vie, la recherche d’une résolution de problème. Le réalisateur aborde un aspect social, un côté Martin Scorcese mais sans la tension, si ce n’est dans le dernier tournant du film.

 

 

 

Un scénario travaillé, s’impliquant dans un autre pays, une autre classe sociale, provoquant des rencontres peu probables, Woody Allen réussit sans s’éloigner de ses thèmes une synthèse et donc une réussite avec MATCH POINT.

Lire la suite

Résonance 3

14 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Catégorie qui se veut d’éclairer les mots, les difficultés orthographiques et grammaticales.

LA DANSE DES MOTS

Cindynique : science qui étudie le danger

 

 Heuristique : (l’adjectif s’écrit aussi euristique) qui sert à la découverte : hypothèse heuristique.

 En pédagogie une méthode heuristique est celle qui consiste à faire découvrir à l’élève ce qu’on veut lui enseigner. En tant que nom féminin, c’est une partie de la science qui a pour objet la découverte des faits.

 Pandiculation : mouvement qui consiste à étendre les bras en haut en renversant la tête et le tronc en arrière tout en allongeant les jambes et en bâillant (notez le flex sur le a).

 ETYMOLOGIE

«Amateur : 1488, emprunt du latin amator « celui qui aime, partisan ».A remplacé l’ancien français ameor, usuel jusqu’au XVe siècle, non seulement au sens d’ « amoureux, mais bien avec celui de « qui aime (la paix, le bien) ». Le sens de « celui qui aime les arts sans les pratiquer » date du XVIIe siècle. Le mot a passé en anglais au XVIIIe siècle au sens de « celui qui exerce un sport par dilettantisme ». Dans cet emploi il est ensuite revenu en France, où il est attesté depuis 1898.

 

 Dérivé : amateurisme, 1898, notamment d’après le sens d’amateur, opposé à professionnel, dans la langue des sports.

  CONJUGAISON  

 L’accord du participe passé avec être. 1ere partie

Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet.

Exemples : la maison est louée, les rues sont bien éclairées.

 

 Le participe passé des verbes réfléchis ou réciproques s’accorde avec le sujet quand le pronom réfléchi est l’objet direct.

Exemples : Ils se sont baignés. Elles se sont entraidées.

 

 blog LANGUE SAUCE PIQUANTE  (lemonde.fr)

Les mémoires de guerre de DE GAULLE les avez-vous LUS ?

Les 48 heures que vous avez DORMI (dormir, coûter, valoir, peser … pas d’accord)

S’il n’a pas obtenu les avantages qu’il avait prévus (COD avant), c’est qu’il n’a pas fait les démarches qu’il aurait PU (sous-entendu pu faire).

Les générations se sont succédé (participe passé des verbes pronominaux, attendre la semaine prochaine ci-dessus)

Quel est le pluriel de : un feu ? Des flammes (Paroles de collégiens).

 

 

 

 

 

 

Lire la suite

TROIS ENTERREMENTS

13 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Films

Comment ces acteurs américains jouant le rôle de policier, lorsqu’ils passent à la réalisation, peuvent-ils montrer tant d’émotion retenue ? Pourquoi en France, n’a-t-on pas cela avec cette vision sociale et politique ? La réponse ne viendra pas aujourd’hui.

  

TOMMY LEE JONES, qui a marqué le film LE FUGITIF, a choisi pour sa première réalisation un sujet à mi-chemin entre le western et le road movie, une rédemption dans cet hommage à une amitié. Pete Perkins (Tommy Lee Jones) va forcer un garde frontières, qui a tué par erreur un mexicain sans papier, à convoyer son corps dans son village d’origine.

Sur fond de problème économique, politique ce qui intéresse ce sont les relations entre les personnes et leur accomplissement dans leur vie. Accomplissement ou résiliation, voire rêve dans l'avenir.
Le rêve ne vient que par le biais de la télévision pour la femme du garde frontière : poupée blonde, sorte de Gwyneth Palthrow ordinaire qui s’ennuie, mal aimée, au sens propre comme figuré. Sa jeunesse proche nous semble pourtant bien lointaine, une vie glauque semble se pérenniser.
Cela sera le personnage qui changera le plus, du moins au point de vue géographique.

  

La plupart des personnages semble vivre dans une apparence aux autres sauf en ce qui concerne les mexicains traités avec empathie et le personnage central. Son côté fou dans sa démarche laisse transparaître son humanité avec ou contre son état de paysan. Chacun va se retrouver face à sa condition : celle de la solitude, celle de ses peurs. Pour les mexicains, c’est la douane, pour les gringos c’est le vide affectif.

 

La mise en scène privilégie une douce lenteur sans s’embarrasser de dialogues superflus, la comédie apparaît même dans des situations comme pour atténuer l’aspect grave et mortifère. Tommy Lee Jones sort grandi de ce film qu’il a aussi produit, et qui a mérité le prix du scénario et de la meilleure prestation masculine à Cannes cette année.

 

Souvent au fil du film, on pense à la figure du cow-boy, à cet acteur devenu un réalisateur majeur dans le cinéma et qui nous a donné le plus beau film cette année : Clint Eastwood. Sans vouloir écraser Tommy Lee Jones par cette figure, c’est une révélation et sûrement le début d’une carrière de réalisateur qui s’annonce prometteuse.

Lire la suite

Le droit de propriété

13 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

La déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 énonce : « les propriétés étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exigence évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité ».

 

 

les caractères du droit de propriété

 

Le droit de propriété est absolu, il donne à son propriétaire les droits d’en user (usus, habiter sa maison), d’en percevoir les revenus (fructus, recevoir des loyers) et le droit d’en disposer (abusus, vendre ou louer). Par ailleurs, le propriétaire d’un immeuble est également propriétaire du dessus (plantations, constructions) et du dessous (racines, gisements) de l’immeuble et de ce qui s’incorpore à celui-ci.

 

Le droit de propriété a un caractère exclusif, il n’appartient qu’à un seul propriétaire. Un bien n’a en principe qu’un seul propriétaire pourtant il existe des exceptions avec la propriété collective. Le mur mitoyen, l’indivision et la copropriété sont des exemples classiques. L’indivision est le fait que plusieurs personnes sont copropriétaires d’un même bien. Au décès d’une personne, ses héritiers, succédant à ses droits, deviennent notamment indivisaires des biens. Le partage est l’accord entre les héritiers qui met fin à l’indivision.

 

Les immeubles peuvent être vendus par appartements, l’acquéreur est titulaire d’un droit exclusif sur son appartement et participe à l’exercice d’un droit d’usage collectif sur les  parties communes (escaliers, ascenseurs, cours, jardins). Les propriétaires forment un groupement appelé syndicats des copropriétaires qui prend à la majorité les décisions nécessaires à l’administration des parties communes et qui est dirigé par un syndic nommé à la majorité. Le syndicat des copropriétaires établit dès le début un règlement de propriété.

 

Le droit de propriété a un caractère perpétuel, il dure tant que la chose existe, le droit de propriété ne s’éteint pas par le non-usage de la chose. Mais la loi considère que celui qui en a été possesseur pendant trente ans en devient le propriétaire, l’immeuble ne pouvant plus être revendiqué par le propriétaire qui s’est abstenu d’exercer son droit pendant le délai de 30 ans.

 

 

Remarque : des restrictions pour le respect du voisinage sont  présentes. Ce sont l’exercice abusif du droit de propriété et les troubles du voisinage. L’abus correspond à une faute dans l’exercice de son droit par le propriétaire (la construction d’un mur d’une certaine hauteur pour gâcher la vue à son voisin) pour nuire intentionnellement mais la faute peut résulter de l’inobservation des règlements (distance de plantation d’arbres). La faute peut aussi être due à une imprudence ou négligence. Les troubles du voisinage résultent d’une gêne imposée au voisinage (tapage nocturne). Souvent en cas de non-respect des règles d’urbanisme la réparation la plus adéquate au préjudice subi est d’en faire cesser la cause par exemple mettre aux normes la hauteur d’un mur ou faire détruire la partie de la construction sujette du litige.

 

Lire la suite

LADY VENGEANCE

12 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Films

 Pour ce retour en France et la direction vers les salles de cinéma, il en fallait du courage pour affronter le froid et surtout le vent. 

Des indices m’avaient mis sur la voie mais comme j’ai espoir, je ne voulais pas me laisser envahir par des pensées négatives.

Tout d’abord, la salle : la plus petite soit 3,5 mètres de long ; d’habitude, je demande le numéro de la salle, si la réponse est 5 ou 6, je ne vais pas voir le film. Mais comme j’avais envie de voir la fin de la trilogie sur la vengeance de ce cinéaste coréen, je n'ai pas tenu compte de cette contrainte.

Ensuite, au bout de vingt secondes, j’ai dû sortir de la salle pour informer à l’accueil que le film était mal cadré, sous-titres impossibles à lire ! Puis, pour finir, une personne (forcément presque) âgée, qui ouvre l’emballage d’un bonbon et qui fait donc du bruit !

Quelquefois, j’ai des idées de scénario dans lequel une personne normale pourrait faire un massacre dans un cinéma, du style du film LADY VENGEANCE.

Le titre original, SYMPATHY FOR LADY VENGEANCE donne tout d’abord à penser à un titre des Rolling stones mais c’est la rédemption dont il est traité avec une musique classique (Vivaldi, Paganini) qui ira bien avec le style théâtral de certaines scènes.

 

Faisant suite à l’intéressant OLD BOY, on se demande vers quoi veut nous emmener le cinéaste dans cette histoire qui frôle le sordide avec les kidnappings d’enfants. Trop de longueur, des scènes inutiles, de la violence qui s’autocensure mais dont on aurait pu se passer. 

 

La mécanique de cette vengeance annoncée ne tient pas la structure (construction déstructurée inutile, référence au magot versé, rôle du commissaire, le pistolet, …) et l’histoire de cette femme présentée comme tueuse d’un enfant (qui porte presque le nom du cinéaste Park Won au lieu de PARK CHAN-WOOK) qui va passer treize ans de sa vie à fomenter une vengeance pour un crime qu’elle n’a pas commis est plutôt prétexte à des fantasmes et à un côté vide comme la scène finale.

Faut-il voir le premier film de la trilogie (SYMPATHY FOR M. VENGEANCE) ou suivre la filmographie de ce cinéaste ? Et si la réponse était ni l’un, ni l’autre ?

 

Lire la suite

F.A.Q

12 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Laurie, notre danseuse préférée dans ce blog, me fait remarquer qu’elle ne me voyait pas dans cette ambiance de voyage à Bali : elle m’imaginait plutôt avec un sac à dos sur la route …

 

Chère Laurie tu as raison ! Si je n’ai pas encore de sac à dos, mon périple lors d’un voyage est beaucoup moins statique même si les événements ne sont pas des découvertes uniques.

 

Les gens que je croise d’habitude sont ceux qui voyagent l’été donc des étudiants, des collègues pour l’essentiel. Mais je sais m’adapter lorsque je rencontre des surfeurs japonais (le top du top, toujours étonnés lorsque je leur parle de Kitano).

 

 

Souvent, j’entends des phrases et interrogations auxquelles je vais tenter d’apporter des réponses.

 

 

« Tu as de la chance de voyager ! »

 

Bien entendu ! Acheter un billet d’avion, retirer de l’argent, je suis presque le seul a le faire, même avec internet ! 

 

A chacun ses priorités.

 

 

« Ce que tu fais, je ne le ferais pas ! »

 

Avec une carte bleue, tu peux tout faire. Pour ce qui est de vivre « roots », c’est d’abord une question d’état d’esprit même si, quoi que l’on fasse, on se sera jamais comme les autochtones car pour eux étrangers = riches, enfin plus riches qu’eux.

 

Pour leur faire comprendre le niveau de vie, je leur parle du niveau des loyers et des impôts mais c’est peine presque perdue. Un pauvre en France sera toujours mieux traité économiquement que dans ces pays. Economiquement mais pas socialement, dites cela à ce lecteur de L’HUMANITE qui voulait mettre fin à ces jours après des mois de chômage.

 

 

« Il faut de l’argent »

 

Une fois le billet d’avion payé ( +600€ pour la Thaïlande , +800€ pour Bali), la vie locale peut être abaissée au coût de 5 à 10€  jour pour un budget serré. Pour ce prix là, vous avez deux cocas à Nice et d’un café au Fouquet’s.

Pour conclure, un dernier article des meilleurs moments de ce voyage est à venir !

 

Lire la suite

la dédicace

11 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Dimanche ou lundi, le ou la 500e d'entre vous, viendra sur le blog. Comme pour la 100e, spéciale dédicace dans la nouvelle rubrique copinage.

Nouvelle catégorie aussi avec Kate : des photos sur la mannequin la plus rock ... et donc droguée ! Mais certainement pas la première et la dernière !  A quand des contrôles lors des défilés !

Lire la suite

La dernière heure

10 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

Cela se passait mardi soir. Apéro chez les copines de GREG. Véro brune aux yeux bleus se remettait d’une petite semaine de sortie mais surtout d’une nuit où le foie n’avait pas résisté ! Cela m’a fait plaisir de lui parler car depuis le début du séjour, on se croisait au DEJA VU, au 66. Je n’avais que l’image d’elle sans son et elle un verre avec des glaçons ! CATHY, notre star n’était pas encore Madonna et Corinne, une blonde, qui allait optimiser son court séjour, au plus grand plaisir de la rubrique ATTITUDE à venir mardi.

 Greg propose une virée mais le lendemain les heures et les minutes sont comptées. Je dois finir, à défaut de le peaufiner, le devoir d’économie. Sage et prévoyant. Dans la nuit, éclate un orage, je pense à la bande car à Bali, un orage est un orage.

 Le lendemain, j’envoie dans les temps le devoir, réalise les dernières courses, une cartouche de cigarettes par hasard, et finis de préparer les sacs. Mince, j’ai oublié de prendre la Marmotte dans les rizières. Pas grave, je reviendrai un jour. Dernier repas dans ma cantine préférée, un nasi goreng (riz frit) avec un mango juice et une brioche fourrée à la banane. Je serre la main à la patronne, moment vrai. Je reviendrai. Je me doute que c’est l’abus de brioche qui m’a fait grossir. Il faudra que je lutte en France, malgré les fêtes de Noël !

 13h30, de retour de la cantine, que ne vois-je pas ? Cathy et Greg ! La première se prend pour Madonna et le second se prend pour … Greg !  Ils auront pendant la nuit écumé les bars, les pubs, affronté les éléments naturels et même surnaturels ( !) et terminé sur la plage avant de finir la matinée ou la journée sur laplage et venir me saluer en toute amitié.

 Ce qui suivra sera de l’ordre du surréalisme ou de la folie selon votre état d’esprit et votre ouverture au délire. Deux stars sur le bord de la piscine : Madonna et Fabrice Lucchini. On était beaux et surtout ressemblant à ces stars ! Mais, bon, on était en vacances, donc on refusait de signer les autographes ! Toute la bande se retrouvera plus ou moins déshabillée, plus ou moins en string, plus ou moins en train de finir la bouteille de vodka. Sans compter les bouteilles de bières amené par Stephane toujours clair le jour et toujours en forme !

 Des photos ont immortalisé ce moment, peut-être un jour sur le blog …. Si j’arrive à les avoir. Promis. Surtout pour voir Cathy habillée avec les vêtements de Greg et Greg habillé en Cathy ! Leur morphologie opposée créait encore plus une vision décalée ! La jeune fille indo qui passait des journées à attendre d’hypothétiques clients à masser ne devait pas en croire ses yeux. Au moins, elle souriait !

 On a essayé de faire de la natation synchronisée mais Cathy n’avait pas les automatismes pour cela. Elle devait se réserver pour la soirée du jeudi ! Ancienne danseuse (elle a fait le Conservatoire de Toulouse), elle en garde sinon la pose du moins le port de tête et les gestes gracieux. Au moment de se séparer un vrai moment de tendresse est passé mais comme nous voulions garder notre anonymat, la rencontre entre Madonna (nous avons eu droit à un mini-show : choré et chant inclus) et Fabrice restera seulement dans nos esprits.

 Quant à Greg, il s’est pris un flash en sortant de l’hôtel : trois indo près de sa moto. Indic, simple travailleurs ou extra-terrestres ? Peut-être, lui avais-je transmis le fluide : attentif !

 Il était l’heure de mettre mes sacs dans le coffre (15 kg de livres, cela m’a servi et me servira lors de la fouille de la douane : peu de personnes voyagent avec un dictionnaire de conjugaison et de grammaire, et je n’avais pas pris celui du vocabulaire !) et de monter dans le taxi après serré une dernière fois Greg dans mes bras. La veille après m’avoir fait le son du serpent, il a fait celui du chat. Vraiment bien imité avec les griffes sur la porte !

 Je savais qu’il me manquerait !

 

 

Lire la suite

Why Eddie why ?

9 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Catch

Ironique.

Ce blog a été créé après avoir lu celui de Bret Hart ; mon catcheur préféré avant d’entamer une reconversion comme comédien. Son blog était une suite de décès, je voulais éviter que le mien fusse le même. Perdu.

 

Mercredi, sur la passerelle, juste avant d’embarquer dans l’avion des journaux sont proposés, j’hésite entre THE NATION  et le BANGKOK POST. Je choisis ce dernier, je le connais et j’apprécie sa ligne éditoriale et le fait que le journal soit composé de quatre encarts.

 

L’avion décolle, je finis ma lecture des nouvelles et prend le supplément spectacles. En avant-dernière page, je reconnais la photo d’un catcheur qui me réjouit dans son « attitude » sur le ring : Eddie Guerrero. Mon anglais est basique mais il me permet sans en percevoir les nuances de comprendre les phrases et le sens des textes.

 

Sur la photo, Eddie n’a pas le sourire. Prise lors d’une conférence de presse, le commentaire ne laisse aucune place à une erreur : « the death of Guerrero ». Je lis l’article et la tristesse m’envahit.
 

Sur cette dernière tricherie, tu n’auras pas été marrant Eddie.

 

Eddie Guerrero vient d’une famille de catcheur d’Amérique latine. Je ne le connaissais pas avant sa venue en 2000, à la WWF (World Wrestling Federation) dans le groupe LES RADICAUX (dont Chris Benoit), transfuge de la WCW (World Championship Wrestling).

Après avoir joué les amoureux avec CHYNA (du genre XENA mais en moins rigolote) et remporté le titre de champion intercontinental, il sera champion du monde par équipe avec son cousin (avant une rupture) et deviendra champion de la WWE (changement de nom de la WWF ) en 2004 avec sa gimmick de roublard et sa phrase préférée : « I cheat, I lie, I steal » ( « Je triche, je mens, je vole »).

Par exemple, lors d’un combat pour défendre son titre, il délace une de ses chaussures et lorsque son adversaire lui porte sa prise de soumission, la chaussure se déchausse et voilà qu’Eddie en profite pour retourner à son avantage cette diversion.

Ou alors, dernièrement lorsqu’il frappe avec une chaise par mégarde son partenaire et qu’il l’a refile à son adversaire en même temps qu’il s’écroule sur le tapis !

 

Mort d’un arrêt cardiaque. Presque normal pour un ancien alcoolique et drogué qui enchaînait exercices physiques répétés. Pour cela, il avait été écarté de la fédération avant de revenir et gagner le titre. L’amour de sa femme et de sa fille avait réussi à lutter et à vaincre ses dépendances.

Les histoires sont écrites, les combats préparés mais la drogue elle, est réelle et présente dans les vestiares. Beaucoup de stéroïdes, un prochain papier parlera de cela.

 

Sur les épisodes de l’émission SMACK DOWN, c’était toujours plaisant de le voir, il en devenait plus intéressant que le champion du monde, même si la longue histoire avec REY MYSTERIO sur la paternité d’un enfant était limite ridicule et surtout s’étaler trop de mois. L’intérêt c’était de voir jouer Eddie, sûrement le catcheur le plus « acteur » de la fédération.

 

Et comme les écriteaux des fans lors des émissions, lorsque ce dernier était devenu « méchant », voire psychotique WHY EDDIE WHY ?

Sa mort remonte au mois dernier, étant parti fin octobre de France sans pouvoir télécharger ensuite les émissions, il me reste encore à voir ses dernières apparitions qui le préparait à affronter l’actuel champion de la fédération, combat que je sais qu’il perdra mais l’intérêt n’était pas là.

 

S’il y avait une dernière image, cela serait celle où il rejoignit son ami Chris Benoit sur le ring lors de WRESTLEMANIA XX (le plus grand événement de catch) : Benoit venait de remporter le titre de champion du monde (alors qu’Eddie juste avant, venait de conserver le sien).

Les confettis inondaient le stade, le public était en liesse, le sourire des deux catcheurs irradiait l’écran, ils étaient ensembles, vrais.

 

Inoubliable.

 

 

Lire la suite

Le salaire des fonctionnaires

9 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

On les dit privilégiés, les agents de l'Etat n'ont pourtant pas été à la fête en 2003 : leur salaire net a perdu en moyenne 0.5% de pouvoir d'achat, et même 1% pour le million d'enseignants (sur 1.85 million d'agens de l'Etat), qui ont perçu en moyenne un peu moins de 2 200€ nets par mois. Toutefois cette évolution moyenne tient en partie au rajeunissement des effectifs : un fonctionnaire en place a, toujours en moyenne, vu son pouvoir d'achat progresser de 1.5% grâce aux changements d'échelon ou de catégore d'une partie d'entre eux, les moyennes masquent d'importantes disparités.

ALTERNATIVES ECONOMIQUE N°241  /  NOVEMBRE 2005  / PAGE 63

Lire la suite

TROPHY BLOG 2005

9 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Semaine calme, qui aura vu la réapparition de Laurie, avec un mel envoyé dans la nuit !

 Magic Titi, lui aussi selectionné pour le Trophy Blog 2005 a donné de la voix.   Mais, le comité d’accueil n’est vraiment pas une bonne idée !

Passons aux deux nouveaux sélectionnés cette semaine :

 -         JENNA, bien entendu, bien sûr, comme une évidence. Je sais qu’il y a une certaine jalousie suite à la dédicace mais il y en aura pour tout le monde !

 -         Autre prétendant sérieux au trophée, l’inévitable MAKINITOSH. Indispensable au blog, il aurait été heureux à Bali : plein de copains tu aurais rencontré. Vous êtes nombreux à avoir une pensée structurée …. différente. Mais pour Toi, les substances sont inutiles !

 La semaine prochaine, les deux derniers heureux sélectionnés, avant de lancer les votes !

 

Patience.

 

Lire la suite

Films de l'année 2005

8 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #PoP

A l'occasion du vote du film des auditeurs du MASQUE ET LA PLUME sur France inter - évidemment - découvrez dès dimanche la sélection des meilleurs films. SEVEN SWORDS peut-être demain au programme en attendant mardi MATCH POINT. Ce sont les derniers films de deux cinéastes connus : TSUI HARK et WOODY ALLEN.
Lire la suite

Le retour

8 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano Publié dans #Voyages

17h Dans un peu plus d'une heure, une vidéoconférence sur de l'économie m'attend sur le net et voici la lumière du jour qui pâlit.
J'ai donc retrouvé les accents sur les voyelles !
Quel retour : du mercredi 15h au jeudi 14h avec 7h de décalage horaire à ajouter.
Le blog sera agrémenté demain de la description de la dernière heure vécue à Bali. Cela vaut le détour, que des stars ! Pete Doherty n'en faisait pas parti mais comme il fait la couverture des INROCK, on peut le citer aujourd’hui. En écoutant l'émission de Bernard Lenoir (sur France inter voir rubrique musique, une addiction salutaire et sans effet secondaire), j'ai eu le plaisir d'entendre le titre War is over, duo de Boy George et Antony.
Ce soir, au 66, une soirée avec DJ RAMIREZ, la bande des frenchy sera présente ... sans moi ! Y verra-t-on COCOLIVE arrivait près de vous et demandait : "KESTAPRI ?" !
Bien entendu, de retour en France, après avoir récupéré mon sac et me dirigeant vers la sortie, je me fais interpeller par un agent des douanes. « Quelque chose à déclarer, en possession de 7600 € … ». Je réponds deux fois négativement, à mon grand regret. « Veuillez me suivre Monsieur ». Après du classique, ouverture des sacs, des questions. Je n’ai pas pu, pas voulu expliquer mon but et mon voyage a Bali. Il n’aurait pas compris la dernière heure de Bali !
Il trouve bien sûr mes livres, mes dictionnaires et la cartouche de cigarettes (200 cigarettes possibles par personnes autorisées). « Vous savez que la teneur en goudron est de 14mg, alors qu’en France, la norme est de 10 ». Je réponds : « Non, je ne le savais pas, je ne fume pas, c’est pour ma sœur. Mais gardez-le ». Il me la laisse en me disant : « Dites-lui que c’est mauvais pour la santé ». Je suis bien d’accord avec lui mais la destinatrice, n’est pas prête à entendre le message ayant refusé les light. Encore une question sur des paquets d’encens (« vous pouvez ouvrir le paquet ») et me voilà libre.
Et pourtant !
Dans le sac des cigarettes, il y avait la marmotte en peluche ! J’imagine la question et la réponse. J’aurais eu droit alors à la séquence déshabillage. Jamais, il ne m’aurait cru. Mais, juste en dessous de la marmotte, il y avait un paquet qui regroupait des sachets de sauces indonésiennes que l’on n’a pas le droit de ramener. En Thaïlande, ils ne rigolent pas sur l’introduction de nourriture (500€ d’amende). Pour la France, c’est une simple confiscation, car ces sauces n’ont pas obtenu l’autorisation de l’administration.
Et quand je pense que Mister Ti (T pour taré sur la route) me disait « Jusqu’à deux cartouches, ils ne disent rien ». Oui, ils ne disent rien et même qu’ils donnent des félicitations ! C’est une des raisons qui me pousse à ne pas ramener de contrefaçons. Ils n’aiment pas et en plus cela leur rapporte beaucoup question amende.
Demain, le détail du voyage retour avec cette fameuse dernière heure à Bali !
Lire la suite

Eddie Guerrero, catcheur (1967/2005)

8 Décembre 2005 , Rédigé par Kitano

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 > >>